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Bibliothèques numériques - Gallica

Bibliothèques numériques - Gallica

http://www.bnf.fr/fr/collections_et_services/bibliotheques_numeriques_gallica.html

e-paper ou enchiridion, le débat est ouvert... Bon nombre de nos interlocuteurs nous pressent, et quelquefois avec passion, d'abandonner les dénominations "e-book", "e-paper", "reader" ou "e-reader", ou encore "e-library" des Chinois, pour des termes à racine française (grecque ou latine, pour une classification universelle).A la Renaissance, lors du développement du livre transportable, le mot alors repris du grec "enchiridion", ou "livre de main", a vite été délaissé pour le classique "livre". Mais la question est beaucoup plus complexe aujourd'hui: les fonctions et les formes de ce nouveau support et de ses contenus sont autrement plus diverses que celles de son prédécesseur.Peut-on alors seulement trouver un mot?Le débat est ouvert. Vous pouvez contribuer, critiquer, par commentaire ou mail à "rives at tebaldo.com". Si vous ne souhaitez pas signer, nous respecterons votre choix, mais si votre ou vos termes deviennent des références, vous n'aurez pas l'honneur suprême d'en être reconnu l'auteur, peut-être pour des siècles!

Mandragore - écran d'accueil Associations d'utilisateurs de logiciel FULBI (Fédération des Utilisateurs de Logiciels de Bibliothèque ) Créée en 1991, la FULBI réunit une dizaine d’associations d'utilisateurs de logiciels dans le monde des bibliothèques et centres de documentation spécialisés, de structures et de tailles différentes : bibliothèques municipales, bibliothèques universitaires, centres de documentation de grandes entreprises. ABELOS : utilisateurs de AB6 et Absys.Net. 50 membres ADULOA : utilisateurs de OPSYS et ALOES. 144 membres AUFA : utilisateurs d’Aleph, 23 membres francophones AULA : utilisateurs des logiciels de la société Archimed AULP : utilisateurs de Portfolio et Zone. 20 membres AUSIDEF : utilisateurs de Dynix et horizon. 70 membres.

Doc Forum Un peu plus de deux ans après une première manifestation 1, alors pilotée par l'École nationale supérieure des sciences de l'information et des bibliothèques (Enssib) et la librairie Decître, l'association Doc Forum organisait à Lyon, du 27 au 30 janvier 2000, la Biennale du savoir et les journées professionnelles Doc Forum. L'implication de partenaires très variés (groupes privés, associations culturelle ou professionnelle, grande école, etc.) dans l'organisation a mêlé des objectifs peut-être trop différents, du colloque scientifique au salon du livre, en passant par l'orientation professionnelle et par l'innovation technologique. Ce foisonnement a sans aucun doute dérouté le grand public, trop peu présent à ce rendez-vous, mais a offert aux chercheurs comme aux professionnels des bibliothèques et de la documentation un moment extrêmement riche d'interrogations sur le savoir, ses formes en mutation, sa diffusion et son appropriation. Les substituts du livre

Nommons donc cet objet Comment traduire le terme « eReader », qui désigne l’objet nous permettant de lire des textes électroniques ? J’avais proposé « liseuse« , qui a déjà quelques adeptes : Alain Pierrot, François Bon, Irène Delse et peut-être quelques autres. Liseuse, un nom féminin, disponible en quelque sorte car désignant soit un objet pratiquement tombé en désuétude, soit une lampe de lecture, objet assez peu courant et plus souvent désigné par le mot « lampe » que par le mot « liseuse ». Liseuse, sans la moindre ambiguïté, se réfère à la lecture. Un mot court, facile à prononcer, avec une terminaison en « -euse » déjà utilisée par de nombreux outils (une tondeuse, une perceuse…) Et nous avons ce nom commun, un joli substantif pratiquement jamais utilisé, disponible, qui ne demande qu’à reprendre du service, qui est sans ambiguïté, qui se réfère explicitement à l’acte de lire, dont la terminaison évoque clairement un outil, un objet fonctionnel.

De l’encre à l’écran L’heure de gloire sera brève. En 2000, les premiers livres électroniques se montrent au Salon du livre de Paris. Un grand coin de la Porte de Versailles leur a été réservé. La poignée de fabricants fanfaronne dans un scepticisme ambiant. Les éditeurs regardent avec méfiance cet objet qui menace d’enterrer leur raison de vivre. Le livre demain Dossier coordonné par Ivan Jablonka. Internet bouleverse l’économie de l’édition. La commercialisation des e-books constitue une révolution sans doute comparable à l’invention du codex, dans les premiers siècles de notre ère, et à celle de l’imprimerie, entre le XIe et le XVe siècle.

Plaidoyer pour le livre numérique Faux départ Annoncés à grand bruit, les premiers lecteurs numériques apparus il y a une dizaine d’années ont suscité chez les éditeurs des débats passionnés. Les plus exaltés prédisaient l’avènement d’une révolution qui allait, à l’instar de la révolution de Gutenberg des siècles plus tôt, bouleverser du tout au tout l’univers du livre en le privant définitivement de son papier. Les plus sceptiques balayaient d’un revers de la main cette éventualité, considérant le livre électronique comme un pur fantasme, et retournaient sans se laisser distraire davantage – et sans plus prêter attention aux évolutions de l’univers numérique – à leurs habituelles occupations. Il faut dire que le présent leur donnait raison : un modèle économique qui fait défaut et la faillite rapide des premiers constructeurs de readers en Europe, dont la société française Cytale. Aujourd’hui, pour une chanson digitale achetée, une vingtaine de titres seraient encore piratés.

Du livre électronique à l'encre électronique L’e-book a vécu. Le livre demeure. Pourtant aujourd’hui, le papier semble se doubler d’un cousin électronique qui pourrait inciter les éditeurs, poussés par les numérisations intempestives de Google, à mettre leurs ouvrages en ligne. E-book et e-paper vont-ils nouer des liens avec la littérature ? Des outils de lecture numérique Les mutations du livre NEF (Net des études françaises) - Dossiers du NEF par Marie Lebert, septembre 2007 Un ouvrage de synthèse de 1971 à nos jours, basé sur le suivi de l'actualité francophone et internationale, et issu des multiples liens tissés sur la toile avec nombre de professionnels du livre au fil des ans. Version PDF [version NEF, Toronto] (1,3 Mo) Version PDF [version miroir, France] (1,3 Mo)

Txtr : un reader très prometteur Ce n’est pas faux, l’actualité du livre électronique tourne beaucoup autour du Kindle depuis la sortie de sa nouvelle version. Pourtant, il se passe des choses intéressantes en dehors du reader d’Amazon. Je dirais que la proto-industrie du livre électronique est en train de se consolider et de trouver sa dynamique. La concurrence se développe ce qui va créer un contexte propice pour l’émergence d’innovations. Il n’y a qu’à voir le nombre d’annonces de nouveaux readers présentés lors des derniers salons sur l’électronique grand public. En une semaine nous avons le droit au Boox, au Nuut2 (et son affreux design), aux ruptures de stock de l’eSlick de Foxit, au Libre d’iRiver, au TouchBook etc… Mais si je devais en choisir un, je crois que ce serait le Txtr de Wizpac.

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