background preloader

L’ouverture est-elle morte

L’ouverture est-elle morte
« L’ouverture est morte » (Open is dead) estime John Geraci sur GovLoop, la communauté de l’innovation publique américaine, et initiateur du projet Do it yourself City. « Telle est la conclusion à laquelle je suis arrivé lors d’une récente réunion où des gens se sont rassemblés pour discuter de la façon de faire avancer l’ordre du jour de l’Open Data. L’ouverture n’est pas morte comme mouvement, elle est morte comme terme qui peut-être utilisé pour motiver les gens, pour les amener à se rallier à une cause, pour participer à un évènement ou se rallier en ligne pour quelque chose. Le gouvernement ouvert. Les villes ouvertes. Réaction d’humeur d’un spécialiste un peu fatigué ou discussion de fonds sur les limites d’un idéal ? La réflexion de John Geraci évoque la fatigue des mots valises dont la mode ne dure pas. Mais l’ouverture des données n’est effectivement pas le sésame « ouvre-toi » que l’on croit. Ensuite cette ouverture est complexe.

Pourquoi iOS est plus disruptif que vous ne le pensez Voilà maintenant 4 ans qu’Apple a lancé son iPhone sur le marché. Quatre années intenses qui ont complètement bouleversé le secteur de la téléphonie mobile, mais pas seulement ! Avec le lancement de l’iPad l’année dernière, Apple à initié un mouvement plus profond de transformation des usages qui vont modeler notre façon de consommer les contenus et services en ligne. Salué pour sa stabilité et sa simplicité de prise en main, le système d’exploitation D’apple est en fait bien plus disruptif qu’il n’y parait, car iOS rend obsolète les éléments d’interface et modalités d’interaction que nous avons côtoyés ces dernières décennies (lire à ce sujet : Quelle interface pour le système d’exploitation de demain ?). La fin de la souris Avec iOs, Apple a su populariser les interfaces tactiles signant ainsi la fin de la souris. La question que l’on se pose maintenant est la suivante : comment bénéficier des apports des interfaces tactiles avec les ordinateurs traditionnels ? La fin du clavier

lemondeinformatique.fr Crédit D.R. La numérisation et la mise à disposition de toutes les données publiques pourraient ouvrir de nouveaux marchés aux développeurs d'applications. Les États membres de l'Union européenne vont avoir l'obligation de numériser toutes les données de leurs administrations publiques. En effet, selon la proposition de loi avancée par Neelie Kroes, la commissaire chargée de l'agenda numérique auprès de l'Union européenne, tous les pays membres de l'UE seront obligés de rendre leurs données publiques disponibles dans des formats numériques. Selon la Commission, « c'est une énorme opportunité pour les entreprises de haute technologie, puisque le marché a été estimé à 400 milliards d'euros par an pour l'économie européenne, dont 100 milliards d'euros reviendraient à la recherche sur les technologies de traitement des données. » De l'argent sera également alloué à la création de portails Internet via le Programme-cadre pour l'Innovation et la Compétitivité (PIC) de l'UE.

Guide pratique de l’ouverture des données publiques territoriales en version beta, à commenter et enrichir Dans le cadre du programme d’ouverture des données publiques, la Fing publie le guide pratique de l’ouverture des données publiques territoriales, à l’usage des territoires et de leurs partenaires. Ce guide version béta est publié sous licence Creative Commons CC-By. Pour commenter et enrichir le guide en version beta, rendez-vous sur le réseau social de la Fing : L’ouverture des données publiques n’est pas une option pour les acteurs publics : elle est rendue obligatoire par des directives européennes et une législation française qui en a fait un droit opposable. Mais cette ouverture constitue également, et surtout, une chance. Il s’agit donc d’une véritable opportunité pour les territoires, qui plus est moins coûteuse et moins complexe qu’il n’y parait de prime abord. Reutilisation-des-donnees-publiques Reutilisation des donnees publiques Fing Une version de travail à enrichir : au contact du terrain et de vos critiques et suggestions.

Des hackers veulent peupler l’espace de satellites anti-censure Hackerspace Global Grid (HGG). Le projet est ambitieux, tant par ses objectifs que par les moyens matériels qu’il nécessite. Il ne s’agit pas moins d’utiliser le satellite pour contourner les risques de censure sur le web. HGG est la réponse à une idée lancée en août 2011 par le « hacktiviste » Nick Farr à l’occasion du Chaos Communication Camp, une rencontre estivale et festive incontournable des hackers organisée par le célèbre groupe Chaos Computer Club (CCC) créé en 1981 à Berlin. Une nouvelle initiative communautaire un peu folle, en somme, aux conséquences encore difficiles à cerner analyse Silicon.fr. Concrètement, « HGG vise à fournir l’infrastructure nécessaire au projet, » peut-on lire dans la FAQ. « Nous voulons comprendre, construire et rendre la communication par satellite disponible à toute la communauté HackerSpace et à l’ensemble de l’humanité, » ajoute-t-elle. Chacun peut évidemment contribuer à Constellation en installant le logiciel dédié sur sa machine personnelle.

Open Data Commons | Legal tools for Open Data L’avenir de la réutilisation des données publiques En préfiguration de Lift avait lieu l’Open Data Garage, une journée d’ateliers et de conférences qui a permis de faire le point sur les initiatives open data françaises. Retour sur cette journée via ses contributions les plus éclairantes. « Trop souvent, le savoir c’est le pouvoir et les élus pensent que le pouvoir ne se partage pas », estime Christophe Castaner, vice-président de la région PACA et maire de Forcalquier en introduction de cette journée. « Il est important de porter le discours politique comme quoi l’information est un droit, un service public. Un monde de données réutilisables Pour Charles Nepote, responsable du programme Réutilisation des données publiques de la Fing, il y a des confusions entre l’accès à l’information et la réutilisation des informations publiques. L’accès aux données en tout cas ne suffit pas : c’est bien de réutilisation dont il est question. « Quand on parle de données, on ne parle pas des archives, des documents. Les données sont partout.

Internet Addiction and Online Addiction By John M. Grohol, Psy.D. May 27, 1999, Last updated: March 4, 2016 A resource for objective, useful informationabout Internet addiction, a theorized disorder.Is the Internet Addiction Test valid? What is Internet Addiction Disorder (IAD)? Researchers still can't tell you exactly what Internet Addiction Disorder is, also know by the term "Pathological Internet Use" (PIU). The original research into this disorder began with exploratory surveys, which cannot establish causal relationships between specific behaviors and their cause. Do some people have problems with spending too much time online? What most people online who think they are addicted are probably suffering from is the desire to not want to deal with other problems in their lives. What some very few people who spend time online without any other problems present may suffer from is compulsive over-use. Case studies, the alternative to surveys used for many conclusions drawn about online overuse, are just as problematic.

Open Data : j'ai tout compris ! | Formation et culture numÄ‚Ĺ rique - Thot Cursus Sur Internet, on a souvent l'impression de débarquer à l'improviste dans des conversations qui ont commencé sans nous. Les commentateurs et analystes de tous poils discutent entre initiés, emploient un vocabulaire qui apparaît bien mystérieux au commun des mortels. C'est vrai de tout domaine spécialisé, me direz-vous, et le numérique n'échappe pas à la règle. Open data par ci, open data par là... de quoi parle t-on ? C'est sur Marketing et Technologies, le blog de Julien Bonnel, que nous avons trouvé la définition la plus claire et simple : "L'Open Data désigne le mouvement visant à rendre accessible à tous via le web les données publiques non nominatives ne relevant ni de la vie privée et ni la sécurité collectées par les organismes public." Ah d'accord ! Et où peut-on voir ce mouvement à l'oeuvre ? Les vieux pays européens, même pris dans les mailles de la crise économique et politique qui ébranle l'Union, font des efforts louables. Très bien. Impressionnant. Open, tout simplement

Jerome Cukier Pourquoi le numérique est-il une culture ?  Intervention de Milad Doueihi au Cigref. Je vous propose de découvrir cette analyse intéressante de cet historien des religions canadien Invité du CIGREF en tant que Grand Témoin, Milad Doueihi interpelle les acteurs de l’Entreprise Numérique ! Ses questions permettent de planter le nouveau décor qui s’impose aux dirigeants d’entreprises aujourd’hui, comme à la société en général. En effet, si le numérique est à la fois une science et une culture qui introduit de nouvelles valeurs, de nouveaux critères sur nos héritages culturels, l’entreprise peut-elle garder ses modèles d’affaires, ses options de création de valeur hérités de la culture précédente ? Milad Doueihi, auteur de « Pour un humanisme numérique », philologue et historien, titulaire de la Chaire des Cultures Numériques à l’Université de Laval au Québec. Merci au CIGREF de me donner l’occasion de partager avec vous quelques réflexions sur le monde numérique. Synthèse vidéo : Pour aller plus loin… De l’algorithme à la sociabilité…

Related: