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Et si tout s'effondrait ? Pablo Servigne & Vincent Wattelet

Et si tout s'effondrait ? Pablo Servigne & Vincent Wattelet

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L'espoir, ce nouvel obscurantisme ? Comment l’espoir nous a condamnés. Pourra-t-il aussi nous sauver ? “L’espoir c’est un leurre. Quand on n’arrive pas à réparer ce qui est cassé, on devient fou.”Mad Max : Fury Road – 2015 Être acteurs dans la transition agricole et alimentaire Nature et Progrès organise un cycle de tables rondes participatives en 2018-2019 8 rencontres thématiques pour œuvrer ensemble à la préservation des terres agricoles, à l’accès à l’alimentation locale et bio et au maintien de la biodiversité. Chaque thème sera décliné en 3 temps• Voir : identifier le problème, mesurer son ampleur, imaginer une utopie.• Comprendre : apporter des éléments de connaissance aux sujets traités, analyser les mécanismes à l’œuvre.• Agir : identifier les moyens d’action ; disposer de moyens d’implication concrets en s’appuyant sur des personnes/structures ressources.

La Relève et La Peste Contraindre les activités industrielles et étatiques au respect du vivant et de la Terre, c’est le combat des juristes militant pour la reconnaissance de l’écocide, comme la française Valérie Cabanes. En 2006, avant même de connaître le terme d’écocide, Valérie Cabanes, juriste en droit international, était déjà impliquée dans le combat de la population autochtone Innu, de la côte nord du Québec, contre la construction de trois grands barrages sur la Romaine, l’une des dernières rivières sauvages. En 2011, elle a accompagné, dans sa tournée européenne, le Cacique Raoni Metuktire qui demandait l’arrêt du complexe de barrages de Belo Monte en Amazonie. Dans cet objectif, elle a rédigé des rapports adressés à l’ONU et au Parlement européen pour dénoncer ce qui était en train de se passer. « J’ai constaté un réel écueil dans le droit international. La notion d’écocide avait été évoquée dès 1972 lors de la conférence des Nations Unies sur l’environnement humain.

Présages #4 : Gaël Giraud — présages "Les travaux qu'on a mené suggèrent que le scénario business as usual nous conduit vers des catastrophes d'ampleur planétaire." "Ces catastrophes ont déjà eu lieu. Un exemple relativement méconnu du grand public, c'est ce qui s'est passé en 1890. On sait ça aujourd'hui grâce au travail d'un historien américain, Mike Davis, dont le livre a été traduit en français, qui s'appelle Génocides tropicaux. (...) Ce que montre Mike Davis c'est que, en 1890 il y a eu un effet El Nino massif, qui a affecté à la fois le Brésil, l'Afrique, l'Inde et la Chine, et dont les conséquences, des inondations, des sécheresses etc ont été complètement négligées par les administrations coloniales de l'époque, qui ont traité ça par dessus la jambe.

Appel pour une Constitution écologique : « On assiste à un élan » Dans le sillon d’un appel lancé en avril dernier, des représentants du monde associatif, politique et de l’entreprise se sont réunis ce lundi 15 octobre aux Grands Voisins, à Paris, pour évoquer l’adoption d’une « Constitution Écologique Française ». Les raisons sont multiples, et « l’urgence » de la situation sur toutes les lèvres. On a fait le point avec plusieurs auteurs de l'appel.

Face au réchauffement climatique, décroissance ou croissance verte? L’heure du changement a sonné. Ils étaient encore 70.000 à le scander dans les rues de Bruxelles ce dimanche lors d’un grand rassemblement pour le climat. Changer oui, mais comment ? Et quel modèle économique pour soutenir ce changement ? Le spleen de ceux qui vous donnent (encore et toujours plus) de mauvaises nouvelles sur le climat Tous les voyants de l’état du climat sont au rouge vif. Il ne se passe pas une journée sans qu’un chercheur, un scientifique, un climatologue n’écrive un article alarmiste sur la dégradation du climat. Les journalistes n’en reprennent qu’une infime partie tant la masse d’informations sur le sujet est abondante.

Manifeste étudiant pour un réveil écologique : pourquoi signer Il y a de cela quelques mois, des étudiants d’HEC, d’AgroParisTech, de CentraleSupélec, de Polytechnique et de l’ENS Ulm se sont unis pour rédiger un Manifeste étudiant pour un réveil écologique, qui se répand actuellement au sein des écoles comme une traînée de pesticides (pour rester dans le thème). Publié mi-septembre, le texte compte déjà plus de 12 000 signataires, issus d’établissements de toutes les régions et de toutes les filières – du Celsa à l’ENSAI en passant par Skema, les Mines Saint Etienne, Sciences Po Bordeaux, diverses universités… Et leur nombre ne cesse de croître. Mais de quoi s’agit-il exactement, et quel est son intérêt ? Le constat d’une situation d’urgence Remontons à la source du problème

Croissance verte ou décroissance ? - Oetopia Chacun s’accorde à reconnaître que la destruction des systèmes vivants a des conséquences sociales désastreuses, que nous constatons dés aujourd’hui. Les grandes conférences internationales, auxquelles participent aussi le monde économique, ne cessent de proclamer l’état d’urgence et cherchent des solutions pour la destination universelle des biens de la terre. Aujourd’hui, si tout le monde est en général acquis à la nécessité d’agir, seules deux grandes idées sont professées : la décroissance ou l’économie verte. Aucune des deux n’aborde cependant la réalité, car elles ne cherchent pas à changer le modèle, mais simplement à en atténuer ses effets, comme s’il suffisait de quelques réglages pour résoudre un problème de cette dimension.

Ménage écolo : faites votre lessive (à zéro euro) avec du lierre 25 recettes de produits ménagers à base de produits écologiques et à faire soi-même. (Crédit : Adeline Grolleau) Dans la même rubrique Comment la non-violence protège l’État : Essai sur l’inefficacité des mouvements sociaux (Peter Gelderloos) – Editions LIBRE Je le commande (livraison en 48h) Parlons franchement, au vu de la situation, la grande majorité des mouvements sociaux et écologistes échouent lamentablement, depuis des décennies, ne serait-ce qu'à freiner la catastrophe sociale et écologique en cours (de la sixième extinction de masse aux inégalités économiques phénoménales et croissantes qui caractérisent notre temps). La plupart de ces mouvements se targuent de respecter scrupuleusement les principes de la non-violence, qu’ils considèrent comme la seule méthode de lutte acceptable. Et pourtant, ainsi que Peter Gelderloos l’expose brillamment dans ce livre, cette adhérence dogmatique au concept de la non-violence est injustifiée et injustifiable. En outre, il s’agit d’une des principales raisons pour lesquelles ils sont inefficaces. – En stock –

Les enseignant.e.s pour la planète Que faire le 15 mars ? Réponses à quelques questions fréquentes… CAS N°1 : je veux être gréviste Tout le monde peut-il faire grève ? Tous les personnels de l’Education Nationale ( y compris stagiaires et contractuel.le.s) ont le droit de faire grève. Il est interdit de sanctionner quelqu’un pour fait de grève. #13 - Arthur Keller : déconstruire nos faux espoirs pour en construire de nouveaux - Sismique Sujets abordés dans l’épisode Climat, écologie, effondrement, croissance, politique, nouveaux récits. Pour s’y retrouver… 2 » – L’état du monde

Qu’est-ce que l’équation de Kaya ? Emissions de gaz à effet de serre, économie, intensité énergétique, population… Il y aurait un lien entre ces diverses grandeurs, que chacun – physiciens, économistes ou politiques, ingénieurs, démographes – aime à utiliser dans son coin ? Une équation, géniale parce que si simple (et, comme on va le voir, si terrible !), et que la rumeur attribue à un professeur japonais dénommé Kaya (ce qui est sûr, c’est que le Professeur Kaya en question est un chercheur connu pour les questions de politique énergétique), permet de relier entre elles ces notions, même si pour la majorité de mes concitoyens « on ne voit pas le rapport avec la choucroute ». Cette équation part du principe, très simple – et dont des générations de collégiens se souviennent sûrement ! – que l’on peut toujours multiplier ou diviser par un même nombre chaque coté d’une égalité. Notre égalité de départ est on ne peut plus évidente.

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