background preloader

Menaces pesant sur les sols

Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie Menaces pesant sur les sols Le sol est soumis à des menaces de plus en plus nombreuses provenant des activités humaines. Les 8 principales menaces identifiées par la Commission Européenne sont les suivantes : L'érosion : une perte irréversible de sol L'érosion est un phénomène géologique naturel qui provoque l'élimination des particules du sol, transportées par l'eau ou le vent. L'érosion est déclenchée par une combinaison de facteurs tels que les fortes dénivellations, le climat (ex : de longues périodes sèches suivies de grosses précipitations), une utilisation des terres inadéquate (ex : labours parallèles à la pente), les types de couverture végétale (ex : végétation éparse, sol nu en hiver) et les catastrophes écologiques (ex : incendies de forêt). En outre, certaines caractéristiques intrinsèques du sol le rendent plus sensible à l'érosion (ex : texture limoneuse, faible teneur en matières organiques). En savoir plus

Sols et changement climatique Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie Sols et changement climatique Au niveau mondial et en fonction de la gestion qui en est faite, le sol peut jouer des rôles opposés vis-à-vis du changement climatique. Les sols : source ou puits de gaz à effet de serre (GES) ? Les sols interviennent dans le cycle des 3 principaux gaz à effet de serre (GES) en agissant comme source ou comme puits. Pour le méthane (CH4), les sources dues au sol sont principalement liées aux zones humides (ex : rizières, marais). Qualité des sols et changement climatique Les sols jouent un rôle majeur dans les cycles biogéochimiques mondiaux du carbone. Le sol contient du carbone sous la forme de matières organiques. « La matière organique contenue dans le sol est un facteur prépondérant de fertilité des terres, véritable élixir de vie » (M. Il est donc nécessaire d’agir au mieux pour protéger les sols et limiter ses pertes de carbone. Ce stockage est envisageable soit par :

Surpêche & pêche pirate | Greenpeace France Aujourd'hui, au niveau mondial, 80% des poissons sont surexploités ou au bord de la surexploitation. Pour les différentes espèces de thon, le cabillaud, l'espadon et les requins, la situation est encore pire. Il y a trop de bateaux et plus assez de poissons. Les responsables sont connus, les solutions existent. La surpêche Pêcher trop au vu des réserves de poissons. Depuis plus de 20 ans, les captures mondiales stagnent autours de 100 millions de tonnes de poisson, pourtant, le nombre de bateaux augmente, tout comme leur puissance. Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, la surpêche est une activité tout à fait légale. Elle fait le bonheur de la pêche industrielle et de ses moyens surdimensionnés qui épuisent les fonds marins. La pêche illégale ou "pirate" C'est pêcher sans en avoir le droit : en utilisant des techniques de pêche interdites (comme les filets maillants dérivants), pêcher des espèces protégées, dans des zones non autorisées ou hors des périodes légales. Que faire ?

Eutrophisation des milieux aquatiques Paradoxe Les lacs, les étangs, les mares se trouvent parfois abondamment colonisés par la végétation aquatique (lentilles d'eau, nénuphars, élodée, algues vertes filamenteuses...). 1) Cette animation montre le dégagement d'O2 et la croissance végétale. 2) Paradoxalement, cette prolifération végétale pourtant productrice d'oxygène présente bien des inconvénients. Explication du processus. La prolifération végétale dans l'eau nécessite des quantités suffisantes de : lumière ;NPK (Azote, Phosphore et Potassium) ;Dioxyde de carbone. Il y a donc consommation de CO2, mais la production d'O2, elle, s'échappe, en partie, dans l'air. L'agriculture et la ville produisent tellement de minéraux, notamment nitrates et phosphates, que les plantes aquatiques grandissent plus que de raison. Et c'est à partir de là que ça se gâte ! "Pollutif - Nutritif" (Edgar Morin) La prolifération végétale dans l'eau serait a priori une bonne chose. Le Soleil La ville La ville est essentiellemet constituée de citadins (!!)

sagascience - Modes de gestion agricole et influences sur la biodiversité du sol Certaines pratiques agricoles - trop intensives ou peu respectueuses de l'environnement - peuvent être responsables de la dégradation du sol et de la perte de sa biodiversité. Des labours fréquents et notamment des labours profonds, l'usage intensif d'engrais et de pesticides, la dessiccation, les inondations, les incendies... perturbent les organismes du sol (macrofaune, mésofaune, microorganismes), réduisent le stock de matière organique (principale source d'énergie pour les habitants du sol) et bouleversent la structure, l'aération, la compacité, la texture, le pH ou la composition du sol, modifiant ainsi son fonctionnement. D'autres pratiques agricoles, au contraire, permettent de maintenir, voire de restaurer, la biodiversité du sol. Voici quelques illustrations de modes de gestion agricole et leurs conséquences sur la biodiversité du sol : Lutte contre parasites, prédateurs et mauvaises herbes Des méthodes alternatives existent. Le choix et la rotation des cultures Rédaction :

Thèmes - L'énergie - La production d'énergie - Energie et environnement Toutes les énergies s'épuisent, mis à part les énergies dites "renouvelables". La question des réserves se pose en priorité pour les énergies fossiles, compte tenu des quantités importantes consommées par les hommes. Cependant les estimations des réserves mondiales d'énergie varient en fonction des découvertes, de l'évolution des techniques et de l'économie qui rend plus ou moins rentable l'exploitation des gisements. Ainsi concernant le pétrole, les réserves sont estimées à près de 140 milliards de tonnes ce qui représente, au rythme actuel de production, plus de 40 années de réserves. Ces données, relatives aux réserves prouvées, représentent la quantité d'hydrocarbures que l'on estime pouvoir récupérer avec une certitude raisonnable dans les conditions économiques et technologiques existantes. Cette estimation est donc continuellement réévaluée en fonction des nouvelles découvertes et de l'amélioration des techniques d'extraction. Toutes les énergies ont un impact environnemental.

sagascience - Effet retour sur l'espèce humaine des perturbations qu'elle fait subir à la biodiversité Depuis des milliers d'années, nous vivons plus ou moins consciemment en interaction avec la biodiversité, qui nous rend de nombreux services, vitaux ou de « bien-être » : apport de matières premières pour l'alimentation, la santé et l'économie, bon fonctionnement des milieux permettant par exemple l'agriculture et l'accès à l'eau potable, protection naturelle contre les intempéries et les maladies, régulation du climat local et global, apport de biens immatériels tels que la beauté des paysages, la connaissance que nous tirons de la biodiversité, la culture, etc. Or, ces services, indispensables à l'espèce humaine, sont extrêmement fragiles.© Inra Photothèque / RIGAUDIERE Jean-Paul Pourtant, l'augmentation de la population humaine et de ses besoins, le développement de nouvelles technologies et de nouveaux modes de vie peuvent modifier rapidement cet équilibre Homme-Nature. Si la biodiversité m'était comptée... L'érosion de la diversité biologique modifie aussi nos relations sociales.

Pollution de l'air Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pollution de l’air (ou « pollution atmosphérique ») est un type de pollution caractérisé par une altération des niveaux de qualité et de pureté de l’air. Cette dégradation est généralement causée par un ou plusieurs éléments tels que des matières particulaires, ou autres substances…[1] dont les degrés de concentration et les durées de présence sont suffisants pour produire un effet toxique et/ou écotoxique. L'ONU a encadré la mis en place en 1979 d'une Convention sur la pollution atmosphérique transfrontalière à longue distance. L'OMS estime que ramener les taux de particules PM10 de 70 à 20 µg/m3 diminuerait la mortalité induite par la pollution de l’air de 15 %. Différents types de pollutions atmosphériques[modifier | modifier le code] Cette pollution peut revêtir de multiples formes et être : Histoire[modifier | modifier le code] C'est avec la révolution industrielle que la pollution de l'air est devenue la plus visible et manifeste. 2. 3.

sagascience - Qu'est-ce que la biodiversité ? La biodiversité, ou diversité biologique, constitue le tissu vivant de la planète. Elle recouvre l'ensemble des formes de vie sur Terre, les relations qui existent entre elles et avec leurs milieux depuis l'origine commune de la vie. Le concept de biodiversité comprend donc de façon indissociable : Manuelle Roville© Bruno Locatelli (www.locatelli1.net) Il faut considérer la biodiversité dans l'évolution continue de la vie sur Terre - dont l'espèce humaine est devenue un acteur majeur. diversité des gènes (diversité invisible qui est à l'origine de la biodiversité) diversité des espèces (dont l'espèce humaine), et diversité des écosystèmes (dont ceux abritant une forte biodiversité endémique et menacée) Elle prend également en compte toutes les échelles de taille, d'espace et de temps : des microorganismes aux éléphants, de quelques secondes aux années, siècles ou ères géologiques, de la flaque d'eau et du camembert (oui c'est un écosystème !)

Définitions & Glossaire - Aria Technologies Cette rubrique présente une information générale et théorique concernant la pollution de l'air : définitions, normes, conséquences sur l'environnement et la santé. Définitions & Glossaire Chaque pays dispose de ces propres lois et normes en matière d'environnement. Pollution de l'air : l'homme introduit, directement ou indirectement, des substances dans l'atmosphère. Air ambiant : air extérieur de la troposphère, à l'exclusion des lieux de travail. Polluant : toute substance introduite directement ou indirectement par l'homme dans l'air ambiant et susceptible d'avoir des effets nocifs sur la santé humaine et/ou l'environnement dans son ensemble. Niveau : concentration d'un polluant dans l'air ambiant ou dépôt sur les surfaces en un temps donné. Evaluation : toute méthode utilisée pour mesurer, calculer, prévoir ou estimer le niveau d'un polluant dans l'air ambiant. Les effets à différentes échelles Echelle urbaine la pollution affecte principalement la santé humaine. Echelle régionale

99en0665 Quelques exemples d'effets En agriculture intensive mal conduite : Réduction de la diversité biologique par désherbage, qu’il soit mécanique par le travail du sol ou chimique avec des produits de synthèse. Utilisation de pesticides : - non spécifiques qui polluent des écosystèmes entiers, - en trop grandes quantités, - non dégradables qui s’accumulent dans les sols (cuivre, souffre...). Utilisation d’engrais trop solubles lessivés et entraînés en profondeur jusqu’à la nappe phréatique. Consommation de carburants qui sont issus de ressources énergétiques non renouvelables. En agriculture extensive, ou biologique (pratiques « agroécologiques ») : Entretien du capital "sol vivant" par les restitutions organiques.

_l'air L'Homme inhale quotidiennement environ 15 000 litres d'air. Cet air est composé en majorité d'azote (78 %) et d'oxygène (21 %) accompagné d'un peu d'argon (0,9 %) et de dioxyde de carbone (0,035 %). Le solde est constitué de gaz rares (hélium, krypton, xénon) et d'hydrogène. Les basses couches atmosphériques contiennent également de la vapeur d'eau. Ces gaz sont émis à l'atmosphère par des sources naturelles (volcans, végétation, érosion, etc.) mais également anthropiques (transports, industries, chauffage, agriculture, etc.). Effets sur la santé Quels polluants ? Le type de manifestation et les concentrations auxquelles un effet sanitaire est perceptible dépendent de la nature du polluant. À quelle dose ? La dose de polluant reçue par l'organisme dépend de la concentration du polluant, de la durée d'exposition et de l'activité physique ; la pratique intense du sport entraîne une ventilation plus importante et par conséquent l'inhalation d'une plus grande quantité de polluants. Sur qui ?

Related: