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Un voyage en forêt

Un voyage en forêt
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Aide à la reconnaissance des insecte Outil d'aide à la reconnaissance de la classe/ordre d'un insecte A chaque fois que vous tombez sur une drôle de petite bête, répondez à la question de la fiche pour vous aider à la détermination. Cet arthropode possède combien de pattes ? Pour répondre, cliquez sur les puces ! Compte tenu du nombre invraisemblable d'espèces d'insectes (entre 6 et 10 millions d'espèces ; 80% des espèces du règne animal) dont "seules" 3 millions ont été décrites, il est toujours délicat d'identifier une espèce, même pour les entomologistes professionnels. De plus, certains taxons se ressemblent comme deux gouttes d'eau à l'oeil nu et sont pourtant des espèces différentes (accouplement infertile, alimentations différentes, aires de répartition différentes, etc.).

Milankovitch Orbital Data Viewer Global and Seasonal Distribution of Incoming Solar Radiation Compare distribution of daily mean radiation at two different times: Global/Seasonal Distribution of Differences Difference: Perturbed Orbit - Reference Time: These changes can be predicted (and hindcast) by numerical integration of the multibody equations of celestial mechanics. The daily mean top-of-the atmosphere incoming solar radiation (insolation) by latitude and season is determined from the orbital parameters using well-known formulae based on spherical trigonometry (see derivation on wikipedia). Some excellent web-based educational resources on Milankovitch forcing of climate are: How this website works (including all the code!) This website is controlled using the R package “shiny.” There are 10 components: Scroll down or click links in the list above to read all about it! Read and subset orbital data between user-specified times laskar.R: Calculate top-of-atmosphere insolation at 65N at June Solstice Qday.65N.solstice.R: ui.R:

Valeur énergétique des aliments - le site de M.MULLER Nous mangeons plusieurs fois par jours, nous avons vu que la digestion permet de transformer nos aliments en nutriments, en effet les enzymes contenues dans les sécrétions digestives agissent comme "des ciseaux moléculaires", elles découpent les grosses molécules en plus petites pour qu'elles puissent être absorbées dans le sang au niveau de l'intestin grêle. Nos aliments ont chacun une valeur énergétique, ils apportent une dose d'énergie à l'organisme, cette valeur est exprimée en Kilojoules (Kj) ou en Kilocalories (Kcal). (Sachant que 1 Calorie = 4,186 Joules) Voici les recommandations journalières sous la forme d'une "pyramide alimentaire" : De combien d'énergie avons nous besoin par jour ? Evidemment il n'existe pas qu'une réponse à cette question. En effet les besoins en énergie dépendent de l'âge de l'individu, mais aussi de son sexe (garçon ou fille), de sa taille (un grand doit manger plus qu'un petit !) Tableau des besoins énergétiques quotidiens en voici un exemple Mais attention :

Oiseaux, chauves-souris et saumons en très fort déclin en France Selon le bilan 2018 de l’Office national pour les forêts, 180 000 espèces du territoire français sont en danger, notamment en raison de l’usage des pesticides et de l’artificialisation des sols. Trois mois après la publication d’une étude choc par le CNRS et le Muséum d’histoire naturelle, le bilan 2018 de l’Office national pour la biodiversité (ONB), publié lundi 18 juin, le confirme : les populations d’oiseaux connaissent un déclin vertigineux. Ce projet participatif, piloté par l’Agence française pour la biodiversité (AFB), qui agrège les données sur le vivant récoltées par des dizaines d’organismes en métropole et en outre-mer montre notamment une baisse des espèces d’oiseaux agricoles de 30 % entre 1989 et 2017. Selon Julien Massetti, chef de projet à l’AFB, ce déclin touche aussi les oiseaux des villes, comme les moineaux parisiens, et même depuis 2005 les oiseaux « généralistes » (qui vivent dans tous types de milieux) qui, avant, contrebalançaient la disparition des autres.

Clé des arbres et arbustes de Normandie Toutes les pages sur les arbres :Ginkgo biloba | Bocage à hêtre - 50 | Bocage vendéen - 79 | Dendrochronologie et coupe transversale d'un thuya | Aubier - duramen et coupe transversale d'un chêne | Identification des arbres - Idem en animation Flash | Clé statique imprimable | Arbres et arbustes de Damigny - 61 | Le Sapin de Laigle - 61 | If | Baies d'if | les vieux arbres | Quiz Énigmes et quizz | Éducation | Botanique | Écologie | Environnement | Étymologie | Paysages | Géologie | Histoire des Sciences | Humour | Illusion et relief | Nature | Orne (département) | Zoologie et Biologie | Informatique | Autres disciplines Accueil |

Global Warming and Climate Change skepticism examined Équilibrer les apports énergétiques en fonction des besoins - Réviser une notion - SVT - 5e - Assistance scolaire personnalisée et gratuite - ASP Lors de la digestion, les aliments sont transformés en nutriments. Ces derniers sont utilisés par les organes pour produire de l'énergie.Que se passe-t-il si les apports sont supérieurs aux besoins de l'organisme ? I. La valeur énergétique des aliments • Les protides, les lipides (gras) et les glucides (sucres) sont les constituants des aliments qui sont source d'énergie ; ils sont dégradés en nutriments lors de la digestion. On exprime l'énergie en Joule (J). 1 g de protide fournit 17 kJ ; 1 g de glucide fournit 17 KJ ; 1 g de lipide fournit 38 KJ. • Les apports énergétiques sont indiqués sur les emballages alimentaires. II. • Les dépenses énergétiques d'une personne varient en fonction de son activité, de son âge et de son sexe. On peut voir dans ce tableau que plus l'activité est importante, plus la dépense énergétique l'est aussi. • Le type d'activité n'entraîne pas la même dépense énergétique. III. 1. 2. Une imc comprise entre 25 et 29,5 indique un surpoids simple. IV.

Dans la balance du vivant, les hommes ne pèsent pas bien lourd Combien pèsent tous les êtres vivants sur Terre ? C’est à cette question que trois chercheurs ont tenté de répondre le plus précisément possible dans une étude publiée en juin dans Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). Selon eux, la masse totale de la vie sur notre planète – ce que l’on appelle la biomasse – est égale à 550 milliards de tonnes de carbone (mesurer seulement la masse de carbone, l’élément le plus abondant dans la chimie de la vie sur Terre, permet d’exclure la masse d’eau, qui peut varier fortement d’un individu à l’autre). Contrairement à ce que l’on pourrait croire, l’écrasante majorité de la masse du vivant vient du règne végétal. Le graphique ci-dessous représente la répartition de la biomasse par grandes familles d’êtres vivants. Si la vie sur terre est née dans les eaux, elle a depuis très largement migré sur les terres émergées de la planète, puisque celles-ci concentrent 86 % de la masse du vivant. La dramatique signature des humains Gary Dagorn

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