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The Occupy Wall Street movement spreads

The Occupy Wall Street movement spreads

A critique of the #OccupyWallStreet tactics: Leaderlessness does not mean a lack of direction Participants in Occupy Wall Street, and the other viral snowclones that emerge for it, would be doing themselves a service by critically approaching this central question: there are no shortcuts, there are no easy victories. The Financial-Industrial complex that rules the USA, the crumbling Empire that feeds it, the nuclear deterrent that holds the world hostage is not easy to beat. And it cannot be beaten, no matter how hard you will it to be, without leadership and direction. Leaderless resistance is a self-kettle, a straight-jacket that will keep the movement from acquiring the true mass, political, basis that can enable actual change to happen. Excerpted from SKS: “The strategy and tactic of leaderless resistance is not actually being followed as prescribed by its creators. One of the unintended consequences is that in the context of a lack of leadership and direction is that the State, and their enforcers, the police, become the leaders and directors of the mass.

Dennis Kucinich and Chris Hedges on the 99 Percent - Truthdig Radio Dennis Kucinich and Chris Hedges on the 99 Percent Posted on Oct 6, 2011 This week on Truthdig Radio in collaboration with KPFK: Rep. Dennis Kucinich and Chris Hedges explain why the 99 percenters are “the best among us.” Plus: Occupy L.A., Obama’s “secure communities” and modern midwifery. A full transcript is available below. Listen to the show: Segments Chris Hedges on “the best among us”: Rep. The occupation on Wall Street has spread to cities across the country, with protesters camping out in downtown Los Angeles since Saturday. The White House is trying to thread the needle on immigration by reprioritizing deportation rules. Ina May Gaskin, author of “Birth Matters: A Midwife’s Manifesta,” has been an advocate and innovator of natural birth for decades. Transcript Peter Scheer: This is Truthdig Radio in collaboration with KPFK Los Angeles. Let’s begin with Chris Hedges. Chris Hedges: Thank you. Peter Scheer: How are you? Chris Hedges: Princeton, about to leave for Washington.

Launch of a #ows currency design competition at Occupy Wall Street Many of Wall Street's occupiers understand that austerity comes from a shortage of money, not resources, and that the right to issue money is granted by the government to a banking cartel. Most US citizens have no understanding of what money is and how it is make artificially scarce to compel them to compete against one another in converting natural resources into "economic growth." Money need not be a destructive force which, through interest, centralises wealth and power. In order to ensure the new certificates will are as attractive and relevant as possible, we are launching a design competition, for the next seven days. We are thankful to the p2p foundation for hosting. The competition will be followed by a series of 'money' workshops at Liberty Plaza on Monday 24th October, and the currency launched soon after.

Noam Chomsky: My Response to #OccupyWallStreet With #OccupyWallStreet, the linguist and political critic sees a reason for hope that lies closer to home. By **Noam Chomsky** When Guernica interviewed Noam Chomsky in 2009, it seemed notable that he was emphasizing “hopes and prospects.” This was the title of his book and to be hopeful, Professor Chomsky was having none of it when it came to the newly elected President Barack Obama. Aside from the credit he gave to protest movements in the sixties for electing a black president, much of the hope he saw in the 21st century world he had to find to the south, in Latin America, among the presidents of the “pink tide” movement there who initially fought as true populists and union leaders (Lula in Brazil), rose from poverty, and beat back privatization (Evo Morales in Bolivia). But in the #OccupyWallStreet movement, Professor Chomsky apparently now sees a reason for hope situated a little closer to home. Spotlight photograph by Duncan Rawlinson.

Naomi Klein : « Le mouvement Occupons Wall Street est actuellement la chose la plus importante au monde » - Mobilisations J’ai été honorée d’être invitée à parler [le 29 septembre] devant les manifestants d’Occupons Wall Street. La sonorisation ayant été (honteusement) interdite, tout ce que je disais devait être répété par des centaines de personnes, pour que tous entendent (un système de « microphone humain »). Ce que j’ai dit sur la place de la Liberté a donc été très court. Voici la version longue de ce discours [publiée initialement en anglais dans Occupy Wall Street Journal]. Je vous aime. Et je ne dis pas cela pour que des centaines d’entre vous me répondent en criant « je vous aime ». Hier, un des orateurs du rassemblement syndical a déclaré : « Nous nous sommes trouvés. » Ce sentiment saisit bien la beauté de ce qui se crée ici. S’il y a une chose que je sais, c’est que les 1 % [les plus riches] aiment les crises. Et une seule chose peut bloquer cette stratégie. Ce slogan est né en Italie en 2008. « Pourquoi protestent-ils ? Mais il y a aussi de grandes différences. Quelques réflexions finales.

Le fantastique succès d’ « Occuper Wall Street » Le mouvement « Occuper Wall Street » – car c’est aujourd’hui devenu un mouvement – est le plus important événement politique intervenu aux Etats-Unis depuis les soulèvements de 1968 dont il est un prolongement, sinon le descendant direct. Pourquoi ce mouvement a-t-il démarré aux Etats-Unis à ce moment-là, et pas trois jours, trois mois ou trois ans plus tôt ou plus tard ? Nous ne le saurons sans doute vraiment jamais. Etape n°1, les premiers jours : le mouvement a consisté en une poignée d’audacieux, des jeunes gens principalement, qui cherchaient à manifester. La presse les a ignorés superbement. Puis, quelques policiers imbéciles ont eu la faiblesse de penser qu’un peu de brutalité mettrait fin aux manifestations : la vidéo de leurs violences est devenue un succès immédiat sur YouTube. Ce qui nous amène à l’Etape n°2 : la publicité. Ce qui nous conduit à l’Etape n°3 : la légitimité. Le mouvement est devenu respectable. © Immanuel Wallerstein, distribué par Agence Global.

Le monde contre Wall Street 482,400 ont signé. Allons jusqu'à 1,000,000 Mise à jour: il y a plus d'un mois Visionnez ci-dessus la vidéo en direct de l'occupation de Wall Street! Et découvrez ci-dessous des images incroyables du moment où les gens ont appris que les arrestations des occupants de Wall Street avaient été ajournées: Images fournies par Moveon.org Nous l'avons fait! Publié le 7 Octobre 2011Des milliers d'Américains occupent pacifiquement Wall Street, un épicentre de la puissance financière mondiale et de la corruption. Alors que les travailleurs paient la facture d'une crise financière causée par des élites corrompues, les manifestants demandent une réelle démocratie, la justice sociale et la lutte contre la corruption. Cette année pourrait être l'année 1968 de notre siècle, mais pour réussir, ce mouvement doit rassembler tous les citoyens issus de tous les milieux.

Un tournant capital, les marines américains rejoignent les indignés de Wall Street Après les pilotes de ligne voici: Les Marines défendent les indignés, la révolution peut commencer… Le mouvement « Occuper Wall Street » vient peut-être juste de recevoir une surprise inattendue. Un militaire, Ward Reilly a posté ceci sur facebook : « Je vais là-bas ce soir dans ma tenue bleue. Je veux adresser le message suivant à Wall Street et au Congrès : Je n’ai pas combattu pour Wall Street. Mon véritable espoir, cependant, est que nous, vétérans, puissions agir en tant que première ligne de défense entre la police et les manifestants. Je m’excuse pour les fautes de frappes et les erreurs. Un rassemblement aura lieu ce soir à 22h. Nous avons tous prêté serment de respecter, protéger et défendre la constitution de ce pays. Via Wikistrike Like this: J'aime chargement…

Malgré les arrestations, les activistes anti-Wall Street ne désarment pas Brooklyn bridge, hier, New-York. Une manifestation pendant plus de deux heures. Plus de 700 arrestations, en dépit d'une ambiance pacifique. Un nouvel épisode du mouvement anti-Wall Street qui a débuté le 17 septembre et gagne chaque jour en ampleur. La manifestation avait débuté dans l'après-midi à Liberty Plaza, dans le quartier de la finance, où campent depuis deux semaines des militants du mouvement «Occupy Wall Street». Les manifestants arboraient des pancartes pour «en finir avec la Fed», la Réserve fédérale, ou à braquer des «bombes au poivre sur Goldman Sachs», cette banque d'investissement new-yorkaise sur le grill depuis son rôle dans la crise des «subprimes», qui a déclenché une crise économique et financière planétaire. La veille, vendredi, 2000 personnes avaient pris la rue pour fustiger les pratiques des banques. A l'origine de ce désir de «fertilisation croisée des luttes» ? Une occupation «pour libérer les Etats-Unis» du joug de la finance.

Avec les indignés de Wall Street C'est après une nuit de pluie et sous un ciel menaçant que les membres du mouvement Occupy Wall Street (Occuper Wall Street) ont entamé jeudi 29 septembre leur treizième journée passée au Zucotti Park, à quelques pas du One World Trade Center. Le système est bien rodé. En guise de mégaphones, qui sont interdits, un système de téléphone arabe à voix haute. Des manifestations (écouter les différents slogans dans la vidéo ci-dessous) et des assemblées générales deux fois par jour, le tout scrupuleusement filmé par une équipe média très équipée. Des comités de toutes sortes, une infirmerie, une cantine, une bibliothèque - des infrastructures de fortune construites grâce à des dons. Les "indignés" (des pancartes en espagnol marquent leur fraternité avec les occupants de la Puerta del Sol de Madrid) sont groupés à quelques pas de Wall Street depuis le 17 septembre. Vers midi, la place se remplit d'un public divers. OWS - Computer by Youphil

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