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Le Kamasutra du lobbying. Regard sur dix techniques d’influence modernes

Le Kamasutra du lobbying. Regard sur dix techniques d’influence modernes

Directeur de l’intelligence économique Intelligence économique et business Entre théorie pure et recettes sécuritaires, géoéconomie et pratiques quotidiennes, méchants espions et gentils managers, offensif et défensif, mondial et local, cognition et persuasion, knowledge managment, benchmarking, Signal Intelligence… difficile de s’y retrouver. Le métier de l’IE est devenu nécessaire avec la mondialisation et la concurrence internationale. Intelligence économique : un vrai savoir sous des formes variées L’infostratégie étudie les conflits liés aux systèmes de transmission et communication; l’intelligence collective se confond quasiment avec la dimension culturelle de la condition humaine grâce aux TIC; l’intelligence compétitive utilise des techniques de gestion des sources d’information pour s’assurer un avantage par rapport à la concurrence. Directeur de l’intelligence économique : l’homme qui sait et sent tout Il s’agit d’un poste corporate de nature transverse qui exige des connaissances et qualités à géométrie variable.

Les PME jouent un rôle important dans la croissance du marché du cloud De plus en plus de petites et moyennes entreprises adoptent des technologies cloud, à différents niveaux. Les PME constituent une part importante du marché du cloud, et sont au cœur de sas croissance. L'importance des petites et moyennes entreprises dans l'économie Cloud grandit. Les PME n'adoptent pas toute la même approche du Cloud Si le potentiel de croissance de l'adoption par les PME est indéniable, on constate des utilisations différentes dans trois catégories d'entreprises. Une grande partie de la croissance des services Cloud vient des très petites entreprises Beaucoup de PME adoptent l'infrastructure hébergée : 22% de ces entreprise déclarent y recourir.

Ces innovations qui transforment le marketing (2013) L'Open Data est à la mode et... cherche son modèle Il y a cinq ans, le gouverneur du Massachusetts avait exigé que les sociétés de transport public ouvrent et partagent leurs données. Objectif : permettre aux usagers de prendre connaissance des horaires et des correspondances entre les différents opérateurs. Une décision en apparence anodine qui a, en fait, ouvert la voie à l'Open Data, autrement dit aux données publiques accessibles sur le Web. Les « données massives » les ont sauvés Mais tout cela, c'était avant... 1,8 million d'annonces agrégées et enrichies Les nouvelles start-up de services ne se posent plus la question : elles se lancent en utilisant l'Open Data et les Open API.

Get the Maximum Value Out of Your Big Data Initiative - Paul Barth and Randy Bean by Paul Barth and Randy Bean | 9:00 AM February 1, 2013 Companies have been striving to harness and leverage the power of their data assets for decades. Now major U.S. corporations and government agencies are finally realizing business value from Big Data. That is the finding of a survey (PDF) and series of follow-up interviews conducted by NewVantage Partners with C-level executives and function heads representing companies and government agencies during the second half of 2012. Eighty-five percent of respondents indicated that a Big Data initiative was planned or in progress, with almost half using Big Data in an operational capacity. While 85% of the participating companies have Big Data initiatives underway with the stated reason of improving analytic capabilities and making smarter business decisions, our subsequent briefings highlighted that the real quantum leap for companies comes from the ability to accelerate the speed at which they can get to a decision. 1. 2. 3. 4. 5.

Les services de renseignement français commenceraient à devenir "une communauté" Un compte rendu de la Commission de la défense nationale et des forces armées fait état de l'audition le mardi 5 février 2013 du préfet Ange Mancini, coordonnateur national du renseignement (photo AFP). L'occasion de faire le point sur des services qui prennent de l'importance au fil des années, qui " apprennent " à travailler ensemble depuis le Livre blanc de 2008. " Alors que ce n'était pas naturel, des bonnes habitudes se prennent ", estime Ange Mancini. Le constat historique d'Ange Mancini est limpide : " La France n'a pas la culture du renseignement qui est, par exemple, celle des pays anglo-saxons, où l'on parle d'intelligence. La fin du poker menteur Ceci posé, le coordonnateur national rappelle que " le concept de communauté française du renseignement est nouveau ". Le coordonnateur national du renseignement participe à cet élan. Ouvrir le recrutement traditionnel de la DGSE et de la DCRI " Les services travaillent de mieux en mieux entre eux.

100 start-up à créer pour construire une filière française du Big Data La mission Big Data de l’AFDEL, mandatée par Fleur Pellerin, propose de mettre en place un écosystème favorable à la création et au développement de jeunes pousses dans le domaine de l'exploitation des données numériques. Le dispositif pourrait démarrer en mars 2013. Comment construire une filière Big Data en France ? Fleur Pellerin, ministre déléguée en charge des PME, de l’Innovation et de l’Economie Numérique, a demandé à l’AFDEL (Association française des éditeurs de logiciels) de réfléchir sur la question. Bertrand Diard, patron de Talend, éditeur de logiciels d’intégration Open Source, et président de la commission Big Data au sein de l’AFDEL, est chargé de cette mission. Il livre des pistes de recommandation, fruit de six mois de réflexion. Un incubateur dédié Des enjeux industriels Outre la création d’un incubateur de start-up, l’idée est d’impliquer les grands groupes dans des projets de développement de services innovants financés à parités égales par le public et le privé.

The Purchasing Department: The Next Frontier for Social Media? Almost all of the attention on social media has come from the sales and marketing department, and deservedly so. That is certainly where the low-hanging fruit appears to be and there is an urgent need to respond to customer demands and communication preferences. I have also written about enterprise applications of social media, where large companies are implementing internal versions of social networks to improve communications, creativity and collaboration across a far-flung base of employees. Studies show that this may return the biggest financial gains of social media to companies and I agree. But there’s also a new area of buzz right now — application to the purchasing department and the complex supply chain. The topic is starting to pop up in conferences and there are no fewer than four new LinkedIn Groups dedicated to the topic. There are three primary areas of relevance in this area for social technologies: 1) Supplier connection, collaboration, problem-solving 3) Demand sensing

Création au Maroc du Centre en Intelligence Economique et Management Stratégique Veille.ma annonce la création du Centre en Intelligence Economique et Management Stratégique. Bienvenue à cette nouvelle entité ! Le CIEMS est un centre académique, regroupant des professeurs et des chercheurs en intelligence économique et en management stratégique, ainsi que des personnalités oeuvrant dans la vie politique et économique dans di-érents pays. Mission : Le CIEMS a pour mission de contribuer aux développements des domaines de l’intelligence économique et le management stratégique à travers : - L’organisation de rencontres, de conférences et de workshops sur des thèmes relatifs à l’intelligence économique et au management stratégique. - La réalisation pour le compte d’organismes publics ou privés nationaux et internationaux d’études stratégiques et sectorielles. - La publication de travaux scientifiques (ouvrages, ouvrages collectifs, rapports, articles de recherche scienti-que) Membres honoraires · Alice Guilhon, Directeur Général, Skema School, France Conseillers · John E.

La veille intelligente pour lutter contre l’infopollution Une information qui ne nourrit pas une décision ou qui n’enrichit pas votre capital connaissance est soit une mauvaise information, soit une information inutile. Cette accumulation de données inutiles perturbent votre concentration, polluent votre capacité de réflexion et consomment votre temps d’action. Car malheureusement, aujourd’hui, le Think Tank est 1000 fois plus productif que le Do Tank…la communication primant bien souvent sur l’action. Et si trop d’information tue l’information, à fortiori, cet excès semble aussi tuer l’action. Si ce superflu informationnel devient récurent, vous risquez de tendre vers la surinformation communément appelée INFOPOLLUTION ou INFOBESITE, une nouvelle pandémie forte onéreuse pour les organisations (figure3). Une étude IDC/EMC a évalué l’évolution de l’information dans le monde pour 2020 à 35 Zettabyte (1 + 21 zéros), soit plus de 43 fois le volume de 2009.

Les Big Data vont surtout révolutionner les pratiques managériales Leur traitement, autrefois réservé aux plus grandes entreprises, se démocratise aujourd’hui du fait de la convergence de différents éléments – baisse du coût des composants techniques, accroissement des performances informatiques, émergence de nouvelles sources de données comme les réseaux sociaux, prise de conscience par les entreprises de la valeur de leur données, etc. Les promesses véhiculées par ce mode d’analyse – nouveau ou pas, là n’est pas notre propos – sont immenses. De l’amélioration de la connaissance client à l’optimisation des réseaux mobiles ; de la prévision des épidémies à la recherche fondamentale, de la rationalisation de la supply chain à la lutte contre les fraudes, pas un domaine de l’entreprise – privée comme publique – n’est oublié, et tous les secteurs sont dans la ligne de mire. Tout le monde parle des Big Data car, en réalité, tout le monde est concerné par les Big Data. Mais les bénéfices offerts par les Big Data ne tombent pas du ciel.

Internet. La “diplomatie numérique”. Quelle influence lui accorder ? Qu’est-ce que la diplomatie numérique ? En quoi diffère-t-elle de la « diplomatie publique », pratique américaine mal définie mais qui se veut outil d’influence ? Quels sont les fondamentaux de la diplomatie numérique, directement issue d’Internet et de ses déclinaisons (réseaux sociaux…) ? Pourquoi les États sont-ils directement concernés dans leur politique étrangère ? En quoi les États-Unis sont-ils éminents, escortés de leur brave et fidèle allié britannique ? Les Européens sont-ils « endormis » ? Est-ce un théâtre clé du rapport de forces entre les États, auquel cas on est bien de la géopolitique dure ? Le cœur de métier de la diplomatie numérique est-il de conquérir les esprits, de les formater, de les instrumentaliser ? Thomas Gomart est directeur du développement stratégique de l’IFRI, Institut français des relations internationales

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