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Si vous recherchez un «outil collaboratif» dans Internet, vous serez assurément submergé par le flot de propositions : plusieurs centaines, avec chacune leurs caractéristiques imbattables. Certains services ne font qu’une seule chose, comme le partage d’écran, la présentation en 3D ou la vidéoconférence, alors que d’autres intègrent plusieurs fonctions différentes allant de la communication à la gestion de projet en passant par le dépôt de documents. En intégrant plusieurs services complémentaires, des géants comme Google et Facebook ont littéralement fait disparaître la plupart des services de petite taille. Les nouveaux joueurs comme Slack ou AirTable utilisent la même tactique : intégrer plusieurs services dans une application unique et polyvalente. Choisir Pour s’y retrouver, voici quelques critères simples pour préciser les besoins. L’activité Quel genre d’activités de collaboration seront faites ? Le flux De quel genre de collaboration s’agit-il ? La durée Communication Organisation Related:  Innover et collaborer avec les outils numériques

Accompagner les collectivités et les acteurs de l'École dans la définition de leurs projets d'évolution, rénovation et construction d'écoles ou d'établissements scolaires De par les compétences qu'elles ont reçues dans les années 80, les collectivités ont investi le champ de l'architecture scolaire. Chaque année, de nombreuses constructions ou rénovations d'écoles, de collèges et de lycées sont programmées. Certains de ces projets prennent en compte de façon différente la place de la pédagogie, des usages des enseignants et le bien-être des élèves au sein de l'établissement ou de l'école. Découvrir le site archiclasse.education.fr La philosophie d'Archiclasse C'est pour accompagner les collectivités mais aussi l'ensemble des acteurs de l'École dans ce mouvement de réflexion sur la forme scolaire que le ministère propose le site Archiclasse, cadre de travail en commun pour que chacun puisse participer à l'enrichissement des projets de construction ou de rénovation scolaire.

Les CM1-CM2 de Soledad Messiaen en plein exercice – la veille, ils ont visionné le cours en vidéo, chez eux. En septembre 2013, Soledad Messiaen, professeure des écoles à Burie (Charente-Maritime), décide “d’inverser” sa classe de CM1-CM2. Selon le principe anglo-saxon de la “flipclass” (classe inversée), l’élève visionne le cours chez lui, via une vidéo réalisée par son enseignant. Le temps passé en classe est consacré à la réalisation d’exercices. Des cours en capsules Chaque semaine, les élèves regardent, chez eux, 4 “capsules” – deux en français, deux en mathématiques. Les élèves sont répartis dans plusieurs groupes, et « tournent » dans chaque atelier. Après avoir visualisé le cours, l’élève répond à un questionnaire. En classe, des exercices et des ateliers Le lendemain, en classe, les élèves sont répartis dans 3 groupes. Les élèves “qui n’ont pas compris” le cours sont, au début du cours, suivis par leur enseignante. « Des élèves vraiment actifs » Une plus grande différenciation

La « classe mutuelle » de Vincent Faillet En 2015, Vincent Faillet, prof de SVT au lycée Dorian (Paris), réorganise sa salle de classe. Il couvre ses murs de tableaux et dispose ses tables en îlots. Puis il se lance dans “l’enseignement mutuel”, préférant l’apprentissage par les pairs aux cours magistraux. Libres, les élèves travaillent en groupes autour d’un tableau, s’entraident, apprennent ensemble. Cette idée de “classe mutuelle” lui vient à la lecture du “Dictionnaire de pédagogie” (1887). Un « enseignement simultané » figé depuis 1833 Gravure lithographiée vers 1830 « Une école d’enseignement mutuel » environ 25 x 30 cm, imprimerie Dambour et Gangel à Metz. Après avoir commencé à agencer différemment sa salle (il dispose les tables en îlots), il finit par changer sa façon d’enseigner. Pour lui, afin de “rénover l’éducation”, il faut d’abord “s’attaquer à ce problème de l’enseignement simultané. « Ceux qui ont compris expliquent aux autres »

Dans la méthode du design thinking, le travail de compréhension, d’observation, d’exploration et de production d’« insights » est au cœur de la démarche. Les phases de « compréhension » (Empathize) et « d’observation » (Define) sont inter-reliées, elles s’alimentent et se complètent pour fournir un ensemble d’insights susceptibles d’alimenter la phase d’idéation (Ideate). Pour la Hasso Plattner (Institut de design de Stanford), l’empathie, faculté intuitive de se mettre à la place d’autrui et de percevoir ce qu’il ressent, est le pilier du design thinking. Centrée sur l’humain, elle offre la possibilité d’identifier des insights de ce que les individus pensent, ressentent et expérimentent. Mais selon la Hasso Plattner, l’identification de ces insights est difficile et dans tous les cas toujours plus difficile que ce que les individus imaginent. Identifier les « bruits de fond » qui cadrent les représentations et les actions Identifier les signaux faibles porteurs d’anticipation

Dans la salle où luisent une bonne dizaine d'écrans, Jean-Michel Le Baut évoque la vie passionnante et passionnée de Louise Labé, poétesse pionnière n'ayant pas téléchargé la dernière appli en vogue. Pour cause, la femme de lettres a lâché la plume vers 1566 pour ne laisser vivre que ses oeuvres, thèmes récurrents pour étudiants en lettres. Mais aujourd'hui dans cette salle à la douce pâleur électronique, Louise Labé renaît. « Dans les combles du lycée de l'Iroise ont été trouvés ses manuscrits, avec des variantes, rit tout fort le prof, à vous de les faire connaître ». Au bon moment Le charismatique Jean-Michel Le Baut s'en délecte. De l'autre côté des Alpes Il faut croire que cette idée lumineuse fonctionne à merveille. En augmentation Et suffisamment pour augmenter leur niveau d'orthographe. « C'est marrant, ironise Jean-Michel Le Baut, mais on dit souvent qu'écrire sur écran favorise les fautes. en complément I-voix, quèsaco ?

La Fédération des établissements d'enseignement privés (FEEP) propose le site innovereneducation.com qui présente 50 projets innovateurs implantés dans des écoles de son réseau. Les projets sont regroupés selon huit thèmes : L'innovation pédagogique au primaire L'innovation pédagogique au secondaire Le soutien aux élèves ayant des défis particuliers L'entrepreneuriat étudiant La promotion de la langue française et de la culture québécoise L'architecture, l'aménagement et la préservation du patrimoine bâti La santé et les saines habitudes de vie Le développement durable Ces projets inspirants démontrent qu'il est possible de faire l'école autrement, tout en s'assurant que les élèves maîtrisent les différents éléments aux programmes officiels. Dans toute l’école Certains projets ont mobilisé toute l'école, comme : Dans des classes D’autres projets originaux se démarquent : - La ludification des apprentissages pour développer la pensée critique des élèves en histoire du Collège Saint-Sacrement),

Voici un retour de la 3éme session sur les Coopérations ouvertes en éducation du Forum des usages coopératifs dont l’un des groupes a travaillé sur le "pourquoi et le comment d’un réseau coopératif local". Cette session nous a permis durant trois matinées d’explorer difféntes facettes des coopérations ouvertes (voir l’article de Jean Michel Lebaut "Brest : Vers l’école coopérative sur le café pédagogique et la présentation par Jean Marie Gilliot de cette session : Autour du thème coopérations ouvertes, nous nous intéresserons ici à des dynamiques permettant de favoriser les partage entre personnes ...Comment encourager la coopération ? comment faciliter, renforcer les échanges avec les différents participants à cette éducation ouverte ? comment renforcer le pouvoir d’agir de tous dans une perspective d’émancipation ? Pourquoi faire réseau local ? pour être auteur-e, acteur-trice du changement, des transitions dans un processus de "transformation ascendante" ; Comment faire ? Quelques liens

Le plan de travail en pédagogie Freinet Article invité rédigé par Sandrine du site La trousse de Sobelle. Un plan de travail est un document permettant d’organiser son travail individuel réalisable sur une période donnée généralement deux ou trois semaines. Ces dernières années, le terme de « plan de travail » a été repris par d’autres courants pédagogiques. Tout le monde s’y perdait. Avancer de commencer un nouveau plan, il faut prévoir son travail (le nombre de fiches à faire en fonction du nombre qu’on a fait dans la plan précédent) afin d’arriver à atteindre ses limites, voire les dépasser. Voici quelques liens, références, articles ou vidéos pour vous éclairer : 1) Le site des « PEMF » où l’on peut acheter les fichiers Les fichiers PEMF ont été conçus pour être utilisés dans un plan de travail Freinet. Attention : le fichier de maths « opération-numération » par exemple, est une méthode à part entière, il est fortement déconseillé de l’utiliser en supplément à une autre méthode.

Apprendre à coopérer à l'école : pourquoi ? comment ? Maria Montessori disait que la politique ne peut qu’éviter la guerre, seule l’éducation peut instaurer durablement la paix. Cette idée est reprise dans la déclaration de l’UNESCO qui affirme : Puisque c’est dans l’esprit des hommes que naissent les guerres, semons-y la paix. Isabelle Peloux, fondatrice de l’Ecole du Colibri et auteure du livre du même nom, s’appuie sur 3 pratiques pour favoriser la coopération en classe. 1.Des ateliers philo Pour apprendre à réfléchir, à argumenter, à formuler sa pensée et à écouter l’autre. >>> Des idées pour les mettre en place ici. 2.Des conseils d’enfants et le vivre ensemble (inspirés de la pédagogie Freinet) Les enfants sont invités à écrire les conflits et les difficultés qu’ils rencontrent au cours de la semaine (que ce soit dans l’organisation, dans le partage des espaces, dans le travail…). >>> Plus de détails dans cet article : La solution gagnant-gagnant pour favoriser l’adhésion des enfants aux règles de la vie collective 3.L’éducation à la paix

Pédagogie coopérative – Intelligences Multiples Principe Travailler en groupe, collaborer et coopérer… est-ce la même chose ? Bien sûr que non. Dans le cadre de cette section, nous traiterons de l’apprentissage coopératif. Les recherches ont démontré que l’apprentissage coopératif est plus efficace. Valeurs La pédagogie coopérative vise à mettre l’accent sur une série de valeurs et à les développer tout au long des activités. RespectEngagementSolidaritéOuverture aux autresDroit à la différenceConfiancePartageAutonomieÉquitéÉcoute empathique Fonctionnement Basé sur son enseignement sur l’apprentissage coopératif pré-suppose que l’enseignant veille à/au : – développement et à la mobilisation des valeurs coopératives – l’auto-évaluation par l’élève des rôles coopératifs où il est performant ou non – la mobilisation des rôles coopératifs ou chaque élève est compétent – développement des rôles coopératifs au chaque élève À cette fin, son dispositif devra : – Favoriser le travail de groupe afin d’atteindre un objectif commun Aléatoire : Raisonnée :

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