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Une démocratisation de la vie privée

Une démocratisation de la vie privée
“Il y a 15 ans, quand on arrivait au bureau, on n’avait aucun contact autre que professionnel. La vie privée restait en dehors du bureau, on ne faisait que travailler.Et c’est d’ailleurs ce que l’école cherche aussi à apprendre aux enfants : à passer du temps sans leurs parents, à faire autre chose que jouer, et apprendre à se concentrer, avec ses rituels à l’entrée, à la sortie, voire ses uniformes…” Cette dichotomie, propre à la bureaucratie moderne, à la révolution industrielle, répondait à un modèle rationnel séparant les sphères professionnelles, et personnelles. La montée en puissance des technologies de communication, téléphones portables, ordinateurs “personnels” (même et y compris ceux que l’on utilise au travail), et bien évidemment l’internet, ont profondément bousculé cette dichotomie entre vie publique et vie privée. “La génération Y est une génération toujours connectée, le jour comme la nuit.

e-réputation : Typologie des risques liés à l’eréputation: impac e-réputation : Typologie des risques liés à l’e-réputation Le 16/12/2012 L’e-réputation est la perception qu’ont les internautes de votre entreprise, de votre marque ou des personnes qui y collaborent. L’e-réputation est une représentation que les internautes vont se constituer en fonction des flux d’informations qu’ils rencontrent sur le net. Chaque internaute ou chaque communauté peut donc se faire sa propre représentation de la réputation numérique d’une marque. Ces informations sont produites par l’organisation elle-même mais aussi par les acteurs de son environnement économique proche: par ses salariés, ses fournisseurs, concurrents, clients… et par tout une écosphère réputationnelle. Cette sphère de réputation est constituée par des blogueurs, des journalistes, des internautes “lambda” qui s’expriment sur de nombreux canaux du net (Twitter, médias participatif, réseaux sociaux, forums, plateforme how-to, avis conso,…). "Typologie des risques e-réputation""Voir aussi :

Vie privée : le point de vue des “petits cons” « InternetActu.ne Nombreux sont ceux qui pensent que les jeunes internautes ont perdu toute notion de vie privée. Impudiques, voire exhibitionnistes, ils ne feraient plus la différence entre vie publique et vie privée. Et si, a contrario, ils ne faisaient qu’appliquer à l’internet ce que leurs grands-parents ont conquis, en terme de libertés, dans la société ? Dans « La vie privée, un problème de vieux cons ?« , je dressais un parallèle entre la façon désinhibée qu’ont les jeunes internautes de se dévoiler sur le Net et la révolution sexuelle, et me demandais si ceux qui sont gênés par cette façon décomplexée de s’exprimer ne seraient pas un peu coincés. Au-delà des problèmes d’inhibition des « vieux cons« , il est difficile d’aborder la question sans essayer de regarder de plus près comment, et pourquoi, les jeunes qui ont grandi avec le Net évoquent ainsi leurs vies privées dans des espaces publics. La vie privée ? Dans l’arène publique, ou via une interface technique. Une génération « rock’n roll »… 1.

La valeur sociale de la vie privée Souvent, la réponse aux inquiétudes concernant la confidentialité de nos données consiste à dire que « ceux qui ne transgressent pas la loi n’ont rien à se reprocher » : nous n’avons rien à craindre de la collecte massive de données. La vie privée, finalement, n’est qu’un problème de vieux cons. Qu’importe si les caméras de surveillance nous filment, si nos communications sont écoutées, si nos activités sont enregistrées, si nos déplacements sont surveillés, si nos achats sont tracés… : les bons citoyens, employés, consommateurs que nous sommes n’ont rien à se reprocher de cette surveillance généralisée qui n’a pour but que de déjouer ceux qui contournent les règles communes, ceux qui s’en prennent à notre sécurité collective. C’est l’argument bien connu de la chasse aux terroristes, aux pirates, aux hackers, aux spammers, aux déviants… qui autorise la surveillance de toutes les communications, le filtrage et le bridage de l’internet ou le contrôle des déplacements… Hubert Guillaud

Pour une sociologie du #troll Hello folks ! Si vous êtes arrivés ici après avoir écouté l’émission Place de la Toile « Psycho-politique du troll » du 24 mars 2011, vous trouverez dans ce billet un utile complément d’information. Si vous êtes des lecteurs habituels de ce blog ou de celui consacré à la réception de mon livre Les liaisons numériques (Ed. du Seuil), vous y trouverez une bonne synthèse des contenus que vous connaissez sans doute déjà. Typologie du troll Quatre catégories principales de trolls sont identifiables : 1) le troll « pur » : le modèle de base, utilisateur bête et méchant des listes de diffusion ou des médias sociaux qu’il pourrit de commentaires désobligeants et mal adaptés au contexte d’interaction (ex. reconduire tout au sexe dans un forum de discussion sur la religion ou reconduire tout à la religion dans un forum de discussion sur la psychanalyse…). 2) le troll « hybride » : un utilisateur qui combine son activité de troll avec des habiletés d’autre type. Le trolling : un processus social

e-Réputation: prisonniers de Le Web 2.0 a mis les individus au centre de la Toile. Avec l'utilisation croissante des médias sociaux et les nombreuses possibilités de générer du contenu, nous nous exposons de plus en plus. Pouvons-nous maîtriser notre image virtuelle? De manière volontaire ou involontaire, nous sommes tous présents sur la Toile. En tapant notre nom dans un moteur de recherche, nous découvrons le reflet de notre moi numérique: profils sur des réseaux sociaux, commentaires laissés sur un blog, extraits de registre foncier, etc. Comment savoir tout ce qui se dit sur nous et gérer notre présence sur le Web? Construire et gérer son identité numérique, veiller à son e-réputation sont ainsi devenus une nécessité. Contributions volontaires Selon breek.fr «l’identité numérique est constituée de l’ensemble des contributions et des traces qu’un individu ou une entreprise laisse en ligne, volontairement ou non.» • les données formelles, venant d’organismes officiels Une absence perçue négativement Agir rapidement

Protéger sa vie privée dans Internet et les réseaux sociaux Photo: iStock Seulement Facebook ? On ne peut plus parler de vie privée dans Internet sans évoquer constamment Facebook. Ce n’est évidemment pas le seul site à surveiller, mais c’est celui où les internautes s’épanchent le plus, où ils font part de leur vie privée le plus naïvement. 1- Il n’y a pas de renseignements banals Le nom de votre mère, votre date d’anniversaire, votre lieu de naissance… Ces renseignements que vous publiez ou que vous ajoutez à votre profil d’utilisateur semblent bien innocentes, mais en les croisant, on peut faire beaucoup. Pour vous permettre de récupérer un mot de passe perdu, par exemple, plusieurs sites utilisent une question personnelle comme « Quel est le nom de votre mère ? 2- Ne vous surestimez pas. Après tout, ces réglages changent souvent et sont parfois difficiles à trouver et à déchiffrer. 3- Les amis de vos amis sont-ils vraiment vos amis ? Car il y a trois niveaux de partage sur Facebook : - avec ses amis- avec ses amis et leurs amis- publiquement

Pour comprendre la vie privée, il faut la remettre en contexte Par Hubert Guillaud le 11/05/10 | 7 commentaires | 3,933 lectures | Impression Comment la vie privée se redéfinit à l’heure des nouvelles technologies ? Pour Olivier Glassey de l’Observatoire science, politique et société de l’université de Lausanne, toute la question est de comprendre comment celle-ci évolue à l’heure des identités socialement distribuées. Pour Christian Heller, au contraire, il est temps de basculer dans une société post-privacy dans laquelle ce qui relevait de notre défunte intimité est l’occasion de construire de nouvelles sociabilités. C’est entre ces deux visions, l’une rationnelle et l’autre provocatrice, qu’a débuté la 5e édition de la conférence genevoise Lift (voir nos couvertures de l’évènement, les années précédentes). La vie publique est-elle la nouvelle norme sociale ? La vie privée est-elle la liberté, un espace où nous pouvons être nous-mêmes sans craindre d’être quelque chose ? Image : Christian Heller sur la scène de Lift par sdufaux. Sur ces mêmes sujets

The Best Intelligence Is Cyborg Intelligence - Alexis C. Madrigal The best services arise from the combination of machine and human intelligences. Alexis Madrigal A quick pointer to today's A1 New York Times story on a phenomenon we've been following on this blog for the past year: as algorithmic entities explode across the web, humans remain central to their operation. We noted this phenomenon in our work on Google Maps, which has a team of thousands of humans who handcorrect every single map. There is an analogy to be made to one of Google's other impressive projects: Google Translate. The Times story is well worth reading for its catalog of similar operations at other companies like Twitter, Apple, IBM, and some startups. Fifty-three years later, I think the jury is still out on whether or not his initial hope was correct.

Le fichier RNCPS et le ministère du Budget - Big Brother Awards Sous couvert de lutte contre la fraude aux prestations sociales, Eric Woerth veut créer un fichier central qui remet au goût du jour le funeste "projet Safari" des années 70, menant à l’interconnexion massive des bases de données avec le NIR comme identifiant unique Eric Woerth, ministre du Budget, est l’homme qui met en oeuvre avec zèle la lutte contre la fraude, promesse électorale de Sarkozy "aux français qui travaillent". Chargé de cette mission interministérielle fin 2007 par la présidence et le premier ministre, Eric Woerth met les bouchées double. Début 2008, il annonce la couleur : "Pour la première fois, toutes les formes de fraudes fiscale et sociale, qu’elles portent sur les prélèvements ou les prestations, seront traitées de manière globale et concertée. La matérialisation la plus dangereuse pour la vie privée de tous les allocataires est un nouveau "répertoire", le RNCPS (Répertoire National Commun de la Protection Sociale).

Google remet l’identité numérique au centre du Web et consacre le ".me" Jusqu’où ira « Monsieur plus » ? Que signifie ce revirement ? Qu’est ce qui pousse Google à s’intéresser de si près à notre propre personne ? Explications. "Panda m’a tuer" - le grand nettoyage de printemps Le premier virage effectué par Google n’a pas touché directement les personnes mais tout l’éco-système du web. Le résultat a été spectaculaire : certains sites aux Etats-Unis ont perdu 90% de leur trafic du jour au lendemain. Pourquoi ce mouvement risqué ? Google, sous la pression de Facebook, a intégré la dimension « sociale » du web et tenté d’introduire une dimension plus qualitative à son moteur de recherche. Avec Panda, cette dimension à la fois temporelle et personnelle de l’information, que Google avait commencé à introduire avec Twitter, fait désormais partie intégrante de son service. « Google+ » : du réseau social à l’annuaire universel Google + est le deuxième volet de la riposte de Google à Facebook. « Pourquoi Google veut devenir l’annuaire du monde »

Smart Homes: Our Next Digital Privacy Nightmare The hyper-connected smart home of the future promises to change the way we live. More efficient energy usage, Internet-connected appliances that communicate with one another and cloud-enhanced home security are just some of the conveniences we'll enjoy. It's going to be amazing. We're already catching a glimpse of our futuristic living quarters with products like the Nest, the WiFi-connected smart thermostat with an Apple-esque sleekness. If you think digital privacy is a contentious issue now, just wait. Government Requests For Personal Data On The Rise Consider this: In the last few years, Internet service providers and mobile carriers have seen a huge spike in government requests for data about customers. This uptick in government data requests corresponds with the rapid rise of smartphones and other connected gadgets among the general population. Why does it matter what companies like Verizon and Comcast do with their customers' information? Your Smart Home Will Be a Trove Of Data

Les 12 conseils de l'EFF pour protéger votre vie privée en ligne par Stanton McCandlish, conseiller juridique de l'Electronic Frontier Foundation traduction : BugBrother.com Vers. 2.0 - Apr. 10, 2002 Note: La mention de produits, services et compagnies n'équivaut pas à une approbation ou une recommandation de l'EFF. 1) Ne révélez jamais d'information personnelle par inadvertance. Vous pouvez être " dépouillé " de certaines informations personnelles, y compris vos adresses e-mail et physiques, sans même vous en apercevoir, à moins d'avoir correctement configuré votre navigateur web. retour 2) Prenez en main la gestion des cookies. Les " cookies " sont de petits bouts d'information que les sites de Web stockent sur votre ordinateur, temporairement ou de façon quasi permanente. Les navigateurs permettent dorénavant de prendre le contrôle des cookies. Vous pouvez aussi vous servir de logiciel et services de gestion des cookies. La solution idéale, qui placerait à l'intérieur même du navigateur un outil complet de gestion des cookies, n'existe pas encore.

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