background preloader

7émes journées Science Ouverte Couperin. 100 % open access : initiatives pour une transition réussie

7émes journées Science Ouverte Couperin. 100 % open access : initiatives pour une transition réussie
Si l'édition 2018 des Journées Science Ouverte (JSO) 1 était bien le septième événement organisé par Couperin, c’était aussi le premier à porter ce titre. Dans son mot d'accueil, Jean-Pierre Finance, président de Couperin, a retracé l'évolution du concept, depuis la première journée d'étude en 2005, consacrée aux archives ouvertes (AO), journée qui prendra de l'ampleur pour se transformer en 2013 en Journées Open Access (JOA), et dont l'avant-dernière édition, en 2015, avait pour titre – prémonitoire, selon Jean-Pierre Finance – « la science ouverte en marche ». La science ouverte doit devenir la stratégie par défaut Il revenait à Vanessa Proudman, directrice de SPARC Europe, de prononcer la conférence introductive. Jean-Pierre Finance a ensuite présenté les actions de promotion de la science ouverte au niveau européen. Pour un accès ouvert équilibré : un combat de tous les acteurs scientifiques Initiatives des communautés disciplinaires Un accouchement difficile Related:  Open Access

Les données du CCFr passent sous Licence Ouverte Au 1er janvier 2018, les données du Catalogue collectif de France (CCFr) passeront sous Licence Ouverte et seront donc réutilisables librement et gratuitement. Plusieurs millions d’enregistrements rejoindront ainsi les données publiques déjà accessibles en ligne. L’ouverture de ces données, au 1er janvier 2018, répond à la mission du CCFr, qui est de mettre en valeur et de diffuser les richesses patrimoniales des bibliothèques françaises. Bibliofrance.orgSource : BNF La Diffusion des thèses électroniques Le groupe Recherche de l’Association des professionnels de l’information et de la documentation (ADBS), créé en janvier 2005 autour des problématiques de l’IST (information scientifique et technique), a organisé le 7 juillet dernier, à l’amphithéâtre Poincaré du ministère délégué à la Recherche, une journée d’étude sur la diffusion des thèses électroniques. Diane Le Hénaff (Institut national de la recherche agronomique, Inra) introduisit les débats en soulignant que cette diffusion, choix politique du ressort de chaque établissement, répond à l’objectif de rendre visible et accessible à toute la communauté scientifique un document scientifique validé mais non publié. État des lieux et perspectives La France compte 312 écoles doctorales et 10 000 thèses sont soutenues chaque année. La Direction de l’enseignement supérieur est responsable de l’application des textes réglementaires relatifs au dépôt, au signalement et à la diffusion des thèses.

Vous avez dit open access / open data ? Alors que se tenait en octobre dernier l’Open Access Week, Médiat Rhône Alpes organisait le 5 octobre 2015 à Grenoble une journée d’étude portant sur l’open access et l’open data. Au cours de leurs divers exposés et retours d’expériences, les intervenants ont présenté ces deux concepts, la manière dont ils se déclinent dans les bibliothèques ainsi que la logique de l’ouverture des données publiques en bibliothèque. Open data et open access : définitions et enjeux actuels Éric Lams, directeur de la BULCO 1, ouvre cette journée en rappelant ce qui définit l’open data (ou données ouvertes) et l’open access (ou libre accès). Concernant l’open data, il s’agit de données de tout type (cartographie, transport, recensement, finances, etc.) accessibles sous forme numérique et produites par un fournisseur public ou privé. On parle aujourd’hui de « big data » pour qualifier la quantité des données atteignant une taille critique. Retour d’expérience sur un projetopen data en bibliothèque publique

Rédiger pour être publié ! Conseils pratiques pour les scientifiques « Publish or perish », qu’on peut avantageusement traduire en français par « Publier ou périr » pourrait être la devise de l’équipe du Bulletin des bibliothèques de France. C’est, à tout le moins, une antienne désormais bien connue pour qualifier la production documentaire issue de la recherche scientifique, où le chercheur se voit essentiellement jugé (c’est le bruit qui court), non sur la qualité de ses recherches, ni même sur la qualité des publications qui en sont issues, mais sur leur nombre et sur leur influence – en terme de citations dans d’autres revues notamment. Petit mais costaud Le petit, par la taille, mais costaud par le contenu, ouvrage d’Eric Lichtfouse, Rédiger pour être publié ! s’attaque ou s’attache, selon les humeurs, à améliorer la qualité des contributions, de manière à augmenter les chances, pour un auteur/chercheur, de voir les articles qu’il propose acceptés par les revues « qui comptent ». Aller droit au but 10 commandements “Boring scientific literature”

Bibliothèques et archives ouvertes Accès libre et libre accès en bibliothèque, même combat ! En 1991, alors que s’ouvrent deux réservoirs d’articles scientifiques en libre accès, arXiv 1 pour la physique et Mathematical Physics Preprint Archive 2 en mathématiques, cela fait déjà quelques années que la communauté des bibliothécaires d’universités s’émeut de la spirale inflationniste des prix des périodiques scientifiques et a décidé d’agir de son côté pour tenter de trouver des solutions. C’est dans ce contexte que naît en 1989 la Newsletter on Serials Pricing Issues (NOSPI) 3, éditée par une bibliothécaire américaine et dont le comité éditorial comprend des bibliothécaires mais aussi des représentants des éditeurs et d’agence d’abonnements. Libre accès, archives ouvertes et bibliothèques : des actes et des mots À partir des années 2000, les bibliothèques s’impliquent largement dans la problématique du libre accès et des archives ouvertes. Libre accès à l’information et nouveaux rôles pour les bibliothèques Décembre 2010

Open Access et nouvelles formes de publication scientifique A l’occasion de l’inauguration du portail Hal (Hyper Articles en Ligne) de l’Université Paris Nanterre, s’est tenue une journée d’étude dédiée à l’Open Access et aux nouvelles formes de publications scientifiques. Alors que l’Open Access connaît un essor international, cette journée d’étude a été l’occasion d’analyser le paysage de l’édition numérique tout en échangeant sur différentes expériences. Comment s’organise actuellement l’édition en Open Access, quelles initiatives sont prises et quelles sont ses perspectives ? La journée d’étude a été introduite par la présentation du portail Hal par Isabelle Rivoal (vice-présidente en charge des politiques documentaires, diffusion et valorisation scientifiques à l’Université Paris Nanterre). Lionel Maurel a présenté la loi pour une République numérique, adoptée le 7 octobre 2016. Les échanges se sont poursuivis au cours d’une seconde table ronde relative aux deux voies de l’Open Access.

Archives ouvertes et publication scientifique Les revues en SHS L’analyse de l’existant présentée en première partie offre un ensemble d’éléments historiques sur l’évolution des coûts des revues et de l’offre numérique. La distinction mise en avant entre les indicateurs de prix et de qualité scientifique conduit à une observation des différents acteurs de la chaîne éditoriale actuelle des revues scientifiques. Parmi ces acteurs, la position des éditeurs, et notamment des éditeurs commerciaux, apparaît comme un frein au développement de l’édition scientifique, notamment en SHS et d’autant plus pour l’édition scientifique en ligne. Le champ des SHS, bien différent de celui des STM (sciences, techniques et médecine), est un domaine particulier lorsque l’on observe les mécanismes de publication scientifique. Le passage au numérique de la publication scientifique en SHS réinterroge l’ensemble de la chaîne des acteurs de l’édition scientifique. Les archives ouvertes

Archives ouvertes, archives institutionnelles et protocole français « Les archives ouvertes, lit-on dans la plaquette de présentation diffusée en 2006 et disponible sur le site Archives ouvertes 1, reposent sur la mise en place de serveurs où sont déposés et sauvegardés les documents issus de la recherche (projets d’articles, textes soumis pour publication, articles publiés…). La possibilité d’enregistrer les versions successives d’un texte enrichit la notion de document scientifique et peut donner naissance à de nouvelles pratiques d’écriture de chercheurs. Les archives ouvertes permettent d’accélérer la communication scientifique et de l’ouvrir gratuitement à tous les chercheurs qui ont accès à l’Internet. Cet accès libre et immédiat accroît la visibilité et souvent l’impact des résultats de la recherche. » Un protocole français a été mis en place « pour une approche coordonnée, au niveau national, pour l’archivage ouvert de la production scientifique 2 ». Le contexte européen L’architecture de DARE sert de modèle au projet Driver. La communication

Les Archives ouvertes Le lundi 27 novembre 2006, au Fiap Jean Monnet à Paris, le Club2E (Club des utilisateurs des progiciels de Ever Ezida) avait invité les chercheurs, les professionnels des métiers de la documentation et des bibliothèques et les professionnels de l’édition scientifique à découvrir différents aspects des archives ouvertes. Le mouvement des archives ouvertes commence en 1991, avec la création par le physicien américain Paul Ginsparg du système ArXiv qui permet le dépôt et la diffusion via internet de documents scientifiques (pré-publications, publications et post-publications) en accès libre et offre un stockage pérenne de ces données. Le domaine couvert était à l’origine la physique et s’est ensuite étendu à d’autres sciences telles que l’informatique et les mathématiques. HAL, la plate-forme de forage interétablissements Une expérience d’archives ouvertes en Alsace : Flora en liaison avec HAL Archives ouvertes et édition : regards sur la situation anglophone

Valorisation de la production académique La mission « thèses » à l’Abes Le ministère chargé de l’Enseignement supérieur mène depuis plusieurs décennies une politique volontariste en matière de thèses, qu’il s’agisse de leur signalement, de leur conservation ou de leur diffusion, de valoriser la recherche ou de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes docteurs. À la faveur de la révision générale des politiques publiques (RGPP), le MESR 1 s’est recentré sur sa mission de pilotage stratégique. Appelé à devenir « une administration de mission, stratège, innovante, transparente 2 », activités opérationnelles ont été transférées à d’autres opérateurs, dont l’Abes, agence nationale. Parmi les activités transférées figure notamment le volet « thèses », dont l’Abes a officiellement la charge depuis septembre 2010. Abes • Agence bibliographique de l’enseignement supérieur ANRT • Atelier national de reproduction des thèses

Open Access | Glossaire CRFCB Le libre accès est la mise à disposition en ligne de contenus numériques, qui peuvent eux-mêmes être soit libres soit sous un des régimes de propriété intellectuelle. L’open access est principalement utilisé pour les articles de revues issus de recherches universitaires et sélectionnés par des pairs. Il existe deux types de libre accès avec de nombreuses variations. Dans la publication en libre accès, également connue comme la voie en « or » du libre accès, les revues rendent leurs articles directement et immédiatement accessibles au public.

La Place de l'auteur dans l'univers académique Le 28 juin 2016, la 8e Journée du livre électronique organisée par la cellule E-Book de Couperin a réuni plus de 180 professionnels du livre et des bibliothèques sur le sujet « L'innovation et l’expérimentation autour du livre électronique : les auteurs et les éditeurs dans l’univers académique ». En introduisant la journée, Jean-Yves Mollier (Professeur à l'université de Versailles Saint Quentin) rappelle que l’auteur est maintenant défini par un environnement technique nouveau : de nouveaux intervenants (Amazon, Google Books) prennent la place traditionnelle des éditeurs ou des critiques et des journalistes (blogs et réseaux sociaux). La chaîne du livre électronique académique diffère du livre académique papier sur trois points : la place de l’éditeur dans la chaîne de publication, des stratégies éditoriales innovantes, et enfin le prêt numérique et la lecture partagée. L’autoédition est-elle une solution ? Pourtant, les livres autoédités ne sont pas encore proposés en bibliothèque.

Qu'apporte le Big Data ? Si l’accès à Internet en bibliothèque s’est banalisé ces quinze dernières années, il reste souvent bridé, accessible sous conditions ou avec limitation[1]. À la faveur d’un renouvellement de son offre, la Bibliothèque publique d’information (BPI) a cherché à connaître les usages développés à partir de son parc d’une centaine de postes connectés au web. Avec plus de 20 000 réservations mensuelles et 2 millions de logs de connexion par jour, la BPI entrait, sans le savoir, dans le Big Data. Retour d’expérience d’un partenariat de recherche avec l’équipe de Dana Diminescu et Quentin Lobbé à Télécom ParisTech. L’internet public fait son entrée à la BPI en juin 1995 avec 10 postes de consultation[2]. Les premières études de ce public indiquent que l’usager-type est alors un homme, jeune et bachelier, généralement issu de la filière scientifique, assidu de la bibliothèque et utilisateur des collections imprimées. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12 . 13. 14. 15. 16 . 17. 18. 19.

Données personnelles : pourquoi Facebook et les autres annoncent-ils des mises à jour ? «Nous mettons à jour nos conditions d’utilisation», ou «nos conditions de service», ou «notre politique de confidentialité» : ces dernières semaines, les messages de ce type se sont accumulés dans nos boîtes mail. Une bonne occasion, au passage, de faire le compte du nombre (parfois affolant) de services en ligne auxquels nous avons souscrit au fil de nos vies numériques. Pourquoi cette déferlante ? Tous ne le mentionnent pas, mais l’explication, c’est l’entrée en application, le 25 mai, d’un texte européen : le règlement général sur la protection des données (RGPD). D’ici là, les acteurs qui collectent et utilisent des données personnelles doivent s’être mis en conformité avec ce texte, qui leur impose de nouvelles obligations et renforce les droits des utilisateurs. D’où vient ce règlement ? A lire aussiL’Europe s’accorde sur la protection des données personnelles Qui est concerné ? Qu’est-ce que ça change pour les internautes ? Information et consentement «Portabilité» et droit à l’oubli

Related: