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Médecine traditionnelle chinoise

Médecine traditionnelle chinoise
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. C'est une médecine dont l'élaboration est généralement datée de 3000 ans avant J-C. La médecine chinoise traditionnelle pose de sérieux problèmes pour la biodiversité. Histoire[modifier | modifier le code] Les ouvrages de médecine chinoise[modifier | modifier le code] Des systèmes de décompte du temps précis sont apparus très tôt en Chine, visibles sur les écrits oraculaires de la dynastie Shang, premiers exemples d’écriture chinoise. La médecine antique[modifier | modifier le code] Shennong Huang Di Elle est essentiellement marquée par trois figures légendaires, trois empereurs mythiques : Fuxi : on lui attribue la rédaction du Yi Jing (Livre des Mutations), généralement considéré comme le plus ancien livre chinoisShennong : père de l’agriculture et de la phytothérapie.

Huangdi Nei Jing Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Huangdi Nei Jing (黄帝内经) ou Classique interne de l'empereur Jaune est le plus ancien ouvrage de médecine chinoise traditionnelle. Il se divise en deux parties : le Su Wen et le Ling Shu. Forme et origine mythique[modifier | modifier le code] La rédaction de l'ouvrage est attribuée au mythique empereur Jaune (Huangdi, XXVIIIe siècle av. « Moi qui suis le chef d'un grand peuple... — Nei Jing Su Wen, traduction Jacques-André Lavier, Pardès 1990, (ISBN 2-86714-071-4) Datation[modifier | modifier le code] L'existence de cet empereur est mythique et on considère que l'ouvrage aurait pu être compilé durant la période couvrant les Royaumes combattants (-500 à -220) et la dynastie Han (-206 à +220). Structure[modifier | modifier le code] Le Huangdi Nei Jing, comportait à l'origine dix-neuf chapitres et se subdivisait en deux parties : le Su Wen[2] et le Traité d'acupuncture. Les textes qui nous sont parvenus[modifier | modifier le code]

Mythologie chinoise Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article traite des origines de la mythologie chinoise ; pour les éléments ultérieurs, voir : Catégorie:Mythologie chinoise Nuwa et Fuxi La mythologie chinoise est connue grâce à des textes datant essentiellement de la dynastie Han. On peut cependant avoir une idée assez précise de ce qu’était la mythologie chinoise « originelle » en la comparant avec celles des autres peuples de l’Extrême-Orient. Mythes exclusivement chinois[modifier | modifier le code] Xie était l’ancêtre des Shang et sa mère s’appelait Jiandi. Il importe de signaler qu'aucun de ces mythes ne possède le moindre équivalent dans la mythologie indo-européenne. Mythes partagés avec le monde indo-européen[modifier | modifier le code] La création du monde[modifier | modifier le code] Le ciel[modifier | modifier le code] Les Trois Augustes[modifier | modifier le code] Au début de leur histoire, les Chinois placent les Trois Augustes (voir Sanhuangwudi) : Fuxi, Nüwa et Shennong.

Bouddhisme mahāyāna Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le bouddhisme mahāyāna est un terme sanskrit ( महायान ) signifiant « grand véhicule » (chinois : 大乘, dàchéng ; japonais : 大乗, daijō ; vietnamien : Đại Thừa ; coréen : 대승, dae-seung). Le bouddhisme mahāyāna apparaît vers le début de notre ère dans le Nord de l’Inde et dans l'Empire kouchan, d’où il se répand rapidement au Tarim et en Chine, avant de se diffuser dans le reste de l’Extrême-Orient. Le Vajrayāna, sa forme tantrique, apparaît en Inde avant le IVe siècle, pénètre au Tibet entre le VIIe siècle et le VIIIe siècle, puis en Mongolie, et, via la Chine où il laisse peu d'influences, en Corée et au Japon à partir du VIIIe siècle. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Voici les enseignements qui distinguent le mahāyāna : Rapport au Hīnayāna[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Diffusion[modifier | modifier le code] voir aussi : Histoire du bouddhisme et Bouddhisme dans le monde

Yuezhi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mode de vie[modifier | modifier le code] Ce peuple vivait dans l'ouest de l'actuelle province chinoise du Gansu, où se trouve Dunhuang, ville dont le nom est probablement d'origine yuezhi. De mode de vie nomade, ils déplaçaient leurs troupeaux en été vers les pâturages des monts Qilian, qui bordent le Gansu au sud. Origines[modifier | modifier le code] La première référence connue aux Yuezhi est offerte dans le Guanzi (Essais du Guanzu, 73, 78, 80, 81). Migration des Petits et Grands Yuezhi entre le IIe siècle av. Les Petits Yuezhi principalement dans la région de Huangzhong, quatre-vingts kilomètres à l'est du lac Bleu (Qinghai en mandarin, Köke Nor en mongol). Les migrateurs vers l'occident, les Grands Yuezhi, durent se déplacer à la suite de leur défaite contre les Xiongnu, qui leur arracha une trentaine de royaumes, de grande et de petite taille. Culture[modifier | modifier le code] Les coutumes des Yuezhi sont presque inconnues.

Tokhariens Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. "Tokhariens" Les Tokhariens (ou Arśi-Kuči) étaient un peuple indo-européen d'Asie centrale, ayant habité le bassin du Tarim, actuelle province du Xinjiang (Turkestan oriental), qui a disparu il y a environ un millénaire. Leur civilisation a été redécouverte par les Occidentaux il y a près d'un siècle, mais elle reste relativement méconnue. D'anciens écrits chinois témoignent des Tokhariens. Les expéditions en question, menées par l'Anglais Aurel Stein, les Allemands Albert Grünwedel et Albert von Le Coq, le Français Paul Pelliot, ainsi que par des Russes et des Japonais, ont également permis la découverte de ruines et de grottes qui ont livré un grand nombre d'informations sur les Tokhariens de l'époque bouddhique (Ier millénaire ap. Le territoire des Tokhariens[modifier | modifier le code] Les Tokhariens vivaient dans l'actuelle province chinoise du Xinjiang, plus précisément dans la partie méridionale de cette province, le bassin du Tarim.

Influences tokhariennes sur la mythologie chinoise De nombreux indices d'une influence indo-européenne sur la civilisation chinoise sont à présents connus. Les études les plus probantes sont linguistiques : elles montrent que les Chinois ont emprunté du vocabulaire aux peuples indo-européens. Parmi ceux-ci, les principaux « suspects » sont les Iraniens et les Tokhariens, car ils ont vécu en Asie centrale, à proximité de la Chine. Les Tokhariens ont disparu aux alentours de l'an 1000 ; ils parlaient deux langues étroitement apparentées, le koutchéen ou « tokharien B » et l'agnéen ou « tokharien A ». Des ressemblances entre les mythes ont également été remarquées, mais sur ce point, les recherches sont encore peu avancées. L'objet de cet article est de montrer qu'une part de la mythologie chinoise a une origine tokharienne. Ainsi que nous l'avons dit, les langues tokhariennes avaient des affinités particulières avec le grec. 1. Les Annales sur bambou nous donnent des renseignements plus détaillés sur ce conflit. Notes

EXPOSITION ‘LE PREMIER EMPEREUR’ AU BRITISH MUSEUM - Les critiques et avis des lecteurs Il était une fois en Qin. Histoire de dépasser le mythe, jusqu’au 6 avril 2008, soit plus de 2.200 ans après sa mort, l’esprit de Ying Zheng (259 av. J.-C., 210 av. C’est l’opium de la mémoire, rien ne vaut une superproduction cinématographique pour sauver une figure légendaire de l’oubli. Depuis la découverte des palais souterrains du premier empereur il y a une trentaine d’années, on en sait un peu plus sur les conditions de vie et de mort de Ying Zheng, également appelé “Qin Shihuangdi” (en son titre de “premier empereur des Qin”). Des fouilles royales Tumulus © Chang Kwang-chih Crise pétrolière oblige, si en 1974 il n’était pas rare de forer le sol en espérant y trouver de l’or noir, le paysan qui exhuma l’un des sites archéologiques les plus importants du XXe siècle cherchait juste de l’eau. Rangées de soldats © The Trustees of the British Museum En deux millénaires, seule une poignée de profanateurs prêts à risquer le courroux des Qin osèrent visiter le lieu sacré. Qin Story

Xi'an - ESCAPADE À XI'AN. - XI'AN, OU… - HUAQING, LE PALAIS… - LES SOLDATS DE… - L'ARMÉE EN TERRE… - LES AUTRES FOSSES… - XIAN : BALADE EN… - SITE NÉOLITHIQUE DE… - QUARTIER MUSULMAN :… - LA GRANDE PAGODE DE… - MES AVENTURES CHINOISES. LIVRE II . Mardi 4 mars 2 04 /03 /Mars 12:14 Situé dans la région du Shaanxi, un peu au Sud Ouest, à 2H40 de vol soit environ 2200 Km de Shanghai, Xi'an est une ville qui aujourd'hui est en plein extension. Petite ville Chinoise de 7 Millions d'habitants quand même ( Hihihihihihihi ! ). Pour bien comprendre il faut remonter jusqu'en - 259 dynastie des Qin. En l'an - 247 le jeune prince Ying Zheng alors agé de 13 ans monte sur le trône suite au décès de son père. Mineur, il obtiendra les pleins pouvoirs en - 238 lors des ses 22 ans. Après avoir consolidé son pouvoir en poussant deux de ses minitres au suicide, il part en croisade pour annexer les six autres royaumes constituants la Chine. Un par un les royaumes cèdent : Les hans, les Zhao, les Wei,les Chu, les Yan puis les Qi sont anéantis. Du haut des ses 39 ans, notre empereur se voit à la tête de son royaume unifié des Qin. Se pensant au dessus de toute puissance, il se donne le nom ultime de Qin Shihuangdi.

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