Yves Jeanneret, Penser la trivialité . Volume 1 : la vie triviale des êtres culturels, Paris, éditions Hermès-Lavoisier, 2008
Actes Sémiotiques est une revue créée en 1977 par Algirdas Julien Greimas, et consacrée à l’analyse des faits de signification dans une perspective structurale. Dès sa création, elle affirmait sa dimension pluridisciplinaire et internationale, et son ambition d’aborder d’un point de vue sémiotique toute la diversité des discours, des pratiques et des formes de vie. Sous l’impulsion de ses directrices et directeurs successifs, Actes Sémiotiques a fait le choix d’accueillir tous les courants théoriques et méthodologiques (sémiotiques tensive, subjectale, interprétative ; sociosémiotique, étho-sémiotique, ethno-sémiotique, anthropo-sémiotique, sémiotique de la culture, etc.), tels qu’ils se pratiquent tout autant en Italie, au Pérou, en Lituanie, au Brésil, en Iran, en Corée, en Argentine, en Belgique, en Chine, au Mexique, en Turquie, en Espagne, au Maroc, parmi bien d’autres lieux, qu’en France même.
Les séminaires
Le Data mining et ses enjeuxSéminaire « Document numérique » de l'INTD-CNAMParis - 23 novembre 2010 Le Data Mining, dit aussi « fouille de données » ou « Extraction de Connaissance à partir de Données » (ECD), a pour objet l'exploration de grandes quantités de données de nature hétérogène, pouvant être issues de systèmes de stockage multiples et plus ou moins structurés. Il s'agit, grâce à des traitements algorithmiques automatiques et semi-automatiques, de faire émerger des corrélations ou informations non postulées a priori, « des structures inconnues, valides et potentiellement exploitables dans les bases de données (Fayyad, 1996)". [...] Le séminaire « Document numérique », organisé par l'INTD du CNAM est ouvert à tous. Il portera sur les techniques du data mining, ses enjeux pour le traitement de l'information et l'élaboration des connaissances, pour les métiers de la documentation, notamment l'information scientifique en prise avec "la science numérique". Le programme
Médias, culture et cognition : entretien avec le philosophe Pierre Lévy
Entretien avec Pierre Lévy (découvrez également son site Internet, ainsi que son compte Twitter). Retranscription intégrale d'une heure d'échanges avec le philosophe. « Pierre Lévy est un philosophe qui a consacré sa vie professionnelle à la compréhension des implications culturelles et cognitives des technologies numériques, à promouvoir leurs meilleurs usages sociaux et à étudier le phénomène de l’intelligence collective humaine. Il a publié sur ces sujets une douzaine de livres qui ont été traduits dans plus de douze langues et qui sont étudiés dans de nombreuses universités de par le monde. Il enseigne aujourd’hui au département de communication de l’Université d’Ottawa (Canada) où il est titulaire d’une Chaire de Recherche en Intelligence Collective » (Source : le site de l'IEML). Pierre Lévy est entre autres l’auteur des ouvrages suivants : Les technologies de l’intelligence (1990), L’intelligence collective (1994), Qu’est-ce que le virtuel ? Tout cela, on l’a déjà.
Enseigner l'informatique, enseigner la culture informationnelle
Enseigner l'informatique, enseigner la culture informationnelle Éric Delamotte Deux grandes familles scientifiques sont concernées par la recherche sur les TIC et la communication numérique. D'un côté les « STIC » (Sciences et Techniques de l'Information et de la Communication), principalement les informaticiens qui imaginent et développent les techniques qui transforment la circulation des savoirs. De l'autre, les « SHS » (sciences de l'homme et de la société) analysent les dimensions humaines de cette circulation. Le dialogue entre ces familles n'est pas aisé tant leur posture épistémologique est différente. De plus, à l'intérieur de chacune des deux grandes familles, la spécialisation des savoirs a souvent cloisonné les chercheur(e)s qui travaillent sur la didactique. Ce dialogue est indispensable pour comprendre les enjeux de l'éducation à l'informatique (dont ceux relatifs aux finalités d'une « éducation à »). Savoirs et pratiques sociales de références La re-documentarisation
Communication, transmission, un couple orageux
Le schéma linéaire « standard » de la communication, qui privilégie la transmission directe d'information entre un émetteur actif et un récepteur passif, n'a plus cours. La communication comme la transmission sont aujourd'hui conçues comme interactives, pleines d'obstacles et de contraintes médiatiques. Dans le sens commun, communiquer c'est transmettre de l'information, c'est diffuser des idées ou des contenus culturels. Il s'agit là de la transposition spontanée d'un modèle que la linguistique et les sciences de la communication ont formalisé pour tous les processus de communication : une ligne unit deux pôles, l'émetteur et le récepteur, et une entité diversement nommée (signe, signal, message) y subit divers traitements. On trouve une telle conception dite « transitive » dès le Cours de linguistique générale (1916) de Ferdinand de Saussure (1857-1913). La communication comme forme active de la culture Le modèle de C. L'examen réel des médiations Yves Jeanneret
Les 10 textes essentiels de l’histoire de la communication et de l’information
Réfléchir à notre monde de communication, ce n’est pas picorer en permanence sur la Toile, écouter les analyses d’experts en communication ( qui se trompent souvent ), ou suivre les liens qu’on vous transmet ( par tweeter, facebook, ..). Généralement, nous restons frustrés. Par le buzz, qui s’éteindra aussi vite. Faites votre shopping dans mon magasin. Les étudiants en sciences de l’information et de la communication peuvent aussi être perdus. Car la communication n’est pas une science, mais une croisée de chemins de plusieurs disciplines. C’est ce qui en fait sa richesse. Dans un monde aussi imprégné que l’information, sous toutes ses formes, c’est un métier passionnant que de s’intéresser à ce domaine. Voilà pourquoi se nourrit ici ces ébullitions. Voici les textes essentiels qui permettent à chacun de prendre du recul, d’avoir la pertinence dans l’analyse de notre monde réel ou virtuel. Austin, quand dire c’est faire : Austin nous apprend que communiquer ce n’est pas qu’échanger. J'aime :