background preloader

Les 10 textes essentiels de l’histoire de la communication et de l’information

Les 10 textes essentiels de l’histoire de la communication et de l’information
Un Réfléchir à notre monde de communication, ce n’est pas picorer en article repris du blog zeboute] un site sous licence CC by nc nd permanence sur la Toile, écouter les analyses d’experts en communication ( qui se trompent souvent ), ou suivre les liens qu’on vous transmet ( par tweeter, facebook, ..). Généralement, nous restons frustrés. Faites votre shopping dans mon magasin. Les étudiants en sciences de l’information et de la communication peuvent aussi être perdus. Car la communication n’est pas une science, mais une croisée de chemins de plusieurs disciplines. C’est ce qui en fait sa richesse. Dans un monde aussi imprégné que l’information, sous toutes ses formes, c’est un métier passionnant que de s’intéresser à ce domaine. Voilà pourquoi se nourrit ici ces ébullitions. Voici les textes essentiels qui permettent à chacun de prendre du recul, d’avoir la pertinence dans l’analyse de notre monde réel ou virtuel. 10 textes essentiels, bonne lecture. Mais il y en a un onzième.

Numérique Puissance 5 Ressources éducatives libres (enjeux) L'UNESCO estime que l'accès universel à une éducation de qualité est essentiel à la construction de la paix, au développement social et économique, et au dialogue interculturel. Les ressources éducatives libres (REL) offrent une opportunité stratégique pour améliorer la qualité de l'éducation, faciliter le dialogue politique et partager les connaissances et le renforcement des capacités. Les ressources éducatives libres sont des matériaux d’enseignement, d'apprentissage ou de recherche appartenant au domaine public ou publiés avec une licence de propriété intellectuelle permettant leur utilisation, adaptation et distribution à titre gratuit.

Les professeurs-documentalistes aux confluences des mutations (2) III. Savoir répondre aux défis de l’explosion informationnelle « La notion de complexe semble plus féconde pour désigner ce travail de conceptualisation inachevable » [1] A. Topographie des savoirs et pratiques nouvelles « L’activité documentaire est toujours située dans un temps, dans un lieu, et insérée dans un réseau de personnes, de machines et de techniques qui interagissent » (Fondin, 2002). L’analyse de ces pratiques peut être appréhendée à travers les modélisations propres à l’approche systémique (Engeström, 1987 ; Lewis, 1998) mais ne doit être nullement réductible à cette construction conceptuelle (cf. Le professeur-documentaliste se situe aux confluences de plusieurs champs disciplinaires par ses participations actives et transversales au sein des enseignements (IDD, TPE, PPCP). B. Depuis quelques années déjà, les grandes bibliothèques et centres de documentation élaborent des projets pour structurer les savoirs et organiser les collections numériques du Web.

Comprendre la notion de translittératie A la convergence des cultures de l’information : information-documentation, médias et informatique, la translittératie est une notion récemment interrogée par les professionnels et les chercheurs en science de l’information, sans pour autant que l’intérêt de ces analyses ne se limite aux seuls experts. La définition communément acceptée est celle traduite de la définition initiale de Sue Thomas « l’habileté à lire, écrire et interagir par le biais d’une variété de plateformes, d’outils et de moyens de communication, de l’iconographie à l’oralité en passant par l’écriture manuscrite, l’édition, la télé, la radio et le cinéma, jusqu’aux réseaux sociaux » Définition qui donne son poids à l’éventail de formations qu’elle implique à l’ère du papier, de l’audio-visuel et du numérique. Quelles origines, quelle définition, quel rapport avec les autres littératies, quels enjeux ? Pour mieux comprendre la notion, voici quelques textes récents : Translittératie et compétences médiatiques (1)

Les jeunes et l’information : une étude du ministère de la Culture vient éclairer les comportements des jeunes en matière d’accès à l’information Dans un contexte de profondes transformations des modes de production, de diffusion et de consommation de l’information, la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) du ministère de la Culture a souhaité disposer d’un diagnostic approfondi sur les pratiques de consommation de l’information par les jeunes générations (15-34 ans). Pour ce faire, elle a confié le soin à Médiamétrie de produire une analyse de ces pratiques. L’étude constate que les jeunes sont plus équipés en terminaux mobiles que la moyenne (les 15-34 ans sont 89,9 % à détenir un smartphone, contre 69,2 % des 15 ans et plus)[1] et davantage connectés (97 % des 15-34 ans ont accès à Internet, contre 93% de l’ensemble de la population).[2] Les jeunes sont d’importants consommateurs de contenus d’information en mobilité. Ils font en particulier un usage intense des réseaux sociaux : L’étude montre que, contrairement aux idées reçues, les jeunes s’intéressent beaucoup à l’actualité :

Tic-Logs Longtemps, trouver une solution de billetterie en ligne s’est avéré un vrai parcours du combattant. Du “simple” formulaire web, en passant par des CMS avec plugins dédiés, ou bien en faisant appel à Paypal ou aux plateformes de e-commerce, les solutions étaient souvent peu souples et coûteuses. L’un des principaux coûts, au delà de la mise en place et du paramétrage de l’outil, se situe dans les tarifs pratiqués par les intermédiaires de transaction en ligne. Paypal par exemple demandera 3,4 % + 0,25 € par transaction sur son palier de base. Heureusement pour nous, depuis plus de 7 ans, Weezevent, Eventbrite et consorts se sont lancés sur ce secteur, gagnant en maturité avec les années, et proposant aujourd’hui des solutions abordables pour gérer l’aspect achat/vente/contrôle des billets de vos événements. Pour ma part, après quelques expérimentations artisanales ces dernières années, mon choix s’est arrêté sur les français de Weezevent. Le paramétrage Une gamme d’outils complète En bref

Projet de CDI, politique documentaire, projet documentaire La notion de politique documentaire est relativement récente en France. Apparue dans un premier temps dans le secteur de la documentation d’entreprise, elle a par la suite été reprise dans les bibliothèques et dans l’enseignement supérieur. Ce n’est que depuis une dizaine d’années que ce concept a fait son apparition dans les établissements scolaires du second degré. On pouvait trouver jusque là un « volet CDI » dans le projet d’établissement. Cependant celui-ci était le plus souvent écrit par le professeur documentaliste sans qu’il n’y ait eu au préalable une véritable réflexion de l’ensemble de la communauté scolaire sur le développement des ressources et leur accessibilité, sur la formation des élèves mais aussi des autres usagers de l’établissement scolaire ou encore sur les questions budgétaires. 1. Le projet de CDI apparaît donc comme un projet de service, le projet du service de documentation et d’information. 2. 3. 3.1 Quelle définition ?

Les professeurs-documentalistes aux confluences des mutations (1) Loïc Le RouxIUFM de La Réunion « La nouvelle fracture numérique n’est donc pas entre ceux qui peuvent s’offrir les machines et les services et ceux qui ne le peuvent pas, mais entre ceux qui savent les utiliser à leur avantage et ceux qui sont victimes de la sur-information. Ce n’est pas un problème entre ceux qui "possèdent" et les autres, mais entre ceux qui "savent" et les autres. » Howard Rheingold [1] Résumé. - Internet à l’école marque un changement dans le fait de penser la documentation et le rôle des CDI. Si les pratiques des professeurs-documentalistes toujours tributaires de multiples facteurs pouvaient - avant l’arrivée du numérique - se réguler, aujourd’hui il est nécessaire de penser l’organisation de la documentation et de ses acteurs de manière plus complexe afin de délivrer des pratiques en réponse aux nouveaux enjeux de la « société de l’information ». Préambule : la documentation scolaire, un métier en constante mutation I. A. B. C. II. A. 1. 2. 3. B. C. D.

Compte-rendu de la rencontre « Censures : peut-on tout éditer, diffuser ? » Affiche de la rencontre « Censures : peut-on tout éditer, diffuser ? » Dans le cadre de leur cursus, des étudiants du DUT Information-Communication Métiers du livre d’Aix-en-Provence ont organisé une rencontre en partenariat avec la bibliothèque Méjanes (Aix-en-Provence) et l’ARL PACA le 22 février 2016. Cette rencontre a réuni David Demartis, co-fondateur des éditions Le Murmure, Philippe Hauer, fondateur des éditions Van Loo, et Catherine Perrin, présidente de l’Association des Bibliothèques de France PACA et directrice de la bibliothèque Louis Aragon à Martigues, pour s’interroger sur la notion de censure dans le monde du livre. Peut-on encore parler de censure en France ? D. Dans le cadre des éditions Le Murmure – qui abordent des sujets marginaux dans leur collection « Borderline » – l’éditeur n’a pas l’intention de publier un titre avec un sujet sensible dans le but de scandaliser le public, mais il souhaite évoquer ce qui est de l’ordre du tabou dans notre société. D’après D. P.

Related: