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60 % des sols sont fortement dégradés et mettent en péril la b

60 % des sols sont fortement dégradés et mettent en péril la b
Du 17 au 24 mars, se tient la sixième séance plénière de Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques, désignée sous l’acronyme IPBES et créée en 2012. À cette occasion, les scientifiques, experts et décideurs de 128 pays se réunissent au chevet de la biodiversité. Une urgence alors que la planète vit une extinction massive des espèces. Ce forum se tient à Medellin en Colombie. Son objectif est d'évaluer les dégâts sur la faune et la flore et de préconiser des solutions pour enrayer la tendance. La grande originalité de ce sommet est la parution le 24 mars d’un rapport d’une ampleur inédite sur la dégradation des sols à travers la planète. Un facteur de migration Si les grands résultats sont encore sous embargo, les premiers chiffres font froid dans le dos. Le rapport alerte, au niveau mondial, sur une baisse de fertilité et une baisse des rendements agricoles, due à la baisse de biodiversité des sols. La moitié des espèces en danger

Aujourd'hui, 22 Mars, célébration du premier jour qui... PLASTIQUE PARTOUT : comment la société de consommation... « Il est temps d’arrêter le grand manège des pesticides... Au Kenya, le dernier rhinocéros blanc mâle du Nord... La déforestation de l’Amérique du Sud nourrit les élevages... « Il est temps d’arrêter le grand manège des pesticides... Pesticides : viscosité politique : encore des années... Manger des tomates en hiver, c'est encourager ce désastre... Sur tous les continents, la nature et le bien-être... PLASTIQUE PARTOUT : comment la société de consommation... Où sont passés les oiseaux des champs? L’alouette des champs ou la linotte mélodieuse font traditionnellement résonner leur chant dans les campagnes françaises. Mais pour combien de temps encore ? Deux études récentes dressent un constat alarmant : les populations d’oiseaux vivant en milieu agricole ont perdu un tiers de leurs effectifs en 17 ans. « Nous pulvérisons les ormes, et aux printemps suivants nul merle ne chante, s’alarmait l’écologiste américaine Rachel Carson en 1962 alors que le DDT, un puissant insecticide, décimait les populations d’oiseaux aux États-Unis, non qu’ils aient été touchés directement mais parce que le poison a fait son chemin, pas à pas, de la feuille de l’orme au ver, puis du ver au merle »1. Depuis, la responsabilité du DDT dans la mortalité accrue des oiseaux a été démontrée et le « poison » interdit dans de nombreux pays. Mais le problème est loin d’être réglé. Toutes les espèces sont concernées Nos campagnes sont en train de devenir de véritables déserts. V. Un bilan plus lourd en zone agricole

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