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Comprendre la dette publique (pour les nuls)

Comprendre la dette publique (pour les nuls)

La révoltante histoire de la "Réserve fédérale" américaine, hold-up planétaire sur la création monétaire Chers amis, Je suis en train de dévorer deux livres importants — enfin traduits en français — que je vous conseille de découvrir urgemment. Il s'agit de l'histoire étonnante —et éclairante— de la prétendue "Réserve fédérale américaine" (qui n'est ni réserve, ni fédérale, ni même américaine peut-être...), histoire minutieusement et patiemment reconstituée par deux chercheurs Américains, qui ont consacré toute leur vie à reconstituer ce puzzle compliqué. Histoire éclairante parce que, manifestement, toutes les banques centrales du monde —y compris la BCE— se sont inspirées de ce modèle maffieux qui vole la création monétaire aux puissances publiques, finance toutes les guerres et les arsenaux, et assujettit les peuples par la dette. Je ne sais pas s'il est encore possible de venir à bout de ce monstre, mais si tout cela est vrai, il est urgent de lui résister. • "Les secrets de la Réserve Fédérale. Avant-propos du traducteur (du livre de Mullins) : Jean-François Goulon Août 2010 Introduction

Vidéo éco « La croissance n’est pas la solution, c’est le problème Jean Gadrey est économiste et membre en 2008-2009 de la « Commission Stiglitz ». On nous dit que, sans croissance, c’est la régression sociale, on ne peut pas réduire les dettes, ni le chômage, ni la pauvreté, et l’on n’aura pas les moyens d’engager la transition écologique. Pourtant, je propose de dire « Adieu à la croissance », qui est le titre de mon livre (voir les bonnes feuilles sur le site d’Alternatives économiques). Il serait temps que les économistes, s’ils veulent être « responsables », prennent en compte les risques écologiques et qu’ils se posent les questions suivantes : et si ce culte de la croissance relevait d’un aveuglement des élites économiques et politiques ? Et si la quête de la croissance, fondée sur des gains de productivité sans fin, était l’un des facteurs de crises, voire la plus grave des menaces à terme pour l’humanité ? Et si, quoi que l’on fasse, la croissance ne revenait jamais dans les pays « riches » ? Ces hypothèses sont de plus en plus crédibles.

L'endettement de la Grèce au profit des industries militaires. par Oscar FORTIN kephil, les chiffres que tu cites sont les dépenses militaires totales, pas les achats d’armes. Voir par exemple , article qui confirme que la Grèce est bien le 4ème acheteur d’armes au monde. Cet article confirme aussi que la raison qui pousse la Grèce à s’armer autant est la concurrence avec la Turquie. Pour en savoir plus, une petite recherche m’a amener sur cet article : On y apprend bien des choses : "Entre mars 2005 et septembre 2008, les engagements des banques d’Europe occidentale en Grèce ont doublé. "en 2009, la Grèce a occupé le quatrième rang mondial des importateurs d’armes. Ce chiffre en tête, on ne s’étonnera pas du rapport existant, en Grèce, entre PIB et budget de la défense : ce dernier en représente 4,3%. Mais ceci n’est rien. "Hasard ou coïncidence : en pleine crise des « subprimes » l’Etat grec regorge de liquidités … pour acheter des armes "...

Retrouvez en vidéo toutes les émissions de ce nouveau magazine Justice proposé sur LCI © LCI 2013 - Tous droits réservés Pour mieux en comprendre les mécanismes, elle nous ouvre les portes de lieux symboliques de la justice et nous plonge au cœur des rouages du droit avec ceux qui le pratiquent au quotidien, figures emblématiques du barreau, avocats généralistes ou spécialistes, qui décryptent l'actualité judiciaire et juridique du moment ou des problématiques juridiques nouvelles en prise directe avec les préoccupations quotidiennes de chacun. Emission n°58 du vendredi 4 juillet 2014 proposée en vidéo - Cliquez ici • Le dossier de la semaine s'intéresse à cette thématique : « GPA : de nouveaux droits pour les enfants » | Dans sa chronique "Au cœur du Code", Ségolène Chaplin nous explique les contours de la notion d'« adoption » | La rubrique « Droit dans les yeux » s'intéresse à la thématique « Publicité : la guerre des panneaux » ...

Théorie | Les Mauvais Jours | Page 3 Membre de l’Union européenne depuis 2004, la Hongrie est dotée depuis ce début d’année d’une nouvelle Constitution. Imposé par la droite extrême du premier ministre Viktor Orban, ce texte liberticide est bien plus qu’une régression démocratique. C’est une alarme pour tous les Européens sur ce que serait un fascisme d’aujourd’hui, son nouveau credo et ses nouveaux atours. Les projets actuels d’inscription des règles d’équilibre budgétaire dans les Constitutions des pays membres de la zone euro ne sont pas seulement la conséquence de la crise : approfondissant la logique du traité de Maastricht, ils font écho aux théories économiques qui ont balayé le keynésianisme à partir des années 1970. La théorie économique a connu un changement d’orientation brutal au cours des années 1970 : la crise économique de l’époque va conduire à la contestation radicale des idées keynésiennes, jusqu’à alors dominantes. Prelude : We disagree with David Greaber about his historical perspective.

Grèce: Les dettes illégitimes odieuses ou d’illégales. Titre originale: Grèce: Tout un symbole de dette illégitime par Eric Toussaint sur Mondilisation.ca Résumé : La dette publique grecque a fait la une de l’actualité au moment où les dirigeants de ce pays ont accepté la cure d’austérité demandée par le FMI et l’Union européenne, ce qui a provoqué de très importantes luttes sociales tout au long de l’année 2010. Voilà pourquoi la légitimité et la légalité des dettes doivent être soumises à un examen rigoureux, à l’image du travail accompli par la commission d’audit intégral des dettes publiques de l’Equateur en 2007-2008. Des éléments évidents d’illégitimité de la dette publique D’abord il y a la dette contractée par la dictature des colonels, elle a quadruplé entre 1967 et 1974. Pour poursuivre, on trouve le scandale des Jeux olympiques de 2004. De nombreux contrats signés entre les autorités grecques et de grandes entreprises privées étrangères font scandale depuis plusieurs années en Grèce.

untitled Spéculation : l'Espagne a déjà remboursé trois fois sa dette ! - Crise financière En dix ans, l’Espagne a remboursé 1 020 milliards d’euros de dette, taux d’intérêt compris. Soit trois fois le montant de ce que l’État avait emprunté en 2000. Un énorme transfert des richesses ponctionnées sur la population et les services publics au bénéfice de riches créanciers. La dette de l’État espagnol est le point de mire de toute l’Europe, du fait que les marchés financiers (banques d’investissement, fonds vautours et assurances) continuent à spéculer sur cette dette avec un seul objectif : amasser de juteux bénéfices. Cependant, et contrairement au discours dominant, ce ne sont pas les dépenses publiques qui ont augmenté la dette de l’État espagnol, mais, bien au contraire, les mesures qui ont provoqué des déficits obligeant à un endettement croissant, et dont le bénéfice pour l’ensemble de la population est plus que douteux. Effet boule de neige Nécessité d’un audit de la dette Yves Julien, Jérôme Duval (Patas Arriba, coordination Attac - CADTM) - Valencia

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