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L'art en gigapixels p

L'art en gigapixels p
Le site du Musée des Beaux-Arts de Lyon permet aux internautes de découvrir en vidéos et de façon minutieuse (texture du tableau, matière picturale, personnages et arrière-plans lointains grâce au procédé développé par le photographe Gilles Alonso) certaines œuvres d'artistes peintres : Cranach, Véronèse, Brueghel, Rembrandt, Bellotto, Ingres, Corot, Monet, Courbet, Sisley, Renoir, Fragonard, Poussin. La vidéo des zooms animés est accompagnée par les commentaires de spécialistes et de médiateurs culturels du musée. Ces 13 tableaux peuvent être également explorés de manière autonome et dans le moindre détail (gigapixel, de 1 à 4 milliards de pixels par image), en cliquant sur les images pour zoomer et naviguer au sein de chaque œuvre : Par ailleurs, le site du musée offre en parallèle un parcours plus ludique, un jeu des 7 erreurs visant à repérer des détails anachroniques qui se sont glissés dans une sélection de 11 tableaux. Sources Réseaux et médias sociaux

http://eduscol.education.fr/numerique/tout-le-numerique/veille-education-numerique/fevrier-2018/art-en-gigapixels

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La chaîne YouTube des expositions p Le magazine Expo in the City a lancé en juin 2017 une chaîne YouTube entièrement dédiée aux expositions en France, notamment à Paris, mais aussi parfois à l'étranger. La chaîne affiche plusieurs rubriques : les nouveautés, les expositions dites incontournables, les expositions « branchées » (art contemporain), les expositions gratuites et « classiques » (art ancien), sans oublier les événements régionaux comme cette exposition de Bernard Pras au Musée du Touquet-Paris Plage. Expo in the City fait également part de ses coups de cœur, met en avant un certain nombre de spectacles et effectue enfin des « séances de rattrapage ». Les vidéos (dont 2 exemples sont intégrés ci-dessous) n’excèdent pas 4 minutes et permettent de découvrir simplement les expositions en étant conseillé par la voix off de Fleur Baudon, rédactrice en chef du magazine :

Défendre Dada : acte rare dans les années 1920 Le mouvement Dada, mené par les artistes dits « surréalistes » au sortir de l’horreur de la Première Guerre mondiale, a d’abord été moqué par les commentateurs. Philippe Soupault, André Breton, Tristan Tzara ou Francis Picabia ont, sans surprise, provoqué les foudres des tenants du bon goût, qui voyaient dans leurs ricanements dénonçant l’Art avec un grand A un affront de premier ordre – ce dont il s’agissait. Les détracteurs et leurs critiques assassines affluent donc par centaines dans les journaux du début des années 1920, tout en déplorant, au passage, d’offrir la « publicité attendue » par ces méphitiques agents de la satire. Ainsi, on croise plusieurs papiers franchement racistes, d'autres inquiets de voir « le monstre » érigé en « idole », et enfin certains qui, choqués, n'hésitent pas à comparer les créateurs dada à des aliénés. [Voir notre dossier].

Les partenaires artistiques et culturels Le partenariat permet de développer des activités complémentaires aux enseignements artistiques et culturels. Il se concrétise sous différentes formes : les classes à projet artistique et culturel (PAC), les ateliers artistiques, les ateliers scientifiques et techniques, les résidences d’artistes, les dispositifs cinéma. C'est aussi un pilier de l’accompagnement éducatif pour la mise en place du volet artistique et culturel. Au niveau national Les ministères de l'Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, de la Culture et de la Communication, et de l’Alimentation, de l'Agriculture et de la Pêche travaillent ensemble pour :

Olivier Quéruel : L'art pour éduquer à la Shoah p C'est une approche difficile mais réussie que prend Olivier Quéruel pour amener ses élèves à découvrir la Shoah. Le 18 mai il inaugurait à Saint Lo l'exposition des photos de ses élèves qui sont allés sur les traces de Michone Hadine, un juif déporté à Auschwitz en1943. Olivier Quéruel porte cette démarche depuis plusieurs années. 10 applications d'art gratuites 1. Minitopo, la plus didactique Après les MOOC (Massive Open Online Courses), voici le microlearning. Derrière cet anglicisme se cache une nouvelle façon d’apprendre quotidiennement, par petite touche, sur une courte période. Minitopo en a fait sa spécialité.

Instamuseum. Proposez une visite en 3D de vos photos Instagram Instamuseum est un drôle de petit service en ligne qui va vous permettre d’accrocher vos photos Instagram sur les murs d’un musée virtuel que les visiteurs vont pouvoir visiter en 3D. Vous avez sans doute déjà parcouru sur le net les galeries proposées par les grands musées comme Le Louvre. Une ballade virtuelle qui reconstitue les salles du musée et les œuvres accrochées aux murs. On se balade à la pointe de la souris et on peut zoomer pour se rapprocher de tel ou tel tableau. Instamuseum offre à tout le monde la possibilité de se créer une salle d’exposition virtuelle ou les œuvres exposées sont vos photos publiées sur Instagram. La grande classe.

Motivation des filles et des garçons en arts plastiques au secondaire : analyse de trois projets pédagogiques selon des axes de création - Archipel p L'Homme, Catherine (2017). « Motivation des filles et des garçons en arts plastiques au secondaire : analyse de trois projets pédagogiques selon des axes de création » Mémoire. Montréal (Québec, Canada), Université du Québec à Montréal, Maîtrise en arts visuels et médiatiques. Fichier(s) associé(s) à ce document : Résumé Cette recherche a pour but d'explorer des types de projets de création qui influenceraient le degré de motivation d'élèves du secondaire à faire des arts plastiques, selon leur genre, et d'identifier ce qui favoriserait leur motivation dans le cadre d'ateliers de création qui se sont déroulés au Collège Jean-Eudes à Montréal, de janvier à juin 2015. Elle vise aussi à connaître les besoins et les intérêts des garçons et des filles en arts plastiques tout en les associant à des profils de création selon deux axes différents, soit l'axe matière/idée et l'axe global/détail.

Banques d'images utilisables à des fins pédagogiques La réutilisation d’images trouvées sur internet doit être conforme à la législation sur le droit d’auteur. Il existe des banques d’images placées dans le domaine public ou sous licences qui permettent une utilisation à des fins pédagogiques. Les images placées dans le domaine public permettent une utilisation libre sans attribution (citer le nom de l’auteur n’est donc pas obligatoire).

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