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Mandragore : écran de recherche

Mandragore : écran de recherche

Le site pédagogique Un réservoir d'images du domaine public Internet Archive, projet d'archivage du web initié en 1996 par Brewster Kahle, met également gratuitement à disposition des internautes de très nombreuses ressources multimédia (texte, image, audio, vidéo) « libres » et/ou « tombées » dans le domaine public. Un chercheur à l'Université de Georgetown, Kalev Leetaru, a développé une application lui permettant d'extraire plus de 14 millions d'images à partir de 2 millions d'ouvrages numérisés disponibles via Internet Archive. Ces illustrations sont peu à peu diffusées sur la plateforme Flickr. Chaque image est documentée de manière détaillée : titre du livre, auteur, année de publication, éditeur, légende, tags. Pour chaque image, la mention « Aucune restriction de droits d’auteur connue » s'affiche sur la droite. D'autres images « libres de droits » peuvent être retrouvées dans différentes banques iconographiques. Sources et références complémentaires Internet Archive Book Images :

Ministère de la culture - Direction générale des patrimoines - Service des musées de France - Joconde, portail des collections des musées de France BOUDIN Eugène, Venise, La douane et Notre-Dame-de-la-Salute, huile sur bois, 1895, Reims, musée des beaux-arts © Christian Devleeschauwer1/28 Costume de China Poblana, Mexique, coton, laine, sequin, perle de verre, 4e quart 19e siècle, 1er quart 20e siècle, Barcelonnette, musée de la Vallée, © BERNARD Jean2/28 MAISON J ROTHSCHILD & Fils et RHEIMS & AUSCHER, Modèle de landau à huit ressorts, crayon graphite sur papier bristol, 4e quart 19e siècle - 20e siècle, Compiègne, musée national de la voiture et du tourisme © Arkhênum ; Compiègne, musée national de la voiture et du tourisme - utilisation soumise à autorisation3/28 Portrait de Tiberius Gemellus ? DE DIETRICH, Saint Georges terrassant le dragon, bas-relief, fonte moulée, entre 1950 et 1960, Reichshoffen, musée historique et industriel, musée du fer © Pommois Etienne28/28

L'évolution de la mode féminine 1880-1920 Contexte historique Au seuil du XXe siècle, la silhouette de la femme change radicalement. L’effet de cette transformation apparaît non seulement dans les modèles, mais aussi dans les pratiques : celle de l’amincissement en particulier, les corps étant moins dissimulés. Le couturier Poiret ose abolir le corset vers 1905 : il dessine des robes qui révèlent les formes. Analyse des images Le nostalgique Portrait de famille peint en 1923 par Paul-Albert Laurens rappelle qu’auparavant la crinoline s’imposait, même en plein été. La photographie d’Henri Lemoine, tirée d’un de ces albums de famille que bourgeois et aristocrates tiennent en nombre, fixe une autre mode, typique celle-là de la vie mondaine de la Belle Époque. C’est vers 1910 que se produit la véritable révolution dont l’autoportrait d’Hélène-Clémentine Dufau (1911) est révélateur. De la peinture de Laurens à celle de Dufau, l’allure de la femme glisse de l’image de la fleur à celle de la tige, de la lettre « S » à la lettre « I ».

Un théâtre du Boulevard à la Belle Epoque Contexte historique Le théâtre au cœur de la vie parisienne Depuis la monarchie de Juillet, les « grands boulevards » sont le centre de la vie parisienne. Cet ensemble de voies qui va de la place de la Madeleine (dont l’église accueille les mariages mondains et les « grands » enterrements) à la place de la Bastille, aux confins du Paris populaire, est le lieu de flânerie par excellence, l’endroit où il faut être vu pour tenir son rang de « vrai » Parisien. Seule une fréquentation assidue du Boulevard permet de savoir ce qui est à la mode et ce qui ne l’est plus. Les salles de théâtre y sont nombreuses, l’art dramatique étant le loisir préféré des Parisiens qui, à la Belle Époque, se pressent aux pièces de Dumas fils et de Sardou ou, pour une petite élite intellectuelle et mondaine, assistent aux spectacles plus audacieux des théâtres d’avant-garde. Analyse de l'image Un coin du Boulevard Interprétation Histoire d’un théâtre Auteur : Jean-Claude YON

La baraque de la Goulue et le bal Bullier Contexte historique L’essor des spectacles dans le Paris de la Belle Époque Sous l’impulsion du baron Haussmann, Paris se transforme en profondeur au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. La « Ville lumière » brille autant par l’éclat de ses monuments que par les feux de ses mouvements artistiques, qui attirent les créateurs du monde entier. La variété des spectacles qui font la « nuit parisienne » élargit encore l’aura de la capitale. Cabarets des chansonniers, cafés-concerts, premières revues et bals populaires (grandes salles d’hiver ou jardins d’été) accueillent la bourgeoisie comme les classes populaires. Le bal Bullier, construit en 1847 avenue du Montparnasse, à l’emplacement de l’actuelle Closerie des Lilas, a été pendant un demi-siècle le plus grand bal de Paris. Les contemporains s’accordaient pour désigner la Goulue (Louise Weber, née en 1866) reine du cancan. Analyse des images Bals populaires et « nuit parisienne » Interprétation

Objectif : 100 photos sur Paris | Escale de nuit Objectif ? Réunir 100 photos sur Paris. Matériel : iPhone (du vrai matériel de professionnel…) un voyage à travers Paris 1. Place de Bourgogne, Paris 5 ème 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 26. 27. 28. 29. 30. 31. 32. 33. 34. 35. 36. 37. 38. 39. 40. 41. 42. 43. 44. 45. 46. 47. 48. 49. 50. 51. 52. 53. 54. 55. 56. 57. 58. 59. 60. 61. 62. 62. 63. 64. 65. 66. 67. 68. 69. 70. 71. 72. 73. 74. 75. 76. 77. 78. 79. 80. 81. 82. 83. 84. 85. 86. 87. 88. 89. 90. 91. 92. 93. 94. 95. 96. 97. 98. 99. 100. Like this: J'aime chargement…

35 000 peintures à télécharger gratuitement (et légalement) 35 000 tableaux de grands maîtres en format numérique haute définition. C'est ce que vous pouvez télécharger sur le site de la National Gallery of Art de Washington DC, rapporte OpenCulture.com. Au menu, des Van Gogh, des Gauguin, des Rembrandt, des impressionnistes comme Monet et ses nénuphars, Manet, Cézanne et ses maisons de Provence, Degas et ses danseuses, Renoir etc. "Les utilisateurs peuvent télécharger et utiliser gratuitement et légalement, sans limite, toutes les images disponibles sans demander l'autorisation de la Gallery", peut-on lire sur le site web, qui explique que toutes ces oeuvres sont "libres de droit", c'est-à-dire "dans le domaine public", si on traduit en droit français. Pour ce faire, plusieurs solutions: se rendre dans la partie "collections" -galerie française, autoportrait, musique...- ou encore directement dans le moteur de recherche si vous chercher une oeuvre ou un artiste en particulier. >> Voir aussi: les images les plus recherchées

62 of the World's Most Beautiful Libraries For the last couple years, Jill Harness has been rounding up the world's most beautiful libraries by continent. Here they are all in one place, in no particular order. Aside from being absolutely gorgeous, with two story dark wooden arches, this is also the largest library in all of Ireland. It serves as the country’s copyright library, where a copy of all new books and periodicals must be sent when they apply for copyright protection. The library is also home to the famous Book of Kells, an illuminated manuscript created by Celtic monks around the year 800. This library, completed in 1906, is fascinating for its unique combination of architectural styles. The Codrington Library of Oxford University was completed in 1751 and has been used by scholars ever since. The National Library of France has expanded greatly since new buildings were added to house the collection in 1988. 5. 6. The library of the Dutch Parliament contains every record of parliamentary hearings and discussions. 11.

The Strangest Tradition of the Victorian Era: Post-Mortem Photography Actually, I think there's a mixture. Some do show the loved one after they have passed, but I think some show a seriously ill person or child, photographed because they weren't expected to survive, and some are just normal photos of living people that have been mislabelled. The subjects in the after death photos have no muscle tone, and often have sunken eyes, and (obviously) are sitting very still. They are often holding flowers, which is symbolism that was also used in earlier times, in memorial portraits painted after the loved one died. The grief of the moment is often visible in the faces of parents and siblings in the photo. (Though the people in the large family group with the young girl "sleeping" on the floor look surprisingly casual about it all.) Photos in Victorian times needed long exposures, and any movement during that time would show as blurring.

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