Quelques définitions du lexique du genre théâtral Quelques définitions du lexique du genre théâtral. I. L’expression de la parole Didascalie : indication de mise en scène donnée par l'auteur en marge des répliques. Réplique : tout propos que prononce un personnage, qu'elle qu'en soit la longueur. Stichomythie : dans le théâtre en vers, succession rapide de brèves répliques d'égale longueur, correspondant bien souvent à un affrontement. Répartie : réplique assez courte contenant un effet (étonnement, rire.). Tirade : longue réplique ininterrompue d'un personnage. Monologue : tirade récitée par un personnage se trouvant seul sur scène ce qui permet de connaître ses sentiments. II. Double énonciation : au théâtre un personnage parle à un autre, et les deux s'adressent en fait indirectement aux spectateurs. L'aparté : réplique prononcée en présence d'un autre personnage qui est supposé ne pas l'entendre, destinée en fait au public. Le faux dialogue : il consiste à faire répéter à l'intention du public des informations déjà données. III. IV.
Le Proscenium : Textes de théâtre contemporains francophones : Pièces, sketches, drames, tragédies, contes, saynètes, comédies Le Qatar s'invite dans le capital de Vente-privée.com Vente-privée.com dispose d’un nouveau soutien inattendu : Qatar Holding, la branche d’investissement direct de Qatar Investment Authority. Le fonds souverain du Qatar est donc entré dans le capital du site de commerce électronique co-fondé et dirigé par Jacques-Antoine Granjon. Et il est considéré comme un « actionnaire minoritaire de poids », selon un communiqué de la société. Dans le prolongement de cette évolution capitalistique, Jacques-Antoine Granjon précise qu’il a également « renforcé sa position à la direction de Vente-privée.com et sa participation au sein du capital de la société ». « Je garde le contrôle total de l’entreprise avec mes associés historiques », assure le Net-entrepreneur et business angel dans un entretien accordé au Monde. L’entrée de Qatar Holding dans le capital n’est pas associée à une augmentation de capital ou à une levée de fonds. Mais un des actionnaires du site marchand a cédé tout ou partie de sa participation.
L'ironie L'ironie est une forme d'expression dans laquelle on se moque de quelqu'un, d'un adversaire ou d'une idée. Elle consiste essentiellement en un écart, un décalage entre ce qui est dit et ce qui est pensé. C'est une forme argumentative, mais aussi narrative et dramatique. Plusieurs procédés rhétoriques sont couramment employés dans un but ironique: l'antiphrase, qui consiste à dire le contraire de ce que l'on pense et que l'on veut faire comprendre. Mais l'ironie est essentiellement un fait d'énonciation. Dans une argumentation, l'ironie consiste à faire semblant de donner la parole à son adversaire, à le citer pour mieux montrer que ses idées sont absurdes, odieuses ou ridicules. Dans un récit, l'ironie tient souvent à une opposition entre le narrateur et le point de vue. Au théâtre, l'ironie dramatique se produit quand un des personnages présents sur scène ignore quelque chose que les autres et les spectateurs savent. 1.
L'école des femmes, Molière : résumé scène par scène Voici un résumé de L’école des femmes de Molière. Tu peux trouver ici une fiche de lecture complète sur L’école des femmes (avec l’analyse du contexte, des thèmes de la pièce et de ses spécificités dans l’œuvre de Molière). Résumé de l’acte I de L’école des femmes scène 1 Le rideau se lève sur une conversation entre Arnolphe et Chrysalde. Arnolphe annonce à son ami Chrysalde qu’il va épouser le lendemain une jeune demoiselle. Afin d’éviter d’être un jour cocu, Arnolphe fait part à son ami des précautions qu’il a prises. Il est en effet devenu tuteur d’une jeune enfant de quatre ans qu’il a confié à un couvent en prenant soin qu’elle soit gardée dans l’ignorance et à l’écart des choses de la vie. Cette jeune fille, Agnès, a aujourd’hui 17 ans (Arnolphe en a 42) et il compte l’épouser. Arnolphe raille les nombreux maris cocus et assure que l’innocence et l’esprit simple d’Agnès le protège de tout risque d’être un jour cocu. scène 2 et 3 scène 4 Résumé de l’Acte II de L’école des femmes scène 1 et 2
Qatar, les ambitions démesurées d'une micro-monarchie LE MONDE GEO ET POLITIQUE | • Mis à jour le | Par Benjamin Barthe - Doha, envoyé spécial La scène se déroule le 23 juin 2009 dans le salon d'apparat de la mairie de Paris. Le tapis rouge est déroulé devant son Altesse Sérénissime Hamad Ben Khalifa Al-Thani, le monumental émir du Qatar. Dehors, la police parisienne est sur les dents. Le Qatar : un nabot par la taille (11 500 km2) et la population (1,7 million d'habitants, dont 85 % d'expatriés), un mammouth par la force de frappe diplomatique et économique. Parallèlement, le Petit Poucet qatari montait au front des révolutions arabes, en envoyant ses avions de chasse Mirage et ses forces spéciales à la rescousse des rebelles libyens et en sonnant la charge contre Bachar Al-Assad, le tyran de Damas. Pour comprendre ce qui fait courir la dynastie Al-Thani, il faudrait donc, comme le soufflait Tamim, remonter à l'époque des perles et des chevaux, les deux "mamelles" historiques du pays. Le Qatar aurait pu en rester là.
Monplaisir Lettres - EAF 2009 corrigé du commentaire sur La Critique de L’Ecole des femmes scène 5, Molière, séries S et ES Voir les sujets ICI Commentaire : Vous commenterez le texte de Molière, La Critique de L’Ecole des femmes (1663), sc. 5 L’Ecole des femmes, en 1662, est la première grande pièce de Molière qui sort du genre de la farce pour s’attaquer à une vraie comédie. I) La comédie de la comédie A) Une joute verbale mondaine, vide de sens et de fond - La scène est dans un salon mondain et aristocratique dont la maîtresse de maison est Uranie, un prénom de précieuse ! - La querelle s’amorce sur un mot du marquis pour juger la pièce, c’est l’adjectif « détestable ». - Ce qui est amusant, c’est le malin plaisir que prend Dorante à pousser le marquis dans ses retranchements par un questionnement pressant destiné à l’embarrasser et à faire éclater son ignorance, sa sottise et ses préjugés. Un petit marquis avec rhingrave, canons, baudrier, souliers à talons rouges B) La caricature dans la caricature - Ainsi ce personnage raillé par Molière portait même un nom ridicule dans la réalité : Plapisson !
méthodologie : le commentaire Mme Chomienne, Classes de seconde et de première Le commentaire Méthodologie Les phrases suivantes proviennent toutes de vos paragraphes. Toutes ont leur intérêt mais elle manque de méthode. Saurez-vous retrouver le défaut de chacune ? L'analyse du procédé n'est pas faite. Il cite les conséquences que le stratagème va avoir sur elle: "elle se débattra", "faible", "honteuse" ce qui prouve bien la méchanceté de ce personnage. ... L'analyse se conclut par de la paraphrase. Dans cet extrait, Dubois cherche à mettre en place un stratagème afin de permettre le mariage de Dorante et Araminte. La phrase est sans rapport avec l'idée du paragraphe. En effet dans cette réplique on peut voir une allitération en "s" qui fait ressortir le côté serpent de Dubois, sa méchanceté envers Araminte. Il manque une citation précise du texte. En soumettant sa vision des faits, Dubois utilise un langage plutôt violent et cruel. L'expression est très maladroite. C'est une affirmation non prouvée et hors-sujet Sommaire Relevé
Immobilier : Le Qatar s'offre quatre hôtels de luxe en France Le Martinez à Cannes, le Palais de la Méditerranée à Nice, le Concorde Lafayette et l'hôtel du Louvre à Paris passent sous pavillon qatarien. Des achats qui complètent la longue liste de propriétés de l'émirat en France. À en croire les sources de l'agence de presse AFP, l'hôtel Martinez, à Cannes, le Palais de la Méditerranée, à Nice, le Concorde Lafayette, porte Maillot à Paris, et l'hôtel du Louvre, dans le IIe arrondissement de la capitale, seraient achetés par Katara Hospitality (ex-Qatar National Hotels Co.), propriétaire et gestionnaire d'un portefeuille hôtelier de luxe dans les Émirats et dans le monde. De son côté, Claude Levy, du syndicat CGT des hôtels de prestige et économiques, n'a pas de précisions sur l'acquéreur: «On sait que c'est des Qatariens, mais rien de plus.» Starwood Capital n'a pas souhaité commenter ces informations. » EN IMAGES - La puissance de la pieuvre Qatar dans le monde » Le Qatar se paie l'immeuble de Virgin sur les Champs
La Critique de L’École des femmes/Édition Quinet, 1663 Scène première Uranie, Élise. Uranie Quoi, cousine, personne ne t’est venu rendre visite ? Élise Personne du monde. Vraiment voilà qui m’étonne, que nous ayons été seules, l’une & l’autre, tout aujourd’hui. Cela m’étonne aussi, car ce n’est guère nostre coutume ; & votre maison, Dieu merci, est le refuge ordinaire de tous les fainéants de la cour. L’après-dînée, à dire vrai, m’a semblé fort longue. Et moi, je l’ai trouvée fort courte. C’est que les beaux esprits, cousine, aiment la solitude. Ah ! Pour moy j’aime la compagnie, je l’avoue. Je l’aime aussi, mais je l’aime choisie ; & la quantité des sottes visites qu’il vous faut essuyer parmi les autres, est cause bien souvent que je prends plaisir d’estre seule. La délicatesse est trop grande de ne pouvoir souffrir que des gens triez. Et la complaisance est trop générale de souffrir indifféremment toutes sortes de personnes. Je goûte ceux qui sont raisonnables, & me divertis des extravagants. Peut-estre l’a-t-il oublié, & que… Scène II Galopin Hé ! Ah !
L’École des femmes Avec Pierre Arditi (Arnolphe), Agnès Sourdillon (Agnès), Olivier Ythier (Horace), Christian Bouillette (Chrysalde), Gilles David (Alain), Martine Thinières (Georgette), Thierry Gibault (le notaire, Enrique), Daniel Delabesse (Oronte). Un film produit par Arte France, La Compagnie des Indes, Le Théâtre de la Commune-Centre dramatique national d’Aubervilliers. 2 h 30 min mercredi 19 janvier 2005, 22 h 45 L’émission Obsédé par la crainte du cocuage, Arnolphe fait élever dans la plus grande solitude et la plus totale ignorance l’Agnès dont il fera son épouse. Or tout se détraque : un jeune blondin a séduit la jeune fille qui découvre l’amour. La démarche [Français, 3e-2de] Un genre hybride Dépassant le simple divertissement pour dire des choses sur la nature humaine en faisant rire, l’œuvre « se balade entre comédie et tragédie », et ses représentations ont toujours oscillé entre ces deux pôles. Un dispositif scénique original et significatif Les costumes Agnès, Horace : le triomphe de la vie
Le Qatar s'offre un morceau des Champs-Elysées pour 500 millions d'euros L'émirat du Golfe a acheté à l'assureur mutaliste Groupama l'immeuble abritant notamment le magasin Virgin sur la "plus belle avenue du monde". C'est la troisième transaction la plus importante en immobilier d'entreprise depuis dix ans. Le fonds d'investissement qatari, Qatar Investment Authority (QIA), a acheté vendredi à Groupama l'immeuble de 27 000 m2 qui abrite les magasins Virgin et Monoprix, au 52-60 avenue des Champs-Elysées, à Paris, pour plus de 500 millions d'euros, rapporte mardi 5 juin Le Figaro. Une somme particulièrement appréciable pour le groupe mutualiste d'assurance, de banque et de services financiers, plombé par la crise grecque. Malgré ce contexte défavorable, Groupama n'a pas eu à brader ce bien : "Dès que le groupe l'a mis en vente, en avril, une dizaine d'acquéreurs potentiels, aussi bien français qu'étrangers, se sont déclarés. >> Lire aussi : "Pourquoi l'hôtellerie de luxe parisienne séduit les investisseurs étrangers"
La critique de l’École des femmes La critique de l’École des femmesMolière Des gens se retrouvent à la sortie de la représentation de L’École des femmes et déversent sur cette pièce toute la haine possible, allant jusqu’à vouloir l’interdire tant ils la trouvent obscène et indigne du « Grand Théâtre ». Face à ces critiques dépourvues de toute souplesse d’esprit, certains invités défendront l’œuvre au nom de la liberté et du fait qu’elle connaît, n’en déplaise aux pédants de tout poil, un énorme succès. Le succès est-il la conséquence de la qualité d’une œuvre ou celle de la bêtise moutonnière du public qui court toujours au plus facile ? La Critique de l’École des femmes reste avant tout un éloge du théâtre et un puissant manifeste aussi pour la liberté d’expression. – Le vendredi 16 février 2018 – de 19h à 20h30 – Sous le Pavé : La bibliothèque de Rangueil met à votre disposition des œuvres de la collection des bibliothèques de Toulouse en lien avec le spectacle « La critique de l’École des femmes ». Tarifs C