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Le neuromarketing lit-il dans nos pensées ?

Le neuromarketing lit-il dans nos pensées ?
Dernier-né des transferts entre sciences humaines et publicité, le neuromarketing se présente comme l’outil ultime de manipulation du consommateur. Doit-on craindre que ceux qui explorent notre cerveau puissent un jour commander nos achats ? Le marketing a toujours adoré les sciences humaines. Dès ses origines, comme le rappelle le psychologue Didier Courbet (1), il y a trouvé dans les différentes théories successivement en vogue des éléments pour peaufiner sa conception du consommateur et développer de nouvelles techniques de vente. Alors qu’ils partaient d’une approche rationnelle de l’individu, qui commande de mettre en avant les aspects utiles du produit, les hommes de la mercatique ont ainsi découvert au début du XXe siècle la psychanalyse. À rebours de leur croyance, elle décrit un consommateur aux prises avec son ça, « réservoir des pulsions profondes de l’individu ». Les neurones du Coca-Cola Des applications vagues Related:  emartinver

Quand les affiches publicitaires deviennent interactives Le leader mondial du mobilier urbain et de l’affichage publicitaire JCDecaux, lance une application innovante afin de transformer les affiches en médias et donner un certain relief aux abribus et autres colonnes Moris. Au menu, aucune caméra inquisitrice ou flashcode à scanner, mais de simples affiches à photographier. L’affichage publicitaire 2.0 a t-il trouvé une seconde jeunesse ? Lancée le 13 octobre, l’application de reconnaissance d’image baptisée U-Snap est gratuite pour les utilisateurs : « A chaque ouverture de l’application, l’utilisateur découvre les campagnes interactives du moment sur un carrousel d’images. Il suffit ensuite de trouver sur son parcours l’une ou l’autre des affiches en question et de les prendre en photo. Pourquoi faire du flashcode quand on peut faire simple ? Pour populariser cette nouvelle façon d’aborder la pub, le groupe a avant tout voulu faire simple. Invasion publicitaire ? Alors, le flashcode est-il déjà dépassé ?

Neuromarketing : Lire dans le cerveau XEnvoyer cet article par e-mail Neuromarketing : Lire dans le cerveau XEnvoyer cet article par e-mailNeuromarketing : Lire dans le cerveau Une évolution, pas une révolution Image à résonance magnétique fonctionnelle (IRMF), agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS), neurosciences, analyses cognitives, marketing sensoriel. Les marketeurs en rêvent, la science y travaille. Protocole complexe et coûteux Réaliser des études neuromarketing n'est en effet pas à la portée du premier venu, et le chemin jusqu'au scanner est semé d'embûches. Moins complexes à mettre en place, d'autres méthodes existent qui se basent elles aussi sur les neurosciences, comme l'explique Michel Badoc, professeur émérite de marketing à HEC : “Il est par exemple possible d'étudier les réactions du cerveau par le biais de la sécrétion d'hormones.” Le cerveau ne ment pas ? Les limites de l'exercice Aussi, les méthodes de marketing traditionnelles gardent-elles leur pertinence ? Par Olivier Faure

La notion de besoins La notion de besoins On entend par besoin un sentiment de manque, d’insatisfaction lié à l’origine à une nécessité physiologique non contrôlée (manger, boire, ...) puis élargi à des champs plus vastes par la psychologie.Non comblé, inassouvi, le besoin crée chez l’individu une tension, une frustration. Le besoin est le point de départ de la consommation : sans besoin, pas d’achat.La force de la publicité repose majoritairement sur ces besoins, réels ou créés. Le produit ou le service est présentés comme le moyen de ne plus être frustré. Ne confondons pas le besoin et l'envie ! La pyramide des besoins de MaslowElle exprime schématiquement les besoins présents chez tous les individus de façon latente. Cette pyramide illustre le mécanisme d’ascension dans le besoin. Les besoins selon H. Exemples de publicités conçues sur la réponse à un besoin Évidents besoins d'estime (prestige, reconnaissance) et de domination : 250 cv, la plus puissante de sa catégorie ! Besoin de domination.

NeuroFocus Uses Neuromarketing to Hack Your Brain Photo by Gene Lee A.K. Pradeep knows what you like and why you like it. Take the sleek, slick iPad. Pradeep is the founder and CEO of science-based consumer-research firm NeuroFocus, a Berkeley, California-based company wholly owned by Nielsen Holdings N.V. that claims to have the tools to tap into your brain (or, as Woody Allen called it, "my second favorite organ"). On this particular spring day, he's in New York to offer a presentation at the 75th Advertising Research Foundation conference. Speaking with the speed and percussive enunciation of an auctioneer, Pradeep is at the conference today to introduce his company's latest innovation: a product called Mynd, the world's first portable, wireless electroencephalogram (EEG) scanner. These corporations share the same goal: to mine your brain so they can blow your mind with products you deeply desire. NeuroFocus CEO A.K. Orange cheese dust. For example, imagine that you are asked to generate an action verb in response to the word ball.

Tendances Com | Le blog des tendances de la communication (publicité, marketing, web 2.0, internet, nouveauté, usage, innovation) You Love Your iPhone. Literally. But should we really characterize the intense consumer devotion to the iPhone as an addiction? A recent experiment that I carried out using neuroimaging technology suggests that drug-related terms like “addiction” and “fix” aren’t as scientifically accurate as a word we use to describe our most cherished personal relationships. That word is “love.” As a branding consultant, I have followed Apple from its early days as a cult brand to its position today as one of the most valuable, widely admired companies on earth. This past summer, I gathered a group of 20 babies between the ages of 14 and 20 months. Friends who have accidentally left home without their iPhones tell me they feel stressed-out, cut off and somehow un-whole. So are our smartphones addictive, medically speaking? Earlier this year, I carried out an fMRI experiment to find out whether iPhones were really, truly addictive, no less so than alcohol, cocaine, shopping or video games. My best advice?

Rédiger un bon communiqué de presse Le communiqué de presse est l'outil le plus utilisé pour informer les rédactions. Il s'agit d'un document de 2 ou 3 pages maximum, envoyé désormais principalement par mail (je vous déconseille d’ailleurs le courrier et encore plus le fax), annonçant un fait novateur : création de société, nomination de dirigeants, mise sur le marché d'un nouveau produit, annonce de résultats financiers, signature d'un important contrat, etc. Il est plus ou moins construit sur le même format (même s'il n'y a pas de règles strictes) et je vous conseille de le suivre assez fidèlement car avec l’habitude, nous développons des réflexes quasi conditionnés pour repérer en un clin d’œil la bonne info de « l’ivraie »… Gardez à l'esprit que, chaque jour, il arrive des centaines de communiqués sur le bureau des journalistes et qu’ils ont bien peu de temps à leur accorder. La forme : N’envoyez jamais vos communiqués par mail en pièce jointe. Le fond Pour terminer, voici un exemple avec quelques commentaires.

Media Maze: Neuromarketing, Part I Back in the latter half of the nineteenth century, the advertising agency was no more than an ad broker -- a primitive rep firm, really -- buying and selling space in the popular journals and magazines of the time. Over the years, agencies evolved to create advertisements and aid in the development of logos and packaging for products being sold by the companies these agencies represented. By the early twentieth century, shops were devoted to conducting research to determine what copy should be used, purchasing patterns, and consumer behavior. In 1915, J. Walter Thompson hired John B. It wasn’t long before agencies started applying the fruits of the research they'd been conducting to aid in the creation of advertising, as well as the planning and placement of media. Trying to get into the head of the consumer has been a long-time goal of marketers and advertisers. I had a philosophy professor at Berkeley, Wallace Matson, who used to say, “to affect the mind, you must affect the body.”

Les 13 secrets des relations presse pour les startups ! Je ne crois pas qu’il existe un entrepreneur qui ne se soit dit un jour « tiens, je vais faire des RP ». Que ce soit pour des raisons d’égo, de mimétisme, ou d’intérêt pour l’entreprise en termes de communication ou avant une levée de fonds, les relations presse ont donc la cote. Et pourtant, facile de se planter ou d’être déçu des retombées, si l’on ne se prépare pas bien et qu’on poursuit les mauvais objectifs… Je partage ici quelques points de réflexion qui me sont venus après l’intervention de Rémy Debrant et Stéphane Harrouch, de l’agence de relation presse Grayling, qui nous ont donné à l’incubateur HEC leurs secrets pour aider les entrepreneurs à faire leurs RP. Réfléchissez bien avant de dépenser temps et argent en relations presse ! 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. Et vous, votre 14ème secret des relations presse, c’est quoi ?

Kiabi Shopping Connect : Facebook et technologie RFID au service du shopping connecté Le projet de mettre en place des dispositifs Facebook dans les lieux physiques de Kiabi est issu d’unepremière collaboration entre Kiabi, véritable référence régionale du marché de la mode à petits prix, etHobbynote, la start-up lilloise spécialisée dans le développement d’applications sur Facebook. Ce projet est donc l’initiative de deux entreprises du Nord-Pas-de-Calais. Conscientes du potentiel viral et social qu’offre Facebook, les deux entreprises se sont associées une nouvelle fois afin de donner un tout nouveau sens au Shopping connecté, mais il s’agit surtout de l’opportunité d’offrir à la clientèle de Kiabi une expérience d’achat unique et jusque-là inédite en France. Aujourd’hui, les internautes fervents du shopping en ligne souhaitent pouvoir communiquer facilement avec leurs amis, ils ont envie de partager leurs trouvailles et surtout veulent être recommandés, guidés et accompagnés par leurs proches durant leur expérience d’achat. Première étape : se rendre au magasin

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