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Le procès de Nuremberg - Extrait

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La justice et l’histoire 1Écrire de l’histoire est un métier qui présente similitudes et différences avec celui du juge d’instruction. C’est ce qu’expliquait Marc Bloch dans son dernier ouvrage, Apologie pour l’histoire ou le métier d’historien (Bloch, 1991). Les quelques pages qu’il consacre à la question de « juger ou comprendre » sont très souvent citées, et ont été pendant des décennies considérées comme énonçant les règles fondamentales qui devaient régir le travail de l’historien. Pour Marc Bloch, le « savant » et le juge ont en commun « l’honnête soumission à la vérité ». Pourtant, à un moment donné, leurs chemins se séparent : le juge doit in fine condamner ou absoudre, selon les valeurs qui sont celles de la société dans laquelle il exerce sa fonction et que le droit codifie. Ce n’est pas la tâche de l’historien. « Or longtemps l’historien a passé pour une manière de juge des Enfers, chargé de distribuer aux héros morts l’éloge ou le blâme », constate Marc Bloch.

Qu'est-ce qu'un crime contre l'humanité ? Magistrat du Parquet depuis 1945, Pierre Truche a notamment été directeur des études à l'École nationale de la magistrature, procureur de la République à Marseille, procureur général à Lyon - où il a représenté le ministère public lors du procès de Klaus Barbie - à Paris et enfin à la Cour de cassation. L'HISTOIRE : Pierre Truche, comment définit-on aujourd'hui an crime contre l'humanité ? Pierre Truche : Les juristes, que ce soit en France ou à l'étranger, ont élaboré une définition précise du crime contre l'humanité par catégories, afin d'éviter des interprétations extensives.

« Génocides. Lieux (et non-lieux) de mémoire ». Revue d’histoire de la Shoah, 2004 1 Pierre Nora, « Préface à l’édition Quarto, 1997 », in Pierre Nora, éd., Les Lieux de mémoire, 3 tom (...) 1Dans les années 1980, Pierre Nora lançait une vaste étude sur les « lieux de mémoire » qui consistait, écrivait-il en introduction, à mettre en évidence la parenté secrète liant les « mémoriaux vrais » (monument aux morts, panthéon) avec d’autres objets : musées, commémorations, archives. Puis il étendit la notion aux institutions, voire aux mythologies d’une nation1. Le projet, qui connut un grand succès, a aussi été critiqué. Mais il proposait rien moins qu’une réflexion générale sur les traces matérielles et immatérielles du passé.

Comment le procès de Nuremberg a façonné la justice internationale - Infographie Figaro - 2016 HISTOIRE - Le procès des criminels de guerre nazis à Nuremberg innove et jette les bases d'un droit mondial. Parmi les nouveautés: la notion de crime contre l'humanité, une Cour internationale et les images comme preuves. La création du Tribunal militaire international (TIM) en août 1945 vise un objectif: juger les responsables des crimes commis au cours de la Seconde guerre mondiale par le régime nazi. Il s'agit bien de ne pas laisser impunis les crimes de guerre et les crimes perpétrés à l'encontre des populations civiles.

La carte de la mémoire statuaire par Christian Grataloup Géohistorien, spécialiste d'histoire globale, professeur émérite à l'Université Paris-Diderot, Christian Grataloup décrypte depuis de nombreuses années les grands évènements à l'échelle planétaire. Il est l'auteur de l'"Atlas historique mondial ", publié aux éditions Les Arènes/L'Histoire. Retrouvez les textes précédents de notre série "Des statues et des hommes" : "Etre Français, c'est aussi être descendant d'esclaves" par François-Xavier Fauvelle ; "Il faut davantage de statues de personnalités noires" par Jacqueline Lalouette ; Jean-Paul Demoule dresse une brève histoire de l'iconoclasme ; "Bâtir un récit commun qui nous rassemble" par André Delpuech ; "Qui sont les Français d'aujourd'hui" par Serge Gruzinski. Les pratiques mémorielles collectives les plus courantes ne coutent pas bien cher. Il suffit de nommer. "Ah, s’il avait pu ne pas exister, celui-là !"

Annette Wieviorka : « A Nuremberg, les responsables nazis voulaient sauver leur peau » - Geo.fr GEO Histoire : Du 20 novembre 1945 au 1er octobre 1946 s’est tenu à Nuremberg, devant une cour internationale, le procès des responsables du IIIe Reich. De quand peut-on dater la volonté de juger les crimes commis par les nazis ? EN IMAGES Himmler, Goebbels, Göring... Les principales figures du nazisme Annette Wieviorka : Des informations sur les crimes nazis commencent à circuler dès l’occupation de la Pologne en septembre 1939. Et cela s’accentue avec l’invasion de l’URSS en juin 1941.

CPI - 20ème anniversaire du Statut de Rome (17.07.18) - Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères Le 17 juillet 1998, le Statut de la première Cour Pénale Internationale permanente était adopté, à Rome, par 120 États afin de permettre le jugement des responsables des crimes les plus graves. Ainsi, un pas important dans la lutte contre l’impunité était franchi, grâce à la création de cette juridiction pénale à vocation universelle. En effet, la Cour Pénale Internationale est compétente pour juger des auteurs de crimes de génocide, crimes de guerre et contre l’humanité lorsque les États ne sont pas en mesure de le faire ou n’en ont pas la volonté. Les États conservent la responsabilité première de juger les auteurs de ces crimes. La Cour Pénale Internationale peut être saisie par un État, par le Procureur ou par le Conseil de sécurité des Nations unies. La France, qui a joué un rôle majeur dans la négociation du Statut de Rome, l’a signé le jour même de son adoption.

Pierre Nora présente son ouvrage Les Lieux de mémoire - 1984 - 2'27 Contexte historique Publication : 28 avr. 2008 Né à Paris en 1931, Pierre Nora est issu d'une famille de la grande bourgeoisie parisienne. Une histoire des mémoires – 3 podcasts – France Culture - Nov 2016 Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.

INTRODUCTION: HISTOIRE ET MÉMOIRES - Genially Introduction : Histoire et mémoire, histoire et justice- La différence entre histoire et mémoire- Les notions de crime contre l’humanité et de génocide, et le contexte de leur élaborationAxe 1 : Histoire et mémoires des conflitsJalons- Un débat historique et ses implications politiques : les causes de la Première Guerre mondiale- Mémoires et histoire d’un conflit : la guerre d’AlgérieAxe 2 : Histoire, mémoire et justiceJalons- La justice à l’échelle locale : les tribunaux gacaca face au génocide des tutsis- La construction d’une justice pénale internationale face aux crimes de masse : le tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY)Objet de travail conclusif : L’histoire et les mémoires du génocide des Juifs et des TsiganesJalons- Lieux de mémoire du génocide des Juifs et des Tsiganes - Juger les crimes nazis après Nuremberg.- Le génocide dans la littérature et le cinéma A- Des liens complexes entre histoire et mémoire A- Des liens complexes Doc 1 p 172

Le combat des « successeurs » pour la mémoire d’Hiroshima Le temps passe et le souvenir des bombardements atomiques américains de 1945 sur Hiroshima et Nagasaki s’efface, obligeant à imaginer de nouvelles formes de transmission de cette mémoire douloureuse. « Les gens croient souvent que ce lieu a toujours été un parc. Mais c’était un quartier grouillant, le cœur de la ville. Là, il y avait la maison de ma mère, par là, le magasin de mon grand-père, près d’un cinéma.

L'ouverture du procès de Nuremberg - Vidéo Ina.fr

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