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L’ouverture est-elle morte

L’ouverture est-elle morte
« L’ouverture est morte » (Open is dead) estime John Geraci sur GovLoop, la communauté de l’innovation publique américaine, et initiateur du projet Do it yourself City. « Telle est la conclusion à laquelle je suis arrivé lors d’une récente réunion où des gens se sont rassemblés pour discuter de la façon de faire avancer l’ordre du jour de l’Open Data. L’ouverture n’est pas morte comme mouvement, elle est morte comme terme qui peut-être utilisé pour motiver les gens, pour les amener à se rallier à une cause, pour participer à un évènement ou se rallier en ligne pour quelque chose. Le gouvernement ouvert. Les villes ouvertes. Réaction d’humeur d’un spécialiste un peu fatigué ou discussion de fonds sur les limites d’un idéal ? La réflexion de John Geraci évoque la fatigue des mots valises dont la mode ne dure pas. Mais l’ouverture des données n’est effectivement pas le sésame « ouvre-toi » que l’on croit. Ensuite cette ouverture est complexe.

Une certaine idée de l’open data Le 13 juillet dernier est sorti un rapport produit par 4 élèves de l'école des Ponts ParisTech, intitulé "Pour une politique ambitieuse des données publiques". Il résume parfaitement une certaine idée de l'Open Data. L’open data est à la mode. Le conseil général de Gironde vient de lancer son site DataLocale, la Saône-et-Loire a annoncé l’ouverture d’un portail pour octobre, celui du gouvernement sortira dans quelques mois. Plusieurs villes y réfléchissent : Le Havre, Saint-Maur-des-fosses et Montpellier a sauté le pas. L’ouverture des données publiques est devenue la nouvelle mesure phare des collectivités en matière de transparence et de démocratie. Dans ce contexte est sorti un rapport très complet, intitulé Pour une politique ambitieuse des données publiques produit par quatre élèves de l’école des Ponts ParisTech : Romain Lacombe, François Vauglin, Pierre-Henri Bertin et Alice Vieillefosse. “Identifier des modèles économiques” Comment l’idée de ce rapport est-elle née ? Des ambitions…

Pourquoi iOS est plus disruptif que vous ne le pensez Voilà maintenant 4 ans qu’Apple a lancé son iPhone sur le marché. Quatre années intenses qui ont complètement bouleversé le secteur de la téléphonie mobile, mais pas seulement ! Avec le lancement de l’iPad l’année dernière, Apple à initié un mouvement plus profond de transformation des usages qui vont modeler notre façon de consommer les contenus et services en ligne. Salué pour sa stabilité et sa simplicité de prise en main, le système d’exploitation D’apple est en fait bien plus disruptif qu’il n’y parait, car iOS rend obsolète les éléments d’interface et modalités d’interaction que nous avons côtoyés ces dernières décennies (lire à ce sujet : Quelle interface pour le système d’exploitation de demain ?). La fin de la souris Avec iOs, Apple a su populariser les interfaces tactiles signant ainsi la fin de la souris. La question que l’on se pose maintenant est la suivante : comment bénéficier des apports des interfaces tactiles avec les ordinateurs traditionnels ? La fin du clavier

lemondeinformatique.fr Crédit D.R. La numérisation et la mise à disposition de toutes les données publiques pourraient ouvrir de nouveaux marchés aux développeurs d'applications. Les États membres de l'Union européenne vont avoir l'obligation de numériser toutes les données de leurs administrations publiques. En effet, selon la proposition de loi avancée par Neelie Kroes, la commissaire chargée de l'agenda numérique auprès de l'Union européenne, tous les pays membres de l'UE seront obligés de rendre leurs données publiques disponibles dans des formats numériques. Selon la Commission, « c'est une énorme opportunité pour les entreprises de haute technologie, puisque le marché a été estimé à 400 milliards d'euros par an pour l'économie européenne, dont 100 milliards d'euros reviendraient à la recherche sur les technologies de traitement des données. » De l'argent sera également alloué à la création de portails Internet via le Programme-cadre pour l'Innovation et la Compétitivité (PIC) de l'UE.

Guide pratique de l’ouverture des données publiques territoriales en version beta, à commenter et enrichir Dans le cadre du programme d’ouverture des données publiques, la Fing publie le guide pratique de l’ouverture des données publiques territoriales, à l’usage des territoires et de leurs partenaires. Ce guide version béta est publié sous licence Creative Commons CC-By. Pour commenter et enrichir le guide en version beta, rendez-vous sur le réseau social de la Fing : L’ouverture des données publiques n’est pas une option pour les acteurs publics : elle est rendue obligatoire par des directives européennes et une législation française qui en a fait un droit opposable. Mais cette ouverture constitue également, et surtout, une chance. Il s’agit donc d’une véritable opportunité pour les territoires, qui plus est moins coûteuse et moins complexe qu’il n’y parait de prime abord. Reutilisation-des-donnees-publiques Reutilisation des donnees publiques Fing Une version de travail à enrichir : au contact du terrain et de vos critiques et suggestions.

Open Data Open data : qu’est-ce qu’une donnée ouverte ? Une donnée est un fait brut, qui n’as pas encore été interprété. Par exemple, si en consultant un thermomètre je lis "18°C" il s’agit bien d’une donnée. Si je dis qu’il fait "plutôt doux pour la saison", on a affaire à une information. Quelle compagnie aérienne est la plus ponctuelle ? Prenons l’exemple du site Qualité Transports récemment mis en place par le Ministère de l’Ecologie. Il s’agit bien ici de données brutes. L’exemple du site Qualité Transports le démontre, si besoin était : publier des documents PDF en ligne, ce n’est pas réaliser l’ouverture des données publiques… Pour qu’une donnée soit ouverte, elle doit répondre à trois grands critères : Like this: J'aime chargement… Des hackers veulent peupler l’espace de satellites anti-censure Hackerspace Global Grid (HGG). Le projet est ambitieux, tant par ses objectifs que par les moyens matériels qu’il nécessite. Il ne s’agit pas moins d’utiliser le satellite pour contourner les risques de censure sur le web. HGG est la réponse à une idée lancée en août 2011 par le « hacktiviste » Nick Farr à l’occasion du Chaos Communication Camp, une rencontre estivale et festive incontournable des hackers organisée par le célèbre groupe Chaos Computer Club (CCC) créé en 1981 à Berlin. Une nouvelle initiative communautaire un peu folle, en somme, aux conséquences encore difficiles à cerner analyse Silicon.fr. Concrètement, « HGG vise à fournir l’infrastructure nécessaire au projet, » peut-on lire dans la FAQ. « Nous voulons comprendre, construire et rendre la communication par satellite disponible à toute la communauté HackerSpace et à l’ensemble de l’humanité, » ajoute-t-elle. Chacun peut évidemment contribuer à Constellation en installant le logiciel dédié sur sa machine personnelle.

Open Data Commons | Legal tools for Open Data L’avenir de la réutilisation des données publiques En préfiguration de Lift avait lieu l’Open Data Garage, une journée d’ateliers et de conférences qui a permis de faire le point sur les initiatives open data françaises. Retour sur cette journée via ses contributions les plus éclairantes. « Trop souvent, le savoir c’est le pouvoir et les élus pensent que le pouvoir ne se partage pas », estime Christophe Castaner, vice-président de la région PACA et maire de Forcalquier en introduction de cette journée. « Il est important de porter le discours politique comme quoi l’information est un droit, un service public. Un monde de données réutilisables Pour Charles Nepote, responsable du programme Réutilisation des données publiques de la Fing, il y a des confusions entre l’accès à l’information et la réutilisation des informations publiques. L’accès aux données en tout cas ne suffit pas : c’est bien de réutilisation dont il est question. « Quand on parle de données, on ne parle pas des archives, des documents. Les données sont partout.

Open Data, le partage de données reste toujours associé à un risque Crédit D.R. Une étude menée par la société de conseil Bluenove fait le point sur l'ouverture des données tant du côté public que privé, offreurs que consommateurs de données. Le principe des données ouvertes est surtout connu pour son utilisation dans le secteur public pour offrir de l'information gratuitement (journal officiel, données géographiques, etc.) qui pourra le cas échéant servir à des entreprises pour créer des services. Or le secteur privé peut aussi être offreur de données ouvertes. Ce cabinet a réalisé une étude baptisée Open Data : quels enjeux et opportunités pour l'entreprise ? Le livre blanc qui intègre cette étude est préfacé par Carlo Ratti, du M.I.T., qui rapproche le mouvement de l'Open Data et la problématique du Big Data. L'Open Data connu mais méconnu Selon l'étude Bluenove, 47% des répondants connaissent le concept d'Open Data. Partager par obligation ou par intérêt

Internet Addiction and Online Addiction By John M. Grohol, Psy.D. May 27, 1999, Last updated: March 4, 2016 A resource for objective, useful informationabout Internet addiction, a theorized disorder.Is the Internet Addiction Test valid? What is Internet Addiction Disorder (IAD)? Researchers still can't tell you exactly what Internet Addiction Disorder is, also know by the term "Pathological Internet Use" (PIU). The original research into this disorder began with exploratory surveys, which cannot establish causal relationships between specific behaviors and their cause. Do some people have problems with spending too much time online? What most people online who think they are addicted are probably suffering from is the desire to not want to deal with other problems in their lives. What some very few people who spend time online without any other problems present may suffer from is compulsive over-use. Case studies, the alternative to surveys used for many conclusions drawn about online overuse, are just as problematic.

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