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Yahoo et Gmail lisent vos mails

Yahoo et Gmail lisent vos mails
Avec son application Visualizing, Yahoo! montre que tout ce que partagent ses utilisateurs par mails est non seulement scanné mais aussi utilisé pour la pub et la sécurité. Démonstration. Le 13 octobre, Yahoo! a lancé un site pour vanter la popularité de sa messagerie avec une carte interactive baptisée Visualizing Yahoo!. Celle-ci propose notamment de visualiser en temps réel les mots les plus employés par ses utilisateurs, en analysant le contenu de leurs mails. Interrogé à ce sujet, Yahoo! Gmail aussi aime lire Gmail, l’autre géant américain des correspondances numériques fonctionne de la même manière. Google analyse le texte des messages Gmail afin de filtrer les spams et détecter les virus. Yahoo! Cela permet de bloquer près de 550 milliards de spams atterrissant dans les boîtes mails de nos utilisateurs chaque mois dans le monde, soit aux alentours de 1800 mails par utilisateur. Une violation potentielle d’un droit fondamental De son côté, Pierre Landy de Yahoo!

Reconnaissance faciale et publicité nouvelle génération Production de masse ? Has been. Segmentation ? Production de masse ? Les cookies, on connaissait. La dernière trouvaille en matière de marketing one-to-one ? De grandes marques se penchent déjà sur la question. A noter que d’autres fonctionnalités, plus interactives, seront disponibles sur ces écrans : sélectionner une publicité en particulier, afficher un plan du point de vente, parcourir les produits disponibles, ou encore envoyer des bons d’achat vers son smartphone. A partir de là, on peut aisément spéculer et étendre ces fonctionnalités à d’autres types de publicité comportementale. J’ignore si ce type de publicité se généralisera. J’évolue dans le marketing, et j’ai la sincère conviction que, bien pratiqué, il peut fournir de réels bénéfices, tant pour la marque que pour ses consommateurs. (source)

Quels outils pour écrire ? Recommander cette page à un(e) ami(e) Celui qui écrit, qu'il soit amateur ou professionnel, rédacteur, journaliste ou écrivain, accorde généralement une importance capitale à son environnement, comme le montrent ces photos. Le bureau est aujourd'hui autant "autour" que "dans" la machine et même sur le coin d'une table de cuisine, on peut être entouré de dictionnaires, grammaires, images inspirantes et musique douce, qui attendent sagement dans l'ordinateur portable d'être utilisés. Un récent article publié sur un blog américain dresse la liste de 31 ressources en ligne qui aident à écrire. 1- S'organiser Pour noter à la volée ses idées, enregistrer les images frappantes, les citations inspirantes... rien ne vaut le petit carnet et l'appareil photo de son téléphone, que l'on emporte partout avec soi. Evernote L'article de présentation sur Thot Cursus Pour sauvegarder les fragments de pages web intéressants, rien ne vaut Citebite, qui vous mène directement à l'extrait sélectionné. Citebite

A quel point Google Drive est-il propriétaire de vos données ? Soyons francs, personne ne lit les conditions générales d’utilisation. Heureusement, nos confrères américains de ZDNet.com se sont penchés sur celles du tout nouveau service de stockage de Google et les ont comparées à celles de ses deux principaux concurrents : Dropbox et SkyDrive de Microsoft. Et le moins que l’on puisse dire est que Google Drive garde une approche plutôt obscure du traitement des données qu’il collectera. Voici les différentes CGU des trois services de stockage : Dropbox – (voir les CGU)« Vos effets et votre vie privée : En utilisant nos Services, vous nous fournissez les informations, fichiers et dossiers que vous envoyez à Dropbox (collectivement désignés sous l’appellation « vos effets »). Vous conservez l’entière propriété de vos effets. Sky Drive – (voir les CGU)« 5. Google Drive – (voir les CGU)« Vos contenus et nos Services : Certains de nos Services vous permettent de soumettre des contenus. On peut donc retenir deux choses de ces termes.

La France, championne du monde de la surveillance du Net Google prend bien garde de ne pas l'écrire en toutes lettres, mais l'analyse de son dernier "Transparency Report" (rapport de transparence) est sans appel. La France est le pays au monde qui demande le plus d'informations sur ses citoyens à Google, par rapport à son nombre d'internautes. Sur les six premiers mois de 2011, les autorités françaises ont formulé 1 300 requêtes, soit une pour 34 500 internautes*. Attention, toutefois, car les statistiques de Google n'incluent pas certains pays, comme la Chine qui arriverait probablement en tête. Placés devant la France en nombre total de requêtes, les États-Unis (5 950 demandes) et l'Inde (1 739 demandes) restent largement derrière l'Hexagone si l'on rapporte ces chiffres à leur population internaute : une requête pour 41 000 internautes aux États-Unis et une pour 57 500 en Inde. Hausse de 27 % pour la France La comparaison avec les voisins européens est douloureuse pour la France. Paris ne commente pas

Protection des données personnelles : Google rappelé à l'ordre par dix autorités nationales États-Unis - Plusieurs pays ont officiellement demandé à Google d'adopter un comportement exemplaire en matière de traitement des données personnelles. Les organismes de contrôle des différents États ayant adressé cette mise en garde visent particulièrement Google Street View. Google Street View et Google Buzz sont au cœur d'une polémique née autour de la protection des données personnelles sur le Net. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Dix organismes nationaux équivalents à notre Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) ont ainsi demandé au géant de Mountain View de respecter la législation en vigueur dans ce domaine. En mars, plusieurs autorités européennes avaient déjà demandé à Google de conserver les images non floutées six mois au lieu des douze actuels. Suivez-nous sur Facebook Vous êtes déjà abonné ? Top vidéo iPhone 6 : sortie, caractéristiques...Le point sur le futur smartphone Apple

Reconnaissance faciale + Réalité augmentée + Réseaux sociaux : votre visage devient votre carte d&rs&utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed: LesExplorateursDuWebFull (Les Explorateurs du Web (complet))&utm_content=Netvibes - Quoi de neuf Quels outils pour rester concentré ? En novembre 2011, nous vous avions proposé un répertoire d'outils utiles pour améliorer ses tâches de rédaction. Aujourd'hui, nous vous offrons un nouveau répertoire, qui liste cette fois des outils pour rester concentré sur sa tâche, quelle qu'elle soit. Comme our le répertoire précédent, celui-ci est librement adapté d'un article initialement publié sur un blogue américain, the99percent.com : 10 Online Tools for Better Attention and Focus. Sur le web francophone cette fois, un article publié en 2010 attirait notre attention sur le fait que l'usage incontournable des outils informatiques par un nombre croissant de travailleurs allait de pair avec une fragmentation accrue des tâches. Il est temps de réagir. 1- Bloquer ou limiter l'accès aux sites et services indésirables L'idée est ici de supprimer la tentation de sortir de votre tâche. Bloquer totalement l'accès à Internet Freedom : pour Mac OS, payant (10 $). Bloquer l'accès aux sites sociaux seulement * Extensions pour votre navigateur

Google poursuivi en justice pour ses nouvelles règles de vie privée La situation se corse pour Google, à mesure que la date du 1er mars se rapproche. Le groupe américain, qui compte faire entrer en vigueur ses nouvelles règles en matière de confidentialité dans trois semaines, est depuis quelques jours la cible des autorités de régulation et des organisations non gouvernementales, qui s'inquiètent des effets de la nouvelle politique du géant du web sur la vie privée des internautes. MSNBC rapporte que l'Electronic Privacy Information Center (EPIC) a déposé une plainte outre-Atlantique, dans l'espoir d'obtenir la suspension du futur document. L'un des éléments de cet accord porte sur le consentement des utilisateurs. Au regard de l'accord passé avec la FTC, l'EPIC prétend que Google n'a pas la possibilité de modifier son réglement sans le feu vert préalable des utilisateurs. Les réclames devraient a priori être plus précises dans la mesure où Google pourra exploiter l'ensemble des informations qu'il a disposition sur un utilisateur en particulier.

Fiche Libres savoirs, les biens communs de la connaissance Auteur(s) du livre: Ouvrage collectif coordonné par VecamÉditeur: C&F Éditions978-2-915825-06-0Publié en 2011Première rédaction de cet article le 5 novembre 2011 Qu'est-ce qu'il y a de commun entre la paysanne mexicaine qui réclame de pouvoir faire pousser des semences de maïs de son choix, le parisien qui télécharge de manière nonhadopienne un film qu'il ne peut pas acheter légalement, la chercheuse états-unienne qui veut publier ses découvertes sans enrichir un parasite qui vendra très cher le journal scientifique, le programmeur brésilien qui développe du logiciel libre, et l'industriel indien qui veut fabriquer des médicaments moins chers ? Tous veulent pouvoir utiliser librement le savoir issu des communs. Car même si les cinq personnages cités plus haut n'en sont pas forcément conscients, leur lutte est la même. Les biens immatériels représentent un cas particulier : contrairement au champ de l'article de Garrett Hardin, leur usage ne les épuise pas et ils peuvent être copiés.

Qu'est-ce que l'identité numérique ? Je ne suis pas le premier à tenter de vulgariser le concept d’identité numérique, Leafar (Raphaël pour les intimes) a ainsi déjà proposé une représentation de l’identité numérique (voir son billet : U.lik unleash Identity 0.2), j’avais également déjà abordé la question dans un précédent billet. Je souhaite avec cet article compléter cette vision et y apporter ma touche personnelle. Les utilisateurs au coeur du web 2.0 Avec la prolifération des blogs et wikis, la multiplication des réseaux sociaux et l’explosion du trafic sur les plateformes d’échanges, les contenus générés par les utilisateurs prennent une place toujours plus importante dans notre consommation quotidienne de l’internet. Tous ces contenus laissent des traces sur les sites qui les hébergent et dans les index des moteurs de recherche, ils sont également systématiquement rattachés à un auteur. De la volatilité de l’identité numérique Les différentes facettes de l’identité numérique

L’Allemagne « n’aime pas » le « j’aime » de Facebook L’Allemagne « n’aime pas » le « j’aime » de Facebook Pour certains, c'est de l'abus de pouvoir. Pour d'autres, c'est un acte fort qui montre que l'Allemagne se préoccupe de la vie privée de ses citoyens. En effet, une autorité locale de protection des données personnelles vient de condamner les sites édités dans le land du Schleswig-Holstein (dans le nord de l'Allemagne), à payer une amende de 50 000 $ s'ils ne retiraient pas le bouton Facebook "J'aime" de leur site afin fin septembre. Ça peut sembler débile mais ce bouton, même sans que vous cliquiez dessus, permet à Facebook de connaitre les sites sur lesquels vont les internautes, de les pister, de savoir combien de temps ils restent dessus...etc, même si ces derniers ne sont pas inscrits sur Facebook. Pour les Allemands, c'est clairement un abus en ce qui concerne le respect de la vie privée des internautes, d'où l'amende. Je trouve ça plutôt bien. [Source et photo] Vous avez aimé cet article ?

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