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Association nationale des Acteurs de l'Ecole

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Pédagogie de l’alternance : pratique et théorie en Maison Familiale Rurale (MFR) - Le Blog de Christophe BERNARD {*style:<i> Crédit photo : UNMFREO </i>*} Les fondateurs de la pédagogie par alternance des MFR ont très tôt mesuré l'importance de la trace écrite et du lien à établir nécessairement entre les périodes de stage en entreprise et les périodes de formation « scolaires ». De 1946 à 1950, André DUFFAURE, formateur et futur directeur de l'UNMFREO (Union Nationale des Maisons Familiales Rurales d'Education et d'Orientation), mène ses essais pédagogiques et met en place les , dans lesquels l'expérience professionnelle devient première, la formation à la MFR devant s'adapter aux besoins du terrain. Dans ce cahier, le stagiaire note ses observations, guidé dans son questionnement par un « Plan d'étude » qui organise ses recherches d'informations. Ce est encore aujourd'hui la pierre angulaire de la pédagogie par alternance en MFR. Pour clore le thème, j'ai organisé cette année une visite dans une crèche/halte-garderie parentale. </b></i>*} ¨ (par le recours à différents modes cognitifs)

Blog Le numérique pour changer l'École Apprendre avec le numérique : un incontournable ! Le numérique est partout : il révolutionne nos systèmes productifs, nos modes de communication mais aussi d’apprentissage. Le numérique est finalement une nouvelle manière de vivre ensemble, à laquelle l’école doit aussi préparer. Témoignage-expérience d’une professeure des écoles / blogueuse, Delphine Guichard (Charivari !) Cette galerie contient 2 photos. Delphine Guichard, alias Charivari, blogueuse bien connue des enseignants du premier degré, témoigne de son expérience du numérique à l’école. Une République sans éducation ? L’Assemblée nationale vient de voter en première lecture une loi « Pour une République numérique ». C’est peu dire que la question de l’éducation est passablement absente de cette loi. Notons quand même une modification de la loi ESR de 2013 : les formations universitaires entièrement en ligne sont désormais « libérées » et peuvent donner lieu à la délivrance de diplômes. Classe inversée : suivez la balise #CLISE2016

Le blog de Christine Vaufrey Demain jeudi 28 juin, je vais animer un atelier aux Journées du e-learning de Lyon, organisées par l’université Lyon 3 et ses partenaires. Quatre témoins de pratiques « améliorées » de formation et d’apprentissage vont se succéder pour un débat avec la salle. Moi, je ne dirai pas grand chose, car je considère que j’ai dit tout ce que j’ai à dire (pour le moment) sur le sujet, dans le livre blanc L’apprentissage augmenté que j’ai coordonné pour Thot, à partir des articles publiés sur le site depuis quelques années. Tout, sauf une chose, que je partage ici. Je ne suis plus étudiante depuis longtemps. Maintenant, je n’ai plus besoin de diplômes supplémentaires. Au moment d’effectuer un choix de cours / parcours, je me trouve face à une profusion d’offres toutes plus intéressantes les unes que les autres. J’élimine d’emblée : – Les cours sur des sujets sans doute intéressants, mais pas directement liés à mes préoccupations professionnelles ou privées. – Les cours « tout papier en ligne ».

La Soutenance La façon dont s’est déroulée la soutenance de la thèse de Louis-Adrien Delarue est sans doute plus intéressante encore que sa thèse elle-même Conformément à la recommandation qui a été faite à LAD pour sa thèse, nous n’avons indiqué que les initiales des intervenants. Le but de cet article n’est pas de stigmatiser tel ou tel professeur de faculté, mais de permettre de mieux comprendre la vision actuelle des conflits d’intérêts par l’Université française. J’interroge donc LAD sur son ressenti pendant le débat qui fait suite à la présentation de son travail devant le jury, à partir de quelques extraits particulièrement significatifs : DD : Après la présentation de ton travail, le débat a été introduit par le le Dr JG, Professeur de médecine générale : Pr JG : Alors je commencerai par te demander : qui es-tu pour oser remettre en cause comme ça la parole de nos maîtres ? DD : Qu’as-tu ressenti en entendant la première phrase du Pr JG ? LAD : A vrai dire, j’ai eu peur. LAD : Oh que oui !

Résistance pédagogique pour l'avenir de l'école L’information n’est pas une marchandise ! Non au lecteur au centre ! Non, mais pour qui il se prend celui-là ? Je parle du nouveau principal de rédaction. A peine nommé par l’Informatorat de l’Académie à la tête de mon EPLI (établissement public local d’information), il se met en tête de tout contrôler. La caporalisation en marche ! Il exige une réunion hebdomadaire de l’équipe informative en laissant clairement entendre – tenez-vous bien – que la présence de chacun n’y est peut-être pas formellement obligatoire mais qu’elle est recommandée. Je rêve ! Il prétend aussi connaître les intentions de chacun en termes de formation continue, si on a des projets d’enquête qui pourraient déboucher bientôt, des sujets qu’on aurait envie de creuser… Et ci, et ça… Et quelle est notre perception du lectorat… Et est-ce qu’on cultive, justement, une relation interactive avec nos lecteurs ? Tout juste s’il ne nous demande pas la longueur probable d’un article avant même qu’on ait commencé à l’écrire ! Dérive managériale Zone d’information prioritaire Luc Cédelle

Un blog du SE-Unsa Programmes de 2008 : Jean-Paul Vaubourg : L'Inspection est-elle myope ? Le rapport de l'Inspection Générale sur la mise en œuvre des programmes analyse la façon dont les enseignants de primaire organisent le travail d'étude de la langue dans leur classe. Il affirme notamment que « la majorité d’entre eux manquent de connaissances, ne perçoivent pas la langue comme un système et n’ont pas la vue d’ensemble qui leur permettrait d’établir une hiérarchisation entre les notions à étudier, une progression, des relations fructueuses entre domaines ». Ces reproches sont précisément ceux que beaucoup d''enseignants formulent à l'encontre de ces programmes de 2008 ! Les enseignants regrettent en effet : l'accumulation de notions à travailler, sans qu'elles soient mises en lien et la non présentation de la langue comme un système ; la non hiérarchisation des notions qu'il est demandé de faire travailler aux élèves ; l'absence de progression organisant les notions à étudier. Des programmes sans cohérence... Je voudrais relever ici quelques-unes de ces incohérences :

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