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Deep packet inspection

Deep packet inspection
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il s'oppose au Stateful Packet Inspection (en), qui ne concerne que l'analyse de l'en-tête des paquets. Le DPI peut provoquer un ralentissement sensible du trafic là où il est déployé. Principe[modifier | modifier le code] Le DPI permet de lire les couches 2 et 3 du Modèle OSI, voire dans certains cas jusqu'à la couche 7, ce qui inclut à la fois les headers (en-têtes), les structures des protocoles et la charge, le contenu du message lui-même. Utilisations[modifier | modifier le code] Par les entreprises[modifier | modifier le code] Jusqu'à récemment la sécurité des connexions internet en entreprise était une discipline annexe, où la philosophie dominante consistait à tenir à l'écart les utilisateurs non autorisés, et à protéger les autres du monde extérieur : l'outil le plus utilisé était alors le pare-feu à état. Par les gouvernements[modifier | modifier le code] Par les fournisseurs d'accès à Internet[modifier | modifier le code]

L’IPv6 et l’internet des objet Protocole Internet IPv6 L’Internet Protocol version 6 ou IPv6 est un protocole internet qui capable de supporter un nombre maximal d’adresses web avec un codage 4 fois supérieur à celui de son prédécesseur Internet Protocol version 4, notamment 128 bits contre 32 bits pour la version antérieure. L’instauration de ce nouveau protocole Internet va surtout être bénéfique pour l’internet des objets car il va permettre au réseau d’objets connectés entre eux, grâce à des modules intelligents et miniaturisés basés sur une technologie de communication M2M (Machine to Machine), de se développer et de s’étendre davantage. L’IPv6, un protocole internet au service des objets connectés : L’un des principaux avantages que l’Ipv6 peut apporter aux objets connectés concerne sa capacité à supporter une quantité colossale d’adresses internet, laquelle facilitera la réalisation de l’internet des objets. Be Sociable, Share!

Facebook et le «temps de cerveau disponible» Si Internet était à vendre, y aurait-il un prince du Qatar ou une multinationale pour en faire l’acquisition ? Cette question incongrue est-elle déjà obsolète ? L’Internet qu’on croit connaître, neutre et ouvert, ne nous appartient peut-être plus. Prenons l’exemple de Facebook. Né comme réseau social, Facebook a d’abord créé votre profil de consommateur en utilisant vos données personnelles (âge, sexe, contenu des messages, amis…). Le bouton «J’aime» symbolise cette stratégie. Peu à peu, une entreprise comme Facebook détricote l’architecture d’un Internet libre : par son marketing et ses innovations technologiques, il crée un point de passage géant, sur lequel beaucoup d’individus et de sociétés construisent leur rapport à Internet. Photo Alain Laurent, CC BY SA Cette menace qui pèse sur les fondements technologiques d’Internet est particulièrement sensible pour les créateurs de contenus. Pour les créateurs de contenus, la question du rapport de force mérite d’être posée.

Born to be alive | Naissance virtuelle en 3D Colt : Notre métier est de prendre et transporter la donnée Directeur général de Colt pour la France, Michel Calmejane est un fin connaisseur du monde des datacenters. Le positionnement de l’opérateur britannique sur le haut de gamme des datacenters, que nous pourrions qualifier de sécurisé à critique, lui permet d’afficher un point de vue parfois tranché, mais toujours justifié, sur ce marché. Silicon.fr - L’actualité du datacenter est actuellement plutôt riche. Pourquoi ? Michel Calmejane – Le datacenter cible principalement trois tendances : la réorganisation du système d’information ; le parc existant qui est vieillissant et qui doit répondre aux normes européennes ; et l’optimisation des infrastructures avec la consolidation, la virtualisation et le cloud. J’y ajouterais les PME qui sont à la recherche d’une infrastructure clés en main, managée jusqu’au poste de travail, avec VDI (virtualisation du poste de travail), Exchange, Dropbox, la gestion des identités, la sécurité, etc.

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