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La première guerre mondiale (1914-1918)

https://gallica.bnf.fr/html/images/la-premiere-guerre-mondiale-1914-1918

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Une exposition virtuelle sur la Première Guerre mondiale - OCIM À l’occasion du Centenaire de la Grande Guerre, le Département des Hauts-de-Seine invite le grand public à remonter le temps et (re)découvrir ce pan de l’histoire sur le site www.14-18.albert-kahn.hauts-de-seine.fr. L’exposition virtuelle 1914-1918 : la Première Guerre mondiale dans les Archives de la Planète présente l’importante collection de photographies et de films originaux du musée départemental Albert-Kahn qui est encore en grande partie inédite (vues en couleurs, sujets cinématographiques inhabituels…). L’achèvement en 2015, de la numérisation de la totalité des images du musée relatives à la Première Guerre mondiale, a permis d’appréhender pour la première fois dans sa globalité un corpus représentant 20 % du fonds d’images des Archives de la Planète, soit 10 000 autochromes, 500 photographies en noir et blanc et 800 séquences de films, couvrant une période allant de 1914 à 1926. Renseignements

Le Centenaire de la Première Guerre mondiale Dans l'enfer de Verdun Découvrez grâce à ce site sur la guerre de 1914-1918, le rôle déterminant de cette victoire sanglante et emblématique de 1916, et suivez, à travers des témoignages souvent inédits, les souffrances héroïques endurées par les Poilus sur le champ de bataille. Publié par La Grande Collecte – Europeana 1914 -1918 du 9 au 16 novembre 2013 Dans le cadre de la commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale, l’opération de collecte, lancée par Europeana (bibliothèque numérique européenne) vise à numériser le plus grand nombre d'objets relatifs à la Grande guerre. La Bibliothèque nationale de France, ainsi que les autres lieux partenaires, vous invitent à apporter documents et objets datant de cette période afin de les numériser et de les partager ensuite dans Europeana.

Première Guerre mondiale La première base présente plus de 1,4 million de fiches individuelles numérisées de militaires décédés au cours de la Grande Guerre et ayant obtenu pour la plupart la mention "Mort pour la France". La deuxième recense les fusillés en vertu d’une décision de la justice militaire et les exécutés sommaires au cours du conflit. La troisième comprend quelque 74 000 fiches individuelles numérisées de soldats ayant appartenu à l’aéronautique militaire.

1914 - 1918 : quand la guerre est un jeu Une série photo exceptionnelle racontée par son auteur. Les Rencontres internationales de la photographie à Arles s’associent à la Société française de photographie (SFP, Paris) pour présenter cette « Guerre des gosses ».. Ces photographies et le commentaire sont signés Léon Gimpel, photographe normalement spécialisé dans les objets scientifiques ou l'aéronautique. Il a croisé en août 1915 dans Paris des petits soldats plein d’enthousiasme et les a mis en scène pour en faire une série d'images. On y voit les enfants mimant la guerre, y compris une exécution, dans des décors délabrés pour marquer le tragique de la situation. Leurs armes et leurs habits sont fabriqués à la hâte ou récupérés, rafistolés.

Cartes postales de marraines de guerre Claudia et Léonie Laroche ont été marraines de guerre pendant la première guerre mondiale. Elles correspondaient avec deux soldats au front et ont contribué à maintenir leur moral. Au gré des échanges épistolaires, sur plus de trois ans, les soldats ont nourri pour leurs marraines de tendres sentiments qui contrastait avec ce qu'ils vivaient au front. Nous n'avons que les cartes des soldats dont nous ne connaissons que les prénoms et nous ignorons si les protagonistes de ces échanges de courriers se sont rencontrés après la guerre. Les cartes présentées ici sont toutes des cartes galantes et romantiques qui masquent la vérité de ce que les soldats ont vécu au front. Les marraines de guerre de François Moulin (L'Est républicain du 2 novembre 2008).

« Les fusillés de la Grande Guerre » - Pour mémoire - CNDP Nous proposons dans ce dossier de revenir sur un phénomène tragique qui a traversé la Grande Guerre de part en part, touché tous les États belligérants, tous les fronts, dès les premiers jours de la guerre et posé aux autorités tant militaires que politiques des questions portant sur leur fonctionnement, leur finalité, leur existence même, puisqu’il s’agit de réfléchir sur la question de l’exécution de soldats au sein de leur propre armée. Nous centrons le propos sur le cas français, non qu’il soit plus important que les autres, mais parce que les sources et l’historiographie dont nous disposons permettent de construire un discours véritablement problématisé et de livrer des conclusions tangibles. D’autre part, la figure du fusillé a opéré un retour en force dans l’actualité, dans les champs mémoriels, dans les débats politiques au point de prendre une place peut-être démesurée face au nombre réel de cas. Le plan du dossier articule six aspects principaux de la question.

Le front d’Orient (1915-1918) Au moment où est célébré le centenaire de la Première Guerre mondiale, aucun front ne fait l’objet d’aussi peu d’études que celui de l’armée d’Orient. C’est à coup sûr une injustice car loin d’avoir vécu une expédition exotique et agréable, « la fleur au fusil », les soldats ont connu des souffrances terribles, autant si ce n’est plus qu’en France, les maladies, le climat et l’éloignement s’ajoutant aux combats proprement dits. Injustice flagrante aussi car de ce front d’Orient sont venus les premiers résultats décisifs, marqués par la cessation des hostilités avec la Bulgarie puis la Turquie, précipitant ainsi les armistices avec l’Autriche-Hongrie puis avec l’Allemagne. Naissance du front d’Orient Trois mois après la bataille de la Marne et la course à la mer1, le front ouest se fige.

Les perquisitions de locaux du Parti communiste clandestin de 1941 à 1944 : un essai de géolocalisation – PAPRIK@2F Depuis avril dernier, l’instrument de recherche du fonds de la section spéciale auprès de la cour d’appel de Paris (Z/4) est disponible sur la Salle des inventaires virtuelles des Archives nationales. Nous avons fait le choix dans l’élaboration de cet instrument de recherche de retranscrire les informations présentes sur les cartons de scellés dans la mesure du possible dans leur intégralité. Des adresses des locaux et domiciles perquisitionnés ont ainsi pu être collectées. À partir de ce recensement des scellés nous vous proposons ici un travail de géolocalisation des locaux utilisés par les militants communistes perquisitionnés par les autorités françaises durant la période 1939-1944.

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