Psychologie de la forme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie gestaltiste a été proposée au début du XXe siècle, notamment par Christian von Ehrenfels, et se base sur plusieurs postulats. Premièrement, les activités psychiques ont lieu dans un système complexe et ouvert, dans lequel chaque système partiel est déterminé par sa relation à ses méta-systèmes. Deuxièmement, un système est conçu dans la théorie gestaltiste comme une unité dynamique définie par les relations entre ses éléments psychologiques. Troisièmement, et cela à la suite de certains amendements théoriques sur le dynamisme mental, on postule qu'un système montre la tendance vers une harmonie entre toutes ses qualités pour permettre une perception ou conception concise et claire, la « bonne forme »[1]. Histoire de la théorie gestaltiste[modifier | modifier le code] « L'arbre pensé » sans les racines. On trouve son origine dans quelques idées de Goethe. Gestalt et perception[modifier | modifier le code] Points d'un cube imaginaire.
Holisme Holisme (du grec ancien ὅλος / hólos signifiant « entier ») est un néologisme forgé en 1926 par l'homme d'État sud-africain Jan Christiaan Smuts pour son ouvrage Holism and Evolution[1]. Selon son auteur, le holisme est « la tendance dans la nature à constituer des ensembles qui sont supérieurs à la somme de leurs parties, au travers de l'évolution créatrice[1] ». Le holisme se définit donc globalement par la pensée qui tend à expliquer un phénomène comme étant un ensemble indivisible, la simple somme de ses parties ne suffisant pas à le définir. De ce fait, la pensée holiste contraste avec une perspective purement réductionniste, en considérant l’émergence comme un mécanisme explicatif indispensable pour rendre compte de phénomènes considérés inexplicables par la simple analyse de ses parties appréhendables. Holisme est un terme nouveau introduit dans les années 1920. Le holisme de J. « Smuts a espéré que le holisme pourrait reconstituer l'unité entre Weltanschauung[6] et science »[7].
Ubuntu (philosophy) Ubuntu (/ʊˈbuːntʊ/ uu-BOON-tuu; Zulu pronunciation: [ùɓúntʼú])[1][2] is a Nguni Bantu term roughly translating to "human kindness."[dubious ] It is an idea from the Southern African region which means literally "human-ness," and is often translated as "humanity toward others," but is often used in a more philosophical sense to mean "the belief in a universal bond of sharing that connects all humanity".[3] In Southern Africa, it has come to be used as a term for a kind of humanist philosophy, ethic or ideology, also known as Ubuntuism or Hunhuism (the latter after the corresponding Shona term) propagated in the Africanization (transition to majority rule) process of these countries during the 1980s and 1990s. Since the transition to democracy in South Africa with the Nelson Mandela presidency in 1994, the term has become more widely known outside of Southern Africa, notably popularized to English language readers by Desmond Tutu (1999). Stanlake J. Jump up ^ Tutu, Desmond.
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