background preloader

Pourquoi le succès de Google+ est assuré

En ce moment la blogosphère est particulièrement agitée et surtout très partagée au sujet de Google+ : il y a ceux qui n’y croient pas, et ceux qui attendent de voir. Il faut dire que depuis le lancement de sa plateforme sociale (Google lance sa plateforme sociale unifiée Google+), Google peine à convaincre, même si les équipes avancent dans la bonne direction. Force est de constater qu’au fil des années, Google s’est éparpillé et qu’ils payent maintenant le retard accumulé sur le volet social. Des avis contradictoires Il y a eu ces dernières semaines pas mal de bruits autour de la chute de l’audience de Google+ : Google+ Traffic Falls 60% From Post-Launch Highs. Le service est maintenant ouvert à tous, et bénéficie même d’une promotion sur la page d’accueil de Google, un sacré coup de pouce ! Tout récemment, il y a également eu cet ingénieur qui s’est emporté contre sa hiérarchie : Google Engineer: “Google+ is a Prime Example of Our Complete Failure to Understand Platforms”.

High-Tech : Google paie les internautes pour scruter leur vie privée Le géant de l'Internet propose de rémunérer ses utilisateurs en échange d'un accès complet aux sites qu'ils visitent. Google vient de présenter son programme Screenwise, qui permet de suivre à la trace les internautes en échange d'une rémunération pouvant monter «jusqu'à 25 dollars en cartes cadeau». Tous les utilisateurs américains du navigateur Chrome de plus de 13 ans, disposant déjà d'un compte Google, peuvent s'inscrire à ce programme qui, selon l'entreprise, l'aidera à «améliorer ses produits et services et à créer une meilleure expérience en ligne pour tout le monde». Concrètement, après l'inscription, les utilisateurs devront installer une extension sur leur navigateur. Parallèlement à cette extension espionne, Google propose à ses utilisateurs, dans le cadre d'un partenariat avec l'institut Knowledge Networks, d'installer à leur domicile un routeur Cisco permettant d'analyser les données web du foyer et de les communiquer à des tiers.

Best Buy : 2 100 personnes formées à écouter et répondre aux clients sur Twitter Dans la droite lignée de nos derniers écrits successifs sur la digitalisation de la Relation Client, je pense que s’arrêter sur un exemple vaut le coup et qui de mieux que Best Buy pour illustrer nos derniers propos. Petit retour en arrière En effet, dans : Et si vous passiez à la Relation Clients sur Internet ? L’exemple Best Buy Best Buy est souvent pris en exemple pour montrer à la fois de la digitalisation de la Relation Clients chez un distributeur majeur. BestBuy implique plus de deux milles employés dans la gestion de son compte Twitter dédié au service clientèle. Facteurs clés de succès de la démarche de Best Buy Autre facteur clé de succès au delà de l’initiative individuelle d’un collaborateur est la volonté managériale d’activer la démarche. Troisième facteur clé de succès : la présence et l’utilisation par les clients du support.

Google Knowledge Graph Could Change Search Forever Google has a confession to make: It does not understand you. If you ask it “the 10 deepest lakes in the U.S,” it will give you a very good result based on the keywords in the phrase and sites with significant authority on those words and even word groupings, but Google Fellow and SVP Amit Singhal says Google doesn’t understand the question. “We cross our fingers and hope someone on the web has written about these things or topics.” The future of Google Search, though, could be a very different story. In an extensive conversation, Singhal, who has been in the search field for 20 years, outlined a developing vision for search that takes it beyond mere words and into the world of entities, attributes and the relationship between those entities. To understand where Google is going, however, you need to know where it’s been. Eventually Google transitioned from examining keywords to meaning. Big Changes Coming It’s a challenging task, but the work has already begun. Beyond Search

La révolution ce n’est pas Facebook, c’est la digitalisation de l’entreprise Facebook est un accélérateur et un facteur de changement. Nous l’avons vu en début d’année lors des révolutions du printemps arabe. Mais il n’est qu’un facteur ; d’autres conditions de changements devant être réunies : culturelles, économiques, sociétales, sociologiques, logistiques. Réduire les révolutions arabes à Facebook est une erreur (on peut dire la même chose des émeutes plus récentes en Angleterre). Lire certains experts digitaux interpréter le monde et ses changements au travers de ce qu’il voit tous les jours (Internet et en l’occurrence Facebook) est une erreur. Nous aimons dire au sein The Persuaders que les changements, si je passe maintenant à une vision plus économique en lien avec l’entreprise, sont liés à 4 facteurs, séparés entre les facteurs internes et les facteurs externes. Culturel et organisationnelStratégiqueConcurrentielAttentes des cibles visées L’enjeu Web pour les entreprises aujourd’hui : leur digitalisation Comment s’y prendre ?

Médias & Publicité : Les internautes délaissent un peu Google De nouveaux sites réunissent aujourd'hui les passionnés autour de centres d'intérêt communs. Un défi pour le géant américain et son moteur de recherche. Le Web fait sa mue. Avec Facebook et Twitter, les internautes ont constaté qu'ils pouvaient découvrir des contenus sur Internet grâce à leurs amis et plus seulement en faisant des recherches sur Google. Aux États-Unis, Pinterest est devenu un véritable phénomène. D'autres services, dont le projet de départ n'était pas de créer de tels «index» thématiques du Web, y ont été poussés par leurs utilisateurs. De même, le site de questions-réponses Quora a adapté son offre en lançant le service «Boards» fin décembre 2011. Des cibles recherchées par les marques «Ce n'est pas la fin du moteur de recherche, car on en aura toujours besoin pour chercher un coiffeur pour enfants à San Francisco. Et pour certains sites médias, Pinterest renvoie déjà plus de trafic que Facebook.

E-mailing et réseaux sociaux On lit régulièrement que l’emailing est en déclin et que l’emailing commercial est voué à disparaître au profit de stratégies relationnelles fortes sur les réseaux sociaux. Ça serait passer à côté de beaucoup d’informations que de faire ce raccourci qui, dans les faits, peut être largement remis en cause. Les internautes préfèrent être en contact “commercial” avec les marques par e-mail plutôt que sur les réseaux sociaux. C’est en tout cas ce qui ressort d’une étude menée récemment par Omnicom Media Group sur les usages et tendances de la communication personnelle en ligne. En effet, 78% des personnes interrogées déclarent préférer recevoir des informations commerciales d’une marque par e-mail plutôt que via les autres canaux relationnels en ligne. Devenir fan, c’est donner un bon point à une marque, une marque de gratitude que le client offre à un annonceur, à lui d’en faire bon usage et ça ne passe pas par proposer 50 centimes de réduction ou des jeux concours. On reparle du Social CRM…

Du Web personnalisé au Web personnel C'est la nouvelle sensation Internet du moment. Le site Pinterest propose aux internautes de collectionner des images en ligne autour de thématiques (recettes, mode, déco et design, voitures, bricolage...) qui les intéressent.En France comme outre-Atlantique, les médias se passionnent pour ce service qui n'a pas attendu d'avoir leur attention pour séduire des millions d'utilisateurs en deux ans. Il représente une nouvelle génération de services communautaires centrés sur les intérêts des utilisateurs, susceptibles de bousculer quelque peu la domination de Google sur l'accès au Web. En effet, les réseaux sociaux comme Pinterest, qu'on peut nommer "réseaux d'intérêts", participent d'un besoin croissant de placer des filtres sur la Toile. En somme : L'expérience Web est ainsi encore plus personnalisée. Mais ce n'est qu'un début. Plusieurs services incarnant ce "Web à moi"sont déjà positionnés sur ce marché, recréant un peu d'intimité dans un espace où l'on partage désormais "par défaut". 1.

De l’urgence d’intégrer la sphère sociale dans votre relation clients Les médias sociaux sont plus que jamais au coeur des préoccupations des entreprises et des médias (notamment avec les bouleversements induits par le nouveau Facebook et l’intégration d’offres musicales et de social news). Bon en tout cas, je prends ça comme postulat de départ de mon article sinon je vais encore devoir vous ressortir des statistiques et chiffres très rébarbatifs. Donc il faut faire du “social”. OK, mais la tâche n’est pas si simple dans la mesure où le web est devenu social. De plus, comme nous l’avons vu dans un précédent article, nous commençons à observer un phénomène de maturation du marché (cf. À partir de ce constat, l’attitude la plus saine pour une marque lambda est de se dire qu’elle ne peut décemment pas entrer en compétition avec ce type de contenus. Le dénominateur commun de ces trois fonctions est le client. Selon cette approche, les grandes fonctions sont toujours les mêmes, mais les moyens sont différents :

Related: