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Comment gérer son e-réputation

Comment gérer son e-réputation
Avec l'essor du web 2.0, chaque internaute est un client potentiel mais aussi un danger en puissance. Sur les 200 millions de messages publiés chaque année en France, 20 millions véhiculent des opinions sur des produits ou des personnes. Fragilisées, les entreprises mettent en place des dispositifs pour mieux contrôler leur image, avec l'aide de spécialistes de l'e-réputation, nouveaux gardes du corps de ces personnes morales. L'e-réputation, c'est l'autre capital des entreprises du XXIe siècle. Une image prise dans les filets de la Toile Bien sûr, les entreprises ont toujours veillé à leur image, mais en diffusant le plus souvent, leurs propres messages. Jusqu'à présent toute notion liée à la réputation ressortait du bouche à oreille et pouvait vite tomber dans l'oubli ou ne pas dépasser le coin de la rue. Les nouveaux tailleurs de l'image numérique des marques Fondé ou non, tout dénigrement porte préjudice à une entreprise. Les méthodes pour mesurer son e-réputation Sibylle Lhopiteau Related:  E-réputation

Touche pas à ma e-réputation ! Enquête. Sur Internet, le contenu circule à très grande vitesse. Le partage d'une info, d'une photo se fait en un clic. Tout se propage facilement et rien ne s'oublie, rien ne s'efface vraiment. Que faire quand son image a été touchée, ternie sur la Toile ? En 2012, de nombreux individus, pour ne pas dire la plupart, ont une existence numérique et par conséquent une net-réputation à protéger, à défendre et pourquoi pas à travailler. C'est ainsi que se construit au fil du temps l'identité numérique d'un internaute suivie de près par la fameuse réputation numérique. Quand tout se passe bien, ou quand rien ne se passe, tant mieux. Construire et surveiller sa propre réputation numérique Internet n'est pas un territoire dangereux mais, comme dans la vie, il convient de respecter quelques règles de bon sens pour s'y balader en toute quiétude. La génération Y, particulièrement active sur la Toile, est en première ligne. Sur le web, le risque zéro n'existe pas et la mauvaise réputation nous guette.

7 principes pour créer une (e-)réputation qui drague pour vous at Social media et self-improvement. J'aimerais bien voir mon compteur d'abonnés RSS décoller... tu m'aides ? La promotion d’une marque relève en grande partie de la séduction, alors pour vous donner un aperçu du postulat (joli mot) que j’avance, j’ai retranscrit cet article de FrenchtouchSeduction (un site pour les hommes et PAR les hommes sur la séduction) en le barbouillant de sauce web 2.0 et e-reputation. On y trouve 7 principes pour améliorer son image et faire en sorte qu’elle nous aide à draguer, pour nous : faire la promotion d’une marque. En ce qui concerne ma fonction de Community Manager, la marque que je promeus est celle de l’Ecole de Management Strasbourg, j’endosse alors la double casquette de ma propre réputation et celle de mon employeur. Distribuez amour, énergie et bonne humeur, faites ce qui vous rend heureux et prenez la responsabilité de votre vie sociale. Principe de base, je travaille au cœur de ma communauté, le minimum c’est d’avoir le sourire ! Rencontrez les gens partout, mecs et filles.

Oh my e-reputation ! Aujourd’hui, les enjeux de l’e-reputation sont de plus en plus connus. Principalement par les personnes qui ont compris le potentiel créé par internet et la révolution numérique. Certaines entreprises ont saisi cette nouvelle opportunité pour développer leur business. D’autres l’ont appris à leurs dépens, au travers d’une crise où leur marque, leur produit, ont pu être sérieusement ébranlés. E-reputation : les mêmes outils pour tous ? Ce guide fait le pari de s’adresser en même temps aux individus et aux entreprises : un choix périlleux de la part des auteurs, notamment car chacun ne dispose pas des mêmes moyens afin d’assurer sa notoriété en ligne. Cependant, certaines parties sont dédiées plus spécifiquement aux entreprises, comme l’intérêt de mettre en place une charte d’utilisation des réseaux sociaux à l’instar de La Poste ou de France Telecom - Orange. Comment entretenir son empreinte numérique tout en… gagnant du temps ! Prospective : les enjeux à venir autour de l’e-reputation

E-réputation : construire. Oui, mais comment ? Nous l »avons dit dans un billet récemment, et dans une publicité, qui est parue aujourd »hui dans Stratégies : une e-réputation, ça ne se nettoie pas, ça se construit. On nous objecte : oui, mais comment ? Sous l »air de dire : c »est bien beau de nous dire ce qu »il ne faut pas faire, mais si on avançait ? Avançons. Construire sa e-réputation, ça peut se faire en quelques étapes. Quelle est la synthèse de votre réputation en ligne ? Faire le bilan, c »est donc explorer d »abord la demande, adopter le point de vue de vos publics, et faire ressortir, puis analyser, ce qui est produit par le web à votre égard. Chez Spintank, on appelle cette étape Imagetank (parce qu »on aime bien les noms qui reprennent un bout de notre propre nom). Une fois qu »on a la vision de synthèse, et l »analyse stratégique qui va avec, il faut comprendre d »où elle provient. L »enjeu, c »est de se donner une intelligence de votre écosystème en ligne. C »est là que ça se complique. Rassurez-vous : ça va vite.

Zara s'engage sous la pression de Greenpeace Suite à la campagne de Greenpeace et à la publication de son rapport "Les dessous toxiques de la mode", le vendeur de vêtements Zara s'est engagé à exclure d'ici 2020 l'ensemble des substances chimiques dangereuses utilisées dans sa chaîne de fabrication. La marque prévoit de renforcer l'interdiction des éthoxylates de nonylphénol, et d'éliminer à court terme les perfluorochlorures (PFC) et les colorants azoïques susceptibles de se dégrader en substances cancérigènes. Le groupe demande aussi plus de transparence à ses fournisseurs d'ici mars 2013 sur les substances rejetées dans l'environnement. Selon Greenpeace Zara est la huitième marque à s'engager de cette manière.

Cachez cette vie privée que l'Internet ne saurait tolérer Au mois de juillet, lors d’une conférence au MIT Media Lab, Reid Hoffman, co-fondateur de LinkedIn, portait un étrange appareil au poignet. Sur ce QSensor, développé par une startup de Boston, Neumitra, était signalé le degré de stress de Hoffman durant son discours par des clignotements. Derrière lui, le fil d'actualité du hashtag des tweets marqués #MediaLabTalk s’affichait sur deux écrans géants. Comme le notait un tweet: «On voit le stress de Hoffman grimper quand il tente de se souvenir en détail d’un article qu’il vient de lire.» Le stress de Hoffman grimpait également à chaque fois que son accessoire high-tech était mentionné, tout comme lorsque le directeur du Media Lab, Joi Ito, déclara que son labo avait l’intention d’améliorer la qualité des prochaines conférences en reliant les orateurs à des détecteurs de mensonges. publicité Tout ceci concordait à merveille avec l’objet même de son exposé: l’information devient plus sûre si elle est davantage scrutée. Kevin Gold

dévoile les dessous toxiques de la mode – Greenpeace publie aujourd’hui un rapport intitulé “les dessous toxiques de la mode” ( télécharger le résumé en français ou le rapport intégral en anglais ) montrant comment une vingtaine de marques de prêt-à-porter commercialisent des vêtements contenant des substances chimiques dangereuses qui, lorsqu’elles sont rejetées dans l’environnement, se dégradent en composés toxiques, susceptibles d’agir comme perturbateurs endocriniens, déréglant le fonctionnement hormonal et impactant notamment les fonctions reproductives. Certains de ces composés sont par ailleurs cancérogènes. Greenpeace demande à ces marques d’exclure l’ensemble des produits chimiques dangereux susceptibles d’entrer dans leurs chaînes de production d’ici à 2020 et de prendre des mesures plus rapides pour ceux qui peuvent être remplacés par des produits moins dangereux. Pour élaborer ce rapport, Greenpeace a acheté et testé plus de 140 produits textiles dans 27 pays.

Infographie : les enjeux du personnal branding Découvrez quel impact peuvent avoir vos publications online sur votre vie professionnelle. Ce que vous dites et ce qui est dit sur vous en ligne a une importance grandissante pour les recruteurs. Les auteurs de cette infographie utilisent le terme de « personal e-réputation » pour parler du personal branding. Cependant, on y ajoute les messages qui parlent de vous, publiés par d’autres internautes. Les chiffres clés de cette infographie : 48% des recruteurs regardent les sites personnels au moment d’engager une personne78% d’entre eux cherche votre nom sur googleLes médias sociaux sont surveillés par 64% des recruteurs8% des entreprises ont licencié quelqu’un pour avoir passé trop de temps sur les réseaux sociaux Au bas de l’image on trouve également des conseils pour gérer son image sur internet. N’attendez pas de découvrir votre e-réputation, faites votre personal branding !

Le bad buzz du moment: l’opération DETOX de GREENPEACE contre ZARA | Formation e-Reputation La campagne DETOX de Greenpeace a pour objectif de révéler au public la pollution des cours d’eau causée par les ateliers de grandes marques de vêtements et forcer ainsi les industriels à cesser d’utiliser des substances chimiques nocives pour l’Homme et l"environnement. Le 21 novembre, Greenpeace à mené une opération contre Zara à Genève immédiatement relayée sur Twitter. Lire l’article ‘Zara dans le collimateur de Greenpeace‘ publié le 22 novembre sur Locita Voir le site DETOX ZARA de Greenpeace Like this: J'aime chargement…

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