background preloader

Cinq modèles alternatifs à PNB

Cinq modèles alternatifs à PNB

Pratiques d’emprunt de livres numériques en bibliothèques : la plateforme grenobloise Bibook - épisode 1 Une étude quantitative sur le « lectorat numérique » en bibliothèque ? Après 6 mois d’activité, il a paru pertinent et nécessaire à la Bibliothèque municipale de Grenoble (BMG) de chercher à caractériser les degrés d’appropriation de sa plateforme de prêt de livres numériques, Bibook, et de tester la pertinence envisagée du dispositif dans ses différentes composantes. C’est dans ce cadre précis que la bibliothèque municipale de Grenoble (réseau de 13 bibliothèques réparties sur la ville, ainsi que 8 autres bibliothèques d'institutions culturelles locales) et l’enssib ont envisagé une étude visant à qualifier le lectorat numérique dans son écosystème d'usages à travers une analyse statistique des données de Bibook. La demande formulée par la Bibliothèque municipale de Grenoble portait alors sur l’exploitation des fichiers d’emprunt de Bibook. Pour autant, nous pouvons supposer, sans pouvoir le vérifier, que les ebooks empruntés sont peu ou prou effectivement lus. « Usage » ? Notes [2] S.

fenetresur | Mutualisation, tutoriels, veille pour prof-docs Réfléchissons à deux fois avant de nous lancer dans une offre de livres numériques – Biblio Numericus Les projecteurs sont de nouveaux sur les livres numériques. On apprend qu’une nouvelle liseuse fabriquée par Booken est commercialisée chez Carrefour. Plusieurs articles sont sortis ces derniers jours pour faire un état de l’art du marché du livre numérique. En lisant l’article du Monde, je me suis aperçu que les bibliothécaires n’avaient peut-être pas assez de recul sur cette question du livre numérique. Pratiques d’emprunt de livres numériques en bibliothèques : la plateforme grenobloise Bibook - épisode 2 Un « lectorat numérique » qui se calque sur le public des bibliothèques ?Oui, mais pas seulement... Nous restituons ici la partie des résultats de l'enquête qui porte sur les usagers et les usages de la plateforme Bibook évoquée dans l'épisode 1. A partir des résultats les plus représentatifs, on peut identifier quatre spécificités majeures propres au lectorat numérique et au profil type de l'emprunteur. Des profils sociaux propres aux pratiques de lecture Du point de vue des « bibookis » (les inscrits à la plateforme Bibook), si on s’attarde sur l’appartenance sociale, nous retrouvons ici les logiques qui président aux pratiques culturelles, et spécifiquement à la lecture, puisque 34% de la population des « bibookis » est composée de professions libérales/cadres supérieurs et 22% de « professions intermédiaires »1. Figure 1 : distribution des « bibookis » par PCS d'appartenance Source : enssibLab Figure 2 : une pratique d’emprunt socialement non aléatoire Source : enssibLab Notes [2] J-F.

PNB : retour d’expérience de la BDP des Côtes-d’Armor – Les Médiathèques – Rennes Métropole Article publié le 31/08 sur le carnet des DLIS (Digital Libraries & Information Sciences). Hélène Bert est chargée des ressources numériques à la Bibliothèque départementale des Côtes-d’Armor (BCA) depuis novembre 2014, après un parcours marqué par la diversité d’expériences professionnelles en lecture publique : Montbéliard, La Flèche, Vitré, Ploufragan, Saint-Brieuc, Guingamp et en bibliothèque universitaire : IUFM de Bretagne. Diplômée de l’université Paul-Valéry Montpellier III, Licence professionnelle « Dispositifs de gestion et de diffusion de l’information numérique », promotion 2015-2016). Regarder des films en streaming, lire des magazines, écouter de la musique, télécharger des livres depuis chez soi… tout ceci est désormais proposé à l’échelle du département des Côtes-d’Armor depuis septembre 2015, sous réserve d’être inscrit dans une bibliothèque. C’est la bibliothèque départementale qui pilote le service, expérimentant un nouveau mode d’intervention sur le territoire.

Pratiques d’emprunt de livres numériques en bibliothèques : la plateforme grenobloise Bibook - épisode 3 Écologie de l'emprunt de livres numériques Gros, moyens ou petits emprunteurs… Des écarts très marqués L’analyse quantitative des pratiques d’emprunt permet de dégager 3 grands types d’emprunteurs-lecteurs ou bibookis. La figure 1 ci-dessous offre un point de repère historique. Figure 1 : une typologie des emprunteurs Ceux que l’on a placés dans la catégorie des « gros emprunteurs-lecteurs » empruntent 20 ebooks et plus sur la période considérée. Quoiqu’il en soit, ces gros lecteurs sont peu nombreux : 3 hommes (47, 61 et 71 ans) et 2 femmes (41 et 70 ans) et ne représentent que 1,3% des bibookis et 7,5% des emprunts. Figure 2 : répartition des bibookis selon le nombre de livres empruntés Source : enssibLab Les emprunteurs-lecteurs « moyens » (de 10 à 19 livres) sont aussi relativement peu nombreux par rapport au total (34 personnes) : ils représentent 8,7% des bibookis et 27,5% des emprunts. Figure 3 : une augmentation progressive du nombre de petits lecteurs Notes [3] M.

[Communiqué] Réseau Carel se réjouit de la reconnaissance d’un droit de prêt numérique, souhaite qu’il soit rendu clairement applicable et que la diversité des modèles soit prise en compte | Réseau Carel Suite à la décision de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), à l’instar d’Eblida et de l’Association des bibliothécaires de France (ABF), Réseau Carel se réjouit de la reconnaissance par une haute instance juridique d’un droit de prêt numérique garantissant sur le principe un droit pour les bibliothèques d’acquérir et prêter tous les titres numériques disponibles. Cet arrêt reconnaît aussi aux auteurs le droit de recevoir une juste rétribution dans le processus, ce que Réseau Carel salue également. Cela rejoint le combat que Réseau Carel a soutenu, avec l’IABD (signataire du London manifesto) et avec Eblida (promoteur de la campagne « The right to e-read »), deux associations dont Réseau Carel est membre. Dans cet arrêt, seul est toutefois visé le modèle « one copy – one user » (ce qui revient à dire sans simultanéité de prêts d’un même exemplaire, comme pour le livre papier donc). Mais la décision de la CJUE est-elle concrètement applicable en France ?

PNB : près de 900 éditeurs, 2000 bibliothèques et 130.000 ebooks L’année nouvelle invite à faire le bilan de celle passée, et pour le Syndicat national de l’édition, c’est le service de Prêt Numérique en Bibliothèque qui inaugure 2017. Quelques chiffres sont fournis par le SNE, permettant un panorama du service de prêts de livres numériques, en France, Belgique et Suisse. Jason Scragz, CC BY 2.0 Petit rappel essentiel : PNB est « coordonné par Dilicom, sous l’égide du ministère de la Culture, et soutenu par le SNE ». Cependant, il ne s’agit pas de l’unique outil existant pour le prêt d’ebooks en bibliothèques. À ce jour, on apprendra que 890 éditeurs et marques éditoriales s’y sont investis, avec un catalogue supérieur à 130.000 titres. Un catalogue qui évolue... patiemment Ce catalogue est actuellement en expansion, et le Syndicat renouvelle les invites à ses membres, fortement encouragés à y prendre part. Et de rappeler les fameuses Recommandations pour une diffusion du livre numérique par les bibliothèques publiques.

Le droit de prêt numérique : une exception nouvelle ? Le droit de prêt numérique : une exception nouvelle ? La presse s’est fait l’écho d’une récente déclaration de la ministre de la Culture sur le droit de prêt numérique. Madame Nyssen adopte une position proche de celle de la SDGL et du SNE : il ne serait pas opportun de créer de nouvelle exception en faveur du prêt numérique. En effet, selon la ministre de la Culture, la question du droit de prêt numérique est une exigence venue d’ailleurs, sous-tendue par une volonté d’obtenir un droit nouveau. « Il n’en est pas question », dit-elle. On peut craindre que non. L’évolution est technologique, elle n’est en rien intellectuelle. C’est ce qui ressort de l’arrêt récent de la Cour de justice de l'Union européenne qui assimile le livre numérique au livre papier et demande l’application du droit de prêt déjà existant, et qui existe en droit français. La loi encadre ce droit.

Commentaire de l’évaluation de PNB réalisée par le Ministère de la Culture et de la Communication (MCC) L’évaluation faite par le MCC de PNB est une étude indispensable permettant aux acteurs du dispositif d’avoir une vue globale d’un système qui progresse sans avoir encore atteint son régime de croisière. Ce travail a été rendu possible par un accord sur les données que tous les acteurs acceptaient de mettre à disposition et par une définition commune de critères significatifs. Après deux à trois ans de fonctionnement de PNB et l’expérience qui en résulte, il importe pour Réseau Carel de faire évoluer certains critères – notamment celui du prix – qui en l’état ne lui paraissent pas aider à la compréhension du système. Un livre papier est un objet dont les caractéristiques et l’usage sont dictés par ses caractéristiques physiques et des règles de prêt déterminées par les bibliothèques. Chaque éditeur choisit librement ces règles qui définissent les droits qu’il cède pour une période donnée, et les différences entre les éditeurs peuvent être considérables.

Dilicom - PNB/documentation/doku.php?id=start Présentation PNB (Prêt Numérique en Bibliothèque) est un ensemble de services destinés à faciliter les interconnexions entre les revendeurs, les collectivités et les distributeurs dans le cadre du prêt de ressources numériques. PNB met à disposition des utilisateurs : une API (Application Programming Interface) composée de web services en SOAP et en REST ; des services utilisant le protocole FTP pour la remise de certaines informations. Les principaux acteurs du système sont : les distributeurs : disposent d'un cadre normalisé de description des offres de livres numériques des éditeurs aux collectivités, assurent la distribution de livres numériques en gérant les modalités d'accès définis par les éditeurs. L’ensemble des flux échangés entre les acteurs PNB sont les suivants : Les distributeurs transmettent à PNB les métadonnées relatives aux offres définies par les éditeurs. Les différentes plateformes gérées par PNB Dilicom met à disposition des clients les deux plateformes suivantes:

Dilicom - PNB/documentation/doku.php?id=pnb_gestion_offre:start Généralités Les offres de livres numériques destinées aux collectivités sont définies par les éditeurs qui disposent de plusieurs critères pouvant se combiner ensemble : les modalités d'accès : téléchargement de fichier et/ou lecture en ligne le type de protection des fichiers en cas de téléchargement les droits d'usage déclinés selon les modalités suivantes : prêt et/ou consultation localisation : in situ et/ou ex situ durée de l'offre (DMD) nombre d'utilisateurs simultanés (NUS) nombre de prêts (NE) durée de prêt maximale autorisée les droits d'utilisation par le lecteur final Les offres de livres numériques sont identifiées par un EAN13 distinct de l'offre “grand public”. Les normes de référence utilisés par PNB Les métadonnées permettant de décrire les offres sont fournies au format Onix 3.00. Le site de la CLIL présente la classification des codes thème CLIL essentiels pour le référencement. Structuration dans ONIX Discriminant PNB Exemple: <PublishingDetail> ... Les types d'usages

Related: