background preloader

[Carte] Le Grand Emprunt booste les fab labs

[Carte] Le Grand Emprunt booste les fab labs
À la traîne en France, les fab labs, ces mini-usines collaboratives permettant de créer ou fabriquer des objets à la demande, vont se multiplier, entre autres grâce au projet interrégional de médiation scientifique Inmediats. 5 millions d'euros y seront consacrés. Hop ! nous sommes en 2020, les hackerspaces, fablabs et autres usinettes (le nom importe peu) se comptent par milliers en France et pas seulement dans les grandes villes. Des gens de bonne volonté se sont regroupés dans certains villages désertiques, dans d’anciennes MJC-Algeco de banlieues “chaudes”, dans des usines désaffectés. Le passionné de mécanique auto prête ses outils et donne des cours à des types qui font en échange un peu d’ingénierie inverse sur la puce qui contrôle l’allumage de sa fourgonette TDCI. En 2009, Alexandre Korber, créateur d’Usinette, anticipait une France où les fab labs pulluleraient autant que les Leroy-Merlin. « On ne veut pas institutionnaliser » Retrouvez les autres articles du dossier FabLab

The Public Library, Completely Reimagined Teaching Strategies Fayetteville Free Library, by Lauren Smedley You’ll hear a lot of talk about the “death of the public library” these days. Librarians will remind you, of course, that a library is much more than a book repository. But these new formats will indeed change libraries — how they operate as well as how they look. Earlier this year, MAKE Magazine’s Phillip Torrone wrote a provocative article asking “Is it time to rebuild and retool libraries and make ‘techshops’?” “Yes!” Lauren Smedley, assembling the MakerBot So far, the Fab Lab is equipped with a MakerBot, a 3D printer that lets you “print” plastic pieces of your own design. Smedley says she plans on adding other equipment as well, including a CNC Router and a laser cutter. Lauren Smedley The Fayetteville Free Library is actually housed in part in an old furniture factory, so the site already has a “history of making,” says Smedley. Smedley says she wants to prove that libraries aren’t just about books. Related

Is It Time to Rebuild & Retool Public Libraries and Make “TechShops”? To me, public libraries — the availability of free education for all — represent the collective commitment of a community to their future. They symbolize what is most important, a commitment to educating the next generation. The role of a public library should also adapt over time, and that time is finally here. It’s time to plan how we’re going to build the future and what place public libraries have, should have, or won’t have. If you’re reading this, you’re likely not reading it in a public library. So where does this leave libraries? Let’s explore what could be ahead for public libraries and how we could collectively transform them into “factories” — not factories that make things, but factories that help make people who want to learn and make things. Before we dive into the future, let’s take a look at the current public library scene now. First up: How are public libraries used in the USA? Source: Public Libraries in the United States: Fiscal Year 2008 Librarians: 47,926 And lastly:

For the price of a TV you can start a FabLab This Christmas season you could buy a loved one an HDTV, a low end MacBook, or a suite of tools that enable them to create anything they can imagine. MIT Media Lab professor Neil Gershenfeld coined the term “FabLabs” to describe such a set of customization manufacturing tools (CNC mills, 3D printers, etc.) that would theoretically enable people to make almost anything. His vision was that these labs could be deployed to the inner city or developing world helping people fashion appropriate technology. A typical FabLab costs $25,000 to setup, but the entry level cost has been reduced dramatically. Low Cost FabLab Ingredients 3D Printer – MakerBot $750 The MakerBot has severe limitations, but there is no other sub $1000 option (The lowest cost 3D printer is more than 10X the cost). 3D Mill – Unimat $499 I learned about the Unimat system via AdaFruit Industries. 2D Plotter – Craft Robo $250 You can also use devices like this to etch glass:

L’Open hardware, open source pour bricoleurs du XXIe siècle Dans le cadre de SFR Player 2010, SFR organisait hier soir une conférence en partenariat avec Digital Arti sur les FabLab. Après un petit tour dans l’univers futuriste et ultra-geek de l’Atelier SFR, retour donc aux objets concrets et réels avec un topo très intéressant sur les FabLabs. Un FabLab, c’est quoi ? Le concept est né au MIT. Proposé par Niel Gershenfeld, le FabLab est défini comme un « atelier communautaire de prototypage rapide à commande numérique ». Atelier communautaire car il repose sur le principe de l’open hardware, où chacun peut venir (vous et moi, pas besoin de compétences techniques) usiner ou faire usiner des objets, à condition de laisser ensuite les plans en « open plan ». Les FabLabs sont conçus en réseau mondial dans lequel chaque FabLab partage ses plans de fabrication, des connaissances, des questions, avec les autres FabLabs. On retrouve donc l’esprit de l’open source sur les objets, dans la même mouvance que des projets de crowdsourcing tels que ikeahacking.

iPad contre Arduino: la révolution du matériel open source Les exemples sont nombreux: prenez l'iPad ou le nouvel iPhone, avec un écran tactile multi-touch vraiment précis ou une batterie qui font rougir nos ordinateurs portables avec une longévité de plus de 8 heures (contre 2-3 maximum pour les autres batteries)... ajoutez à cela un design bien pensé et des processus industriels maîtrisés et vous avez un véritable bijou technologique à la portée de (presque) tous. Tout cela est très bien à une seule exception près, ces merveilleux gadgets sont tous "bloqués" aussi bien au niveau logiciel que matériel. Aucune possibilité de modifier ne serais ce le code source des logiciels qui le pilotent, que de modifier, bidouiller le matériel que vous avez acheté. Il y a peu, une cour de justice américaine à légalisé le fait de "jailbreaké" votre iPhone (de passer outre la restriction logicielle), mais avec le risque de se voir annuler la garantie par Apple. Reprendre la main sur la technologie Définition et utilité Deux exemples: le RepRap et l’Arduino

Makible combine crowdfunding et chaîne de fabrication La plate-forme propose aux porteurs de projet de faire part de leur idée, de l'affiner avec leurs pairs ou avec les internautes, puis de le faire financer. La startup gère ensuite sa conception et sa distribution. Le financement par des particuliers (crowdfunding) facilite l’accès à l’entreprenariat et à la réalisation de projets. Mais pour en profiter, il faut maîtriser tout le reste de la chaîne. De multiples options, de l'investissement à la distribution "Les projets auront plus de chance d'aboutir en un temps relativement court et les inventeurs ne seront pas bloqués par les contraintes et impératifs matériels." Des délais de réalisation plus courts Les projets n'aboutissant pas sont intégralement remboursés aux différentes parties.

The Art of 3-D Printing As part of our special report on manufacturing, we asked Neri Oxman, a professor at the MIT Media Lab and an internationally recognized artist whose work is part of the permanent collection at the Museum of Modern Art in New York, to create a sculpture that would illustrate the future of manufacturing. (See a gallery of images here.) What she produced, in collaboration with MIT materials science professor Craig Carter, is a powerful demonstration of the possibilities of 3-D printing, using techniques that take advantage of the capabilities of 3-D printers in ways that conventional manufacturing techniques cannot. Oxman, who trained as an architect, says buildings are designed today with an eye toward the components they can be made of—sheets of plywood, panes of glass, steel beams, and concrete columns. As a result, those designs are limited, in much the way Lego bricks constrain the shapes that children can build. To help develop the algorithms needed, Oxman has teamed up with Carter.

Et si le P2P amorçait une révolution communiste ? Regardez ce reportage où l'on voit une imprimante 3D, dont nous avons déjà parlé, en plein travail : Nous le répétons souvent, chercher à lutter contre les réseaux P2P est une lutte vaine. Le téléchargement est là pour rester, et rien ne pourra l'arrêter. Le prix d'une imprimante personnelle est passé d'environ 1000 euros en 1982 à 300 euros en 1997... et seulement 20 euros aujourd'hui pour les moins chères. Qu'on se le dise, comme l'affirmait Bill Gates, une révolution de nature communiste est bel et bien en marche. Certes, pensez-vous, les constructeurs qui conçoivent et commercialisent les outils de production restent maîtresses du jeu. Dans ce contexte, on comprend mieux la violence du clivage croissant entre les tenants du droit d'auteur et ceux qui souhaiteraient le libéraliser. Mais vous qui utilisez BitTorrent, Wikipedia ou Linux... vous sentez-vous communiste ?

Related: