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Enseignement supérieur

Enseignement supérieur

Réaliser une utopie : la vie quotidienne au Familistère Godin Les mères peuvent amener les nouveau-nés à la « nourricerie » et au « pouponnat » sans sortir du familistère, en échappant, grâce aux grandes verrières, aux rigueurs du climat. Après l’âge de quatre ans, les enfants sont accueillis au « bambinat » puis à l’école situés de part et d’autre du théâtre du familistère, lequel vient compléter la fonction éducative et culturelle que Godin assigne à son « palais social ». Les fêtes du familistère, celle de l’enfance (depuis 1863) et celle du travail (depuis 1867), se déroulent, au mois de mai et au mois de septembre, dans la cour intérieure du pavillon central. Ces fêtes ritualisées ont un déroulement quasi immuable. Il ne faut pas assimiler cette fête du travail, comme l’ont prétendu certains érudits locaux, avec la fête du Travail, le 1er Mai : la fête du familistère s’enracine dans une tradition de concorde sociale et non de lutte des classes. Ces fêtes ritualisées ont un déroulement quasi immuable.

ChronosEdit : logiciel gratuit pour élaborer des archives historiques ChronosEdit est un logiciel créé par deux enseignants du Collège Edouard-Montpetit (Canada), Lorne Huston et Louis Lafrenière. Ce logiciel s'adresse aux enseignants qui aimeraient adopter une approche constructiviste dans leurs pratiques d'enseignement d'histoire, et d'une manière générale, des sciences humaines. Il ne s'agit pas d'une encyclopédie ou d'un manuel. Une version pour les étudiants dénommée Chronos tout court existe. Les archives élaborés avec Chronos peuvent être projetées, imprimées, gardées en mémoire pour un travail particulier. Le fonctionnement de ce didacticiel est simple. Une vidéo de démonstration disponible sur la page de présentation du didacticiel facilite la prise en main. Chronos Edit et Chronos fonctionnent seulement sous les systèmes d'exploitation Mac OS et Windows.

L'Ecole des mines par Gabriel CHESNEAU par Gabriel CHESNEAUDirecteur honoraire de l'Ecole Nationale Supérieure des Mines de Paris Initialement publié en 1931 puis en 1932 par l'Ecole des mines de Paris. Les origines de notre Ecole se confondent avec celles du Corps des Mines, et la première idée de sa création est née vers le milieu du XVIII e siècle, avec la préoccupation de former un personnel capable de donner des directions techniques aux exploitants de mines et aux métallurgistes, qu'un renouveau industriel suscitait alors de plus en plus nombreux sur notre territoire. Très florissantes sous les Gaulois, nos mines métalliques avaient été délaissées depuis l'époque romaine, reprises avec quelque activité au XIVe et au XVe siècle, puis abandonnées encore pour les fabuleuses richesses de l'Amérique. Ce ne fut pas sans peine que Sage obtint des pouvoirs publics d'être le titulaire de la nouvelle chaire de « minéralogie et métallurgie docimastique » et de la faire installer dans l'Hôtel de la Monnaie.

Claude-Hugues LELIEVRE (1752-1835) Claude-Hugues LELIEVRE (1752-1835) Photo ENSMP Publié dans le LIVRE DU CENTENAIRE (Ecole Polytechnique), 1897, Gauthier-Villars et fils, TOME III ainsi que dans Notice historique de l'Ecole des Mines de Paris, Louis Aguillon, 1889. LELIÈVRE, né à Paris le 28 juin 1752, est mort le 18 octobre 1835. Il faisait partie de la première promotion de l'Ecole des mines en 1783. Le 24 juin 1784, il sortait breveté. A l'Agence, puis au Conseil des Mines, il était plus spécialement chargé de la partie administrative proprement dite et de tout ce qui pouvait concerner les substances métalliques. Lelièvre était un chimiste et surtout un minéralogiste des plus distingués. Le texte qui suit a été publié dans ABC Mines, bulletin 29, mai 2008, pp. 41 à 46 : Le voyage de Gillet de Laumont et de Lelièvre dans les Pyrénées à la veille de la Révolution française. par Franck GIRAUD Ce voyage pyrénéen entrepris s'inscrit dans un contexte d'exploration des grandes chaînes de montagnes. Ingénieur des Mines de France,

LA PERIODE HISTORIQUE | Conférence des Directeurs des Écoles Françaises d'Ingénieurs La première génération des écoles de service public est le résultat improbable d'une continuité toute « tocquevilienne » de la politique de l'Etat, de l'Ancien régime à la Révolution, puis sous l'Empire et au début de la Restauration. L'Etat crée ou consolide pendant toute cette période des écoles dont le rôle est de former les cadres techniques dont il a besoin pour assurer ses missions, tant militaires que civiles. Celles-ci font de lui à cette époque le premier entrepreneur de France : routes et ponts, exploitation minière, eaux et forêt, construction de vaisseaux, artillerie, fortifications,.......C'est ainsi que s'organisent autour de l'Ecole Polytechnique (1794) les Grands Corps et les écoles qui les alimentent, soit une dizaine d'entités. Les couples emblématiques Corps/Ecole qui se mettent en place sont la préfiguration étatique du couple métier/formation caractéristique de l'esprit de l'école française.

Atlas historique Les Temps Modernes Auguste Comte, 1798-1857 « Frédéric Dupin La vie de Comte est à la fois bien connue et mal jugée : ces quelques indications, parues dans le dossier des éditions de l’Appel et du Catéchisme réalisées par les éditions du sandre, ne prétendent pas y changer grand chose, mais seulement restituer à cette existence un peu de sa dynamique propre, et de ses intentions les plus explicites. L’oeuvre jugera l’homme mieux encore. De sa vie, Comte a pu écrire qu’elle eût fait un « fort roman », et un roman balzacien sans nul doute, tant les ambitions, les pensées, et les accidents de son existence hors norme, résument à leur manière l’ensemble de son siècle. 1798-1816. Le polytechnicien Auguste Comte naît le 20 janvier 1798 à Montpellier, de Louis Comte, employé auprès de la Recette Générale de l’Hérault, et de Rosalie Boyer. 1806-1813. 1813. 1814-1816. 1816-1826. 1816-1817. 1817-1819. 1818. 1819. 1820. 1820-1824. 1824. 1825. 1826. 1826-1844. 1826. 1826-1827. 1829-1830. 1830-1844. 1832. 1833. 1835. 1836. 1838. 1839. 1840. 1841. 1842. 1844.

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