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Effet diligence, effet serendip et autres d?fis pour les sciences de l'information.

Effet diligence, effet serendip et autres d?fis pour les sciences de l'information.
Effet diligence, effet serendip et autres défis pour les sciences de l'information. Les sciences de l'information et de la communication sont une spécialité française qui rassemble sous un terme générique ce que l'on nomme ailleurs " media studies " et " information science ". La composante " sciences de l'information " est proche de " information science " et de " social informatics ". Certains chercheurs français ont en effet introduit, depuis une quinzaine d'années, l'étude des usages et des contextes dans leur champ disciplinaire. La plupart des chercheurs français dans les sciences de l'information s'intéresse essentiellement au document, aux bibliothèques et à la documentation. Certains, comme Jean Claude GARDIN, estiment que cette discipline est en bout de course, puisqu'elle a produit les artefacts qui permettent de trouver un document à partir de questions, que la théorie documentaire permet de poser de façon très élaborée. Une dimension cognitive incontournable

6 idées pour mettre en place votre "laboratoire à sérendipité" Outils Recherche Web Divers - Ressources Outils Froids Pour l'avoir expérimenté à de nombreuses reprises, je suis persuadé que le web est un fantastique outil au service de la sérendipité. Qu'est-ce que la sérendipité? C'est l'art de trouver ce que l'on n'a pas cherché explicitement mais qui répond néanmoins à des questions que l'on se posait ou que l'on aurait dû se poser. Pour tout savoir sur ce concept je vous renvoie vers cet excellent article proposé par Automates Intelligents. Si l'on en croit la Wikipedia c'est à de tels "moments" de sérendipité que l'on doit entre autres choses la découverte des pneumatiques (vulcanisation) par Charles Goodyear, du nylon, de la radioactivité (Becquerel), de la gravitation universelle par Newton (à moins que ce ne soit par Gotlieb?) Mais la sérendipité ne doit pas être confondue avec le hasard, ou plutôt s'il s'agit d'un hasard, c'est un hasard orienté par l'utilisateur, cela arrive parce que c'était lui/elle. Le promouvoir :

Ingénieries de la sérendipité. Cela ressemble à de la sérendipité, ça à la goût de la sérendipité ... mais ce n'est pas nécessairement de la sérendipité. Historiquement, c'est Google qui fut le premier moteur de recherche à instrumentaliser un processus de fortuité, via le bouton "Feeling Lucky" (lequel n'a d'ailleurs rien à voir avec une quelconque sérendipité littérale, puisque ledit bouton se contente de vous amener sur le premier résultat renvoyé par le moteur de recherche). Comme nous l'expliquions en détail dans ce remarquable article co-écrit avec mes excellents collègues (:-), ce bouton est avant tout un argument marketing et un élément fondateur de la sémiotique Googléenne. 1998 : Sérendipité année zéro. Bref, depuis Google, et avec l'arrivée du web contributif, la sérendipité est aujourd'hui partout réellement présente et systématiquement agissante. Sérendipité et SIC. Sérendipité illustrée. CHAPITRE PREMIER / De la mécanique du rebond à la dynamique du surgissement : sérendipitéS. "Mrs. L'âge de pierre.

La RdR Dernier baiser 12 février, par Xavier Zimbardo Il y a des gens comme ça, qu’on connaît ou qu’on croise… Des visages tellement noyés d’un long chagrin qu’ils sont devenus le masque même de l’amertume. Des traits anéantis, où tout est effondré, exténué, dévasté, (...) Sarajevo : Notre résistance 2 février, par Robin Hunzinger Ce film est l’histoire d’une aventure collective, et le portrait d’un homme qui n’existe que par le rapport aux autres, l’inscription dans ce qui le dépasse. Cet homme, on ne le verra pas, on verra ce qu’il a (...) LE FIL DES PAGES Recherche sérendipité désespérement [1/3] Trouver ce qu'on ne cherchait pas : un émerveillement permanent sur le web au doux nom de sérendipité. Retour au source du concept dans un feuilleton de trois parties : début du voyage dans les recoins de la ville. La sérendipité peut être définie comme la capacité à découvrir des choses par hasard. Start upper à succès, futur reponsable de recherche au MIT… Ethan Zuckermann est d’abord un fou de web qui y a trouvé la matrice de découvertes non voulues, ouvertures de l’esprit et nouveaux horizons… En un mot, des choses qu’il ne cherchait pas, trouvés par sérendipité. En mai 2011, Ethan Zuckerman clôturait la conférence CHI 2011 à Vancouver. Les liens de cet article sont en anglais. En 2008, la majorité de la population mondiale vivaient dans des villes. Ce graphique de la Banque mondiale pourrait même sous-estimer l’inexorabilité apparente du passage du rural à l’urbain. Pourquoi la ville? Les villes, moteurs de sérendipité ? La ville comme réseaux social La suite de l’article ici!

Marshall McLuhan (1911-1980) Marshall McLuhan Quelles dates clés 1911 : naissance au Canada 1951 : La Fiancée mécanique . McLuhan montre que le machinisme a engendré une conception mécanique de la vie humaine, physique et spirituelle. 1962 : La Galaxie Gutenberg . L’imprimé a fragmenté la société en incitant les hommes à lire et à penser individuellement, à se centrer sur eux-mêmes. 1964 : Pour comprendre les média s. L’universitaire aborde sa thèse principale : « Le médium, c'est le message » : le contenu de la communication est secondaire ; le véritable message étant le medium lui-même. 1967 : The Medium is the Message (traduit sous le titre de Message et massage ). McLuhan naît le 21 juillet 1911 à Edmonton, au Canada (Alberta). McLuhan est membre de l'école de communication de Toronto, ainsi que Harold Innis, Eric Havelock et Edmund Carpenter, chercheurs convaincus de l'influence des technologies sur la communication. « The medium is the message » Voilà donc un des concepts-clés de la pensée de McLuhan.

Recherche sérendipité désespérement [2/3] Ethan Zuckerman continue son analyse de la sérendipité en s'intéressant à notre manière de s'informer en ligne avant de revenir aux origines du concept. Suite de l’article d’Ethan Zuckerman autour du concept de sérendipité, qui peut être définie comme la capacité à découvrir des choses par hasard. Après s’être attardé dans la première partie sur les liens entre urbanité et sérendipité, l’auteur analyse ici la manière dont nous cherchons l’information en ligne et revient sur les origines du terme “sérendipité”. Les liens de cet article sont en anglais. Information en ligne: une chambre d’échos? En 1993, Pascal Chesnais, chercheur au laboratoire Médias du MIT, a conçu un logiciel appelé “Freshman Fishwrap”. L’universitaire Cass Sunstein considérait le “Daily Me” comme une menace plutôt qu’une promesse [PDF]. Je m’intéresse moins à la polarisation droite/gauche américaine qu’à la polarisation nous/eux au niveau mondial. Les réseaux sociaux comme mécanismes de sérendipité?

Rendons l'Europe plus démocratique ! LE MONDE | • Mis à jour le | Par Jürgen Habermas, philosophe A court terme, la crise requiert la plus grande attention. Mais par-delà ceci, les acteurs politiques ne devraient pas oublier les défauts de construction qui sont au fondement de l'union monétaire et qui ne pourront pas être levés autrement que par une union politique adéquate : il manque à l'Union européenne les compétences nécessaires à l'harmonisation des économies nationales, qui connaissent des divergences drastiques dans leurs capacités de compétition. Le "pacte pour l'Europe" à nouveau renforcé ne fait que renforcer un vieux défaut : les accords non contraignants dans le cercle des chefs de gouvernements sont ou bien sans effets ou bien non démocratiques, et doivent pour cette raison être remplacés par une institutionnalisation incontestable des décisions communes. Ils devraient surmonter leur peur des sondages sur l'état de l'opinion et faire confiance à la puissance de persuasion de bons arguments.

Recherche sérendipité désespérement [3/3] De quelles façons est-il possible de découvrir une ville en valorisant la sérendipité ? Le Web peut-il s'en inspirer, et si oui, comment ? Éléments de réponse d'Ethan Zuckerman dans cette dernière partie. Suite et fin de l’article d’Ethan Zuckerman autour du concept de sérendipité, qui peut être définie comme la capacité à découvrir des choses par hasard. Après s’être attardé dans la première partie sur les liens entre urbanité et sérendipité, et avoir analysé dans la seconde partie la manière dont nous cherchons l’information en ligne, l’auteur explore ici les diverses façons de découvrir une ville en valorisant la sérendipité et s’interroge sur comment s’en inspirer sur le Web. Les liens de cet article sont en anglais. L’urbanisme au service de la sérendipité Si nous voulons créer des espaces en ligne qui encouragent la sérendipité, nous devons commencer par nous inspirer des villes. Les décisions politiques derrière les réseaux sociaux De nouveaux filtres qui empêchent la sérendipité

Note de lecture : Michel Foucault et Pierre Bourdieu L’ordre du discours de Michel Foucault et La leçon sur la leçon de Pierre Bourdieu Pourquoi cette envie de risquer une comparaison entre Foucault et Bourdieu ? (1) C’est en lisant le livre de Judith Revel, Foucault, une pensée du discontinu (2) que j’ai éprouvé le besoin de me replonger dans L’ordre du discours de Foucault (3), ce qui m’a très vite conduit à l’idée d’un parallèle avec la Leçon sur la leçon de Bourdieu (4). Je ne peux mieux illustrer cette idée d’une comparaison possible qu’en donnant à lire les premières minutes de ces deux leçons inaugurales au Collège de France. L’ordre du discours d’abord, prononcé le 2 décembre 1970 :« Dans le discours qu’aujourd’hui je dois tenir, et dans ceux qu’il me faudra tenir ici, pendant des années peut-être, j’aurais voulu pouvoir me glisser subrepticement. En lisant d’une seule traite ces deux commencements de leçon, deux choses frappent de prime abord, me semble-t-il. Repartons d’un passage de L’ordre du discours.

Voyages et aventures des trois princes de Serendip La bibliothèque libre. Ce roman, digne de figurer à côté des Mille & une Nuits & des Mille et un jours, pour la richesse de l’imagination, est une traduction du roman italien, intitulé: Peregrinaggio di tre giovanni figlivoli del re fi Sarendippo, de Cristoforo Armeno. Le Traducteur est le chevalier de Mailly. M. Gueulette en a tiré le plus grand parti dans ses Soirées bretonnes[1]. Aller ↑ Les soirées bretonnes, tome 31 du Cabinet des Fées.

Numéro 38 Dominique Wolton CNRS Editions Yves Jeanneret et Bruno Ollivier Il y a trente ans, en 1974, l'université française créait une discipline : les « Sciences de l'information et de la communication ». Cette discipline a dû répondre à des défis variés. D'abord, eile n'est ni la seule, ni la première à traiter de l'infor- mation et de la communication. Ensuite, il lui faut nouer des relations avec les milieux profes- sionnels dans lesquels ses étudiants vont s'insérer: publicité, journa- lisme, relations publiques, documentation, politique, systèmes d'information, communication publique... Enfin, elle doit, comme toute discipline de l'université, produire des connaissances par la recherche sur l'information et les médias et plus généralement sur l'extraordinaire mouvement social et culturel autour de la communication. Hermès explique, dans ce numéro, en restant ouvert sur l'inter- national, comment se construit l'invention française des « Sciences de l'information et de la communication ». Author

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