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Education For Death - Disney WWII Propaganda Cartoon

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Histoire des arts : Captain America, un héros patriotique face à la Guerre du Pacifique. I Captain America, un super héros à l'ancienne. En juillet 2012, les studios Marvel, filiales du groupe Disney, lancent sur les écrans de cinéma Captain Amarica : the fistr avenger de Joe Johnston. Cette superproduction très réussie se déroule durant la Seconde Guerre mondiale. Elle raconte les aventures de Steve Rogers, un jeune orphelin new-yorkais du Lower Eart Side, idéaliste et courageux, que l’armée rejette de ses rangs à cause de sa faible constitution physique. Recueilli par le docteur Josef Reinstein (nom de code Erskine), il devient le cobaye volontaire d’une expérience qui vise à créer un super-soldat grâce à un sérum révolutionnaire. II Les comics américains, entre divertissement populaire et propagande. Le film de Johnston joue habilement avec les origines littéraires de Captain America. III Se souvenir de Pearl Harbor. Le premier numéro de Captain America paraît en décembre 1940. En avril 1942, le jeune Stan Lee assure l’écriture du n°13. Pour aller plus loin :

La propagande dans les Comics Américains de la Seconde Guerre Mondiale Skip to content ufunk ufunk La Sélectiondu Week-End [77 images] La Sélection du Week-End n°245 Toutes les Sélections du Week-End Featured Cette petite fille de 3 ans se déguise en femmes célèbres pour soutenir sa grand-mère malade Les délicates broderies de Sheena Liam History of Tattoos – Les tatouages du premier artiste anglais en 1889 Giants – Il capture des portraits fascinants des baleines à bosse Quand la pop culture rencontre les peintures classiques Petites Luxures – Des illustrations délicieusement coquines Publiez vos projets sur UFUNK ! Des petites filles et des sex toys – Une campagne extrêmement dérangeante Les articles des lecteurs Disney’s Bastards – Les peintures de Gilen Bousquet Pop Nippon – Mashups et culture traditionnelle japonaise Tous les articles Les vidéos bonus Il recrée le film Terminator 2 dans GTA V Fabriquer des ampoules vintage à la main Toutes les vidéos Un autre article ? La meilleure blague avec un oeuf de Pâques

Introduction : justifier le pluriel - Pour mémoire - Centre National de Documentation Pédagogique Comme d’autres jours de l’année la date du 8 mai renvoie à un événement connu, ancré dans la culture et la mémoire collective, au point sans doute qu’il n’est nul besoin de préciser le millésime. L’université de Guelma en Algérie a été baptisée « université du 8 mai 1945 » et son adresse postale est « avenue du 19-mai-1956 », rappel de la journée de grève historique des étudiants algériens organisée par le Mouvement de libération nationale. Bien que nous soyons loin de Berlin, la date du 8 mai est ici hautement symbolique et rappelle un autre événement, une autre glorification que celle de la fin de la Seconde Guerre mondiale, une autre mise en mémoire et même une opposition des mises en mémoire, selon que cette dernière est algérienne ou française. Le 8 mai 1945, la Seconde Guerre mondiale se termine en Europe par la victoire des Alliés et l’effondrement de l’Allemagne nazie, quand l’Italie fasciste était déjà hors d’état de poursuivre la lutte depuis plusieurs mois.

Seconde guerre mondiale : du débarquement à l'armistice - francetv ... A partir du 8 avril, et jusqu'à la fin du mois de mai, France 3 Basse-Normandie vous propose de vivre en direct "les veillées", débats publics au cours desquels les témoins évoqueront les rapports entre Français et Allemands, depuis l'occupation jusqu'à la réconciliation. Publié par

Il y a 70 ans, le massacre d'Oradour-sur-Glane Il y a soixante-dix ans jour pour jour, 642 civils, hommes, femmes et enfants, étaient massacrés à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) par la division SS Das Reich. Aujourd'hui, mardi 10 juin, le Premier ministre, Manuel Valls, va rendre hommage aux victimes de cet épisode tragique de la seconde guerre mondiale. Selon le programme communiqué par Matignon, Manuel Valls, accompagné par le secrétaire d'Etat aux Anciens combattants et à la Mémoire, Kader Arif, arrivera à 15 heures dans le village martyr. Il doit se recueillir dans l'église en ruines, où plus de 450 femmes et enfants ont péri, brûlés vifs par les Waffen SS de la même division. Séparés, les hommes ont été abattus dans des granges. Longtemps embryonnaires, les investigations relancées outre-Rhin ont débouché en début d'année sur l'inculpation d'un Allemand de 88 ans pour sa responsabilité dans ce qui restera comme la pire tuerie perpétrée sur le sol français par les troupes nazies.

HGCréteil - "France, juin 1940" : une histoire dont l'élève est le "héros", réalisée avec l'outil Genial.ly Auteur : Fournil Olivier, Lycée Darius Milhaud, Le Kremlin-Bicêtre (94). Niveau / discipline / thème du programme Terminale, programme d’Histoire, Thème 1 – Fragilités des démocraties, totalitarismes et Seconde Guerre mondiale (1929-1945), chapitre « La Seconde guerre mondiale » / Point de passage et d’ouverture : « Juin 1940 : continuer ou arrêter la guerre » Objectifs de la séance – Capacités travaillées : « Identifier et expliciter les dates et acteurs des grands événements », « Mettre un événement ou une figure en perspective » « Identifier les contraintes et ressources d’un contexte historique » – Acteurs : Charles de Gaulle, Philippe Pétain, Maxime Weygand, Paul Reynaud. – Notions : acteur / capitulation / armistice Démarche et mise en œuvre Le jeu, public, est accessible en ligne sur Genial.ly à une adresse unique qui doit être communiquée aux élèves. Temps imparti Travail des élèves en autonomie, en amont de la séance : 20 à 30 minutes Reprise : 15 minutes environ.

Industry, the Arsenal of Democracy Industry, the Arsenal of Democracy Vous trouverez ci-dessous quelques affiches réalisées par Ralph Illigan pour le gouvernement américain en 1942 afin de faire la promotion du Victory Program et de soutenir l'effort de guerre industriel aux États-Unis. "Defense in the air begins on the ground", affiche de Ralph Iligan, 1942 "Defense on the sea begins on the shore", affiche de Ralph Iligan, 1942 "Defense in the field begins in the factory", affiche de Ralph Iligan, 1942 "Defense of our liberty begins in the factory", affiche de Ralph Iligan, Ralph, 1942 => En quoi ces affiches témoignent-elles du caractère "totale" de la Seconde Guerre mondiale? - Présentez les documents (en particulier : nature, thème, date/contexte, auteur, destinataire) - Comment les États-Unis justifient-ils leur participation au conflit? - Quels sont les facteurs de la puissance américaine qui apparaissent sur ces documents?

Le Tribunal militaire international de Nuremberg | Encyclopédie multimédia de la Shoah Carte historique Crédits: US Holocaust Memorial Museum Dès le début de l'hiver 1942, les gouvernements des forces alliées annoncèrent leur détermination à punir les criminels de guerre nazis. Le 17 décembre 1942, les dirigeants des États-Unis, de Grande-Bretagne et d'Union soviétique publièrent la première déclaration conjointe. En octobre 1943, le président américain Franklin D. Photographie Le Tribunal militaire international était une cour organisée conjointement par les gouvernements des forces alliées victorieuses. Crédits: National Archives and Records Administration, College Park, MD Références Le procès des principaux responsables allemands devant le Tribunal militaire international (TMI), le plus connu des procès pour crimes de guerre après la Seconde Guerre mondiale, s'ouvrit officiellement à Nuremberg, en Allemagne, le 20 novembre 1945, six mois et demi seulement après la capitulation de l'Allemagne. 1. En fait, seuls 21 accusés comparurent devant le tribunal.

Le procès de Nuremberg - Histoire analysée en images et œuvres d’art Contexte historique Le procès de Nuremberg Intenté par les forces alliées contre vingt-quatre hauts responsables nazis, le procès de Nuremberg se tient du 20 novembre 1945 au 1er octobre 1946. Il est placé sous l’autorité du Tribunal militaire international instauré par les accords de Londres du 8 août 1945 et composé de quatre juges, quatre procureurs et quatre assesseurs soviétiques, français, américains et britanniques. Pendant plus de dix mois, les accusés comparaissent pour complot, crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Analyse des images Les accusés au procès Structuré en trois plans horizontaux, le cliché offre une vue partielle du banc des accusés. Debout à l’arrière-plan, trois militaires du Tribunal international (reconnaissables à leur casque blanc et à leur uniforme) surveillent les accusés. Au centre, et comme pris entre les deux autres ensembles, apparaissent certains des vingt-quatre accusés. Interprétation La justice et les jugés Bibliographie

Les procès de Nuremberg (1945-1946) - Enseigner l'histoire de la Shoah Conformément aux engagements pris par les Alliés pendant la guerre, les principaux dignitaires du régime nazi sont jugés lors du procès de Nuremberg, du 18 octobre 1945 au 1er octobre 1946, par un Tribunal militaire international (TMI). À côté des notions de crime de guerre et de crimes contre la paix, le Tribunal définit un nouveau motif d’accusation : celui de crime contre l’humanité. Il n’y eut qu’un seul Tribunal militaire international tenu en vertu du statut de Londres et il ne connut qu’un seul procès : le procès de Nuremberg. Au terme des dix mois d’audience durant lesquels aucun des 21 accusés n’a plaidé coupable, onze sont néanmoins condamnés à mort et trois acquittés. Les autres subissent des peines d’emprisonnement allant de 10 ans à la perpétuité. Le génocide juif, pourtant évoqué tout au long du procès, est dilué dans la masse des crimes nazis. La guerre et le droit de Nuremberg font naître l’espoir de la création d’un droit international. Retour à la thématique

Procès de Tokyo en 1948 : condamnation à mort d’Hideki Tojo Proposé par Institut national de l’audiovisuel Date de diffusion : 10 sept. 1965 | Date d'évènement : 10 sept. 1948 Contexte historique Après la Seconde Guerre mondiale, les Alliés souhaitent juger les grands criminels de guerre japonais comme ils l’ont fait à Nuremberg avec les hauts dirigeants nazis du 20 novembre 1945 au 1er octobre 1946. Éclairage média Ce sujet a été diffusé dans le cadre du magazine historique de l’ORTF, Flash sur le passé, le 10 septembre 1965. 6 et 9 août 1945 : les bombardements nucléaires d’Hiroshima et de Nagasaki Mise au point : Un bombardement nécessaire pour mettre fin à la guerre ? Au début du mois d’août 1945, les forces militaires japonaises étaient considérablement réduites et dispersées, les capacités industrielles du Japon ne permettaient plus de produire des armes en quantité suffisante et les diplomates japonais étaient engagés dans des pourparlers en vue d’une éventuelle reddition. L’ambassadeur Naotake Sato échangeait avec Moscou qui n’avait pas encore officiellement déclaré la guerre au Japon (elle le fera le 9 août 1945). Tokyo souhaitait également que le prince Fumimaro Konoe (ancien Premier ministre) se rende à Moscou pour négocier avec les Alliés, mais cette mission n’avait pu se tenir avant la conférence de Potsdam (17 juillet – 2 août 1945) qui allait aboutir à un ultimatum de capitulation sans négociation adressé par les Alliés au Japon. Document : éditorial d’Albert Camus dans Combat, 8 août 1945 Le monde est ce qu’il est, c’est-à-dire peu de chose. Qu’on nous entende bien.

La fin de la guerre du Pacifique | Chemins de mémoire Le général Leclerc paraphe l'acte de capitulation japonais à bord du "Missouri", 2 septembre 1945. Source : Australian War Memorial - libre de droit Pour bien des Français aujourd'hui, la capitulation du IIIe Reich, le 8 mai 1945, signifie la fin de la Seconde Guerre mondiale. La guerre qui se déroule depuis 1937 en Extrême-Orient, et sur le théâtre du Pacifique entre 1941 et 1945, loin, certes, de l'Europe, et perçue comme un face-à-face essentiellement nippo-américain, tend à s'effacer de leur mémoire collective. Pourtant, non seulement les plus grandes batailles aéronavales de toute l'histoire s'y sont déroulées, mais l'occupation de l'Extrême-Orient par les Japonais, soucieux de réunir à leur profit la «Grande Asie Orientale», a directement contribué à la dislocation des empires coloniaux, tout particulièrement en Indochine. La résistance farouche des Japonais En finir avec la guerre, Hiroshima, Nagasaki Le 8 mai 1945, la capitulation allemande scella le sort du Japon. Notes :

12 novembre 1949 : Verdict du Tribunal de Tokyo – Association de la Sorbonne pour les Mondes Asiatiques En couverture, une photo du bâtiment ayant accueilli le Tribunal militaire international pour l’Extrême-Orient La victoire des Alliés dans le Pacifique entraîne l’incarcération et le jugement des dignitaires japonais, désignés responsables du conflit mondial. L’AMA vous propose aujourd’hui de revenir sur les conclusions tirées par l’équivalent asiatique des Procès de Nuremberg. Le tribunal dit « de Tokyo », dont le nom officiel est « Tribunal militaire international pour l’Extrême-Orient » (ou TMIPEO), fut créé le 29 avril 1946 et ajourné officiellement le 12 novembre 1949. Le rôle de ce tribunal militaire était de juger les criminels de guerre japonais de la même manière que les criminels de guerre allemands l’avaient été en Europe. Au départ, neuf juges devaient participer aux procès, soit un pour chaque pays signataire de l’acte de reddition du Japon. Photo des juges pendant une séance. Photo du banc des accusés pendant une séance Hideki Tōjō, général de l’Armée Impériale japonaise.

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