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Kaizen

Kaizen
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Kaizen in japanese writing Le mot kaizen (改善, kaizen?) est la fusion des deux mots japonais kai et zen qui signifient respectivement « changement » et « bon ». La traduction française courante est « amélioration continue ». C'est le nom d'une méthode de gestion de la qualité. Le kaizen est un processus d'améliorations concrètes, simples et peu onéreuses. Le terme est actuellement très connu dans le monde du commerce. Démarche[2][modifier | modifier le code] Cette démarche japonaise repose sur des petites améliorations faites au quotidien, constamment. C'est une démarche graduelle et douce, qui s'oppose au concept plus occidental de réforme brutale du type « on jette le tout et on recommence à neuf » ou de l'innovation, qui est souvent le résultat d'un processus de réingénierie. En revanche, le kaizen tend à inciter chaque travailleur à réfléchir sur son lieu de travail et à proposer des améliorations. Philosophie[4][modifier | modifier le code]

Lean management Modèle du système « Lean production ». L'école de gestion lean trouve ses sources au Japon dans le système de production de Toyota ou SPT (en anglais Toyota Production System ou TPS)[5]. Les mudas sont au nombre de sept[6] : surproduction, attentes, transport, étapes inutiles, stocks, mouvements inutiles, corrections/retouches. Formalisée aux États-Unis dans les années 1990, adaptable à tous les secteurs économiques, le lean est actuellement implanté principalement dans l'industrie et surtout l'industrie automobile. Historique[modifier | modifier le code] Au MIT, les recherches de Krafcik sont poursuivies dans le cadre de l'International Motor Vehicle Program (en) (IMVP), programme qui débouche sur la publication, en 1990, du livre The machine That Changed the World, co-écrit par Jim Womack (en), Daniel Jones et Daniel Ross et dont le succès est planétaire[8]. L'école du lean se formalise aux États-Unis dans les années 1990, popularisée par le livre Lean Thinking [9] (1996) de James P. J.

How to Work the Phone: 6 Tricks The telephone has been in existence for 136 years, but the way some people use it, you'd think it was invented yesterday. With business travel at an all-time low, there is simply no skill more important to business success (especially in sales) than the ability to build rapport during a telephone conversation. When you can't shake hands or look somebody in the eye, your voice (and your voice alone) must be able to communicate "I am capable and trustworthy." Unfortunately, many people in business have no idea that they sound like idiots, hustlers or robots when they're talking on the phone. They talk too fast, they mumble, they blather, they make remarks that would only make sense with an accompanying hand gesture. It's crazy. Here's a quick primer how to do this: 1. Record some conversations (with the other person's agreement, natch) and see if you're doing something annoying–saying "uh ..." in the middle of every sentence, for instance, or slapping a "you know ..." at the end. 2. 3. 4. 5.

5S Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La méthode des 5 « S » (en anglais the 5 S's) est une technique de management japonaise visant à l'amélioration continue des tâches effectuées dans les entreprises. Élaborée dans le cadre du système de production de Toyota (en anglais Toyota Production System ou TPS), elle tire son appellation de la première lettre de chacune de cinq opérations constituant autant de mots d'ordre ou principes simples : Seiri (整理, ranger?) Nota : Cette démarche est parfois traduite en français par le mot ORDRE qui signifie : OrdonnerRangerDépoussiérer, Découvrir des anomaliesRendre évidentÊtre rigoureux §Buts[modifier | modifier le code] L'application des 5S sert plusieurs buts. Alléger l'espace de travail de ce qui y est inutile ;Organiser l'espace de travail de façon efficace ;Améliorer l'état de propreté des lieux ;Prévenir l'apparition de la saleté et du désordre ;Encourager les efforts allant dans ce sens : auto-disciplinaire. Les règles de Seiton:

Home » OpenStack Open Source Cloud Computing Software Six Sigma Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La méthode Six Sigma se base sur une démarche fondée à la fois sur la voix du client (enquêtes, etc.) et sur des données mesurables (par indicateurs) et fiables. Cette méthode est utilisée dans des démarches de réduction de la variabilité dans les processus de production (ou autre) et au niveau des produits et vise ainsi à améliorer la qualité globale du produit et des services. Le symbole de six sigma. Histoire[modifier | modifier le code] L’histoire de Six Sigma débute en 1986 chez Motorola, mais la méthode devient célèbre dans les années 1990 lorsque General Electric décide de l’appliquer et de l’améliorer. Origine de l'appellation[modifier | modifier le code] En statistiques, la lettre grecque sigma σ désigne l'écart type ; « Six Sigma » signifie donc « six fois l'écart type ». Concept[modifier | modifier le code] Exemple[modifier | modifier le code] Prenons le cas d'une pièce mécanique dont la longueur nominale est L. Principe DMAIC

La programmation iPhone / Tutoriel n°1 : Pour commencer ... En guise d'introduction de notre série de tutoriels, j'ai la lourde tâche de te donner l'envie et les outils qui feront de toi un développeur iPhone de génie, un Mac Addict. Et qu'on se le dise tout de suite, quiconque entre dans l'univers Mac, de prêt ou de loin, tombe instinctivement sous le charme de la célèbre firme à la pomme croquée. Trêve de propagande, attelons nous aux pré-requis du parfait développeur iPhone. 1) Le matériel : un Mac, Xcode et le SDK d'Apple ° un MacSans aucun détour je t'annonce que pour programmer sur iPhone, il te faut absolument un Mac qui soit au minimum basé sur une architecture Intel. ° XcodeMaintenant que tu as ton Mac entre les mains, tu auras besoin de XCode. ° SDK AppleGénial tout ça, mais sans un bon SDK tu ne peux toujours pas coder . Deux options s'offrent à toi. Mais d'ailleurs, sais-tu au moins quelle est l'utilité de programmer des applications pour iPhone ? Car l'iPhone c'est ...Un téléphone portable, et jusque là rien d'extraordinaire. . Heyfeel

Juste-à-temps (gestion) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Juste-à-temps[1] est une méthode d'organisation et de gestion de la production, propre au secteur de l'industrie, qui consiste à minimiser les stocks et les en-cours de fabrication. Appelée aussi « flux tendu » ou « 5 zéros » ou encore « zéro-délai », la méthode est issue du toyotisme ; elle consiste à minimiser le temps de passage des composants et des produits à travers les différentes étapes de leur élaboration, de la matière première à la livraison des produits finis. Les cinq zéros correspondent à zéro panne, zéro délai, zéro papier, zéro stock et zéro défaut. À l'origine, le juste-à-temps était lié à des problèmes de gestion : les échoppes japonaises étant de très petite taille, il était difficile, sinon impossible, de stocker plusieurs exemplaires d'un même produit, pour peu qu'il fût encombrant. Ce n'est qu'ultérieurement que Taiichi Ohno en fit un système allant bien au-delà de cette pure question de stockage. Portail du management

Kanban Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un kanban (カンバン ou 看板, terme japonais signifiant « enseigne, panneau »[1]?) est une simple fiche cartonnée que l'on fixe sur les bacs ou les conteneurs de pièces dans une ligne d'assemblage ou une zone de stockage. Principe[modifier | modifier le code] Le Kanban est un mécanisme permettant d'asservir la production ou l'approvisionnement d'un composant à la consommation qui en est faite. Le support de l'ordre de reconstitution est une étiquette accrochée à chaque lot qui est produit ou approvisionné. Le nombre de kanban en circulation doit être limité pour éviter la constitution d'en-cours trop importants. Le système Kanban fonctionne entre les postes de production aval et amont : L'opérateur aval entame un conteneur. L'ingénieur japonais Taiichi Ōno est généralement considéré comme l'inventeur de la méthode kanban[3]. Règles d'implantation du système Kanban[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Roue de Deming La roue de Deming (de l'anglais Deming wheel) est une transposition graphique de la méthode de gestion de la qualité dite PDCA (plan-do-check-act). Si la paternité de cette méthode revient à Walter A. Shewhart, c'est le statisticien William Edwards Deming qui l'a fait connaître aux industriels japonais dans les années 1950 en la présentant sous l'appellation de cycle de Shewhart (the Shewhart cycle), lors d'une conférence[1] devant 45 membres du Nippon Keidanren, l'organisation patronale japonaise. Technique de mémorisation[modifier | modifier le code] La roue de Deming est un moyen mnémotechnique qui permet de repérer avec simplicité les étapes à suivre pour améliorer la qualité dans une organisation[3]. À quoi sert le cycle PDCA ? « Le cycle PDCA sert à transformer une idée en action et l'action en connaissance. Deming a écrit, dans The New Economics : « Le cycle de Shewhart est un diagramme de flux qui sert à apprendre quelque chose, et à améliorer un produit ou un processus »

Détrompeur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un détrompeur (on trouve aussi le terme japonais poka-yoke, ポカヨケ, ou anti-erreur) est un dispositif, généralement mécanique, permettant d’éviter les erreurs d'assemblage, de montage ou de branchement. Enjeux et histoire du détrompeur[modifier | modifier le code] Au moment où la qualité est un des facteurs primordiaux dans la réussite d’une entreprise, le zéro défaut doit être un des objectifs principaux lors de la conception des machines de production. Un détrompeur est un système qui, lorsqu’il est bien conçu et proprement utilisé, ne peut laisser se produire aucune erreur, qu’elle soit humaine ou mécanique. Ces erreurs de production doivent tendre vers zéro avec un système détrompeur bien conçu. Pour cette raison, il faut pouvoir implanter au plus tôt lors de la conception des machines, de bons systèmes détrompeurs, pour être sûr qu’au final de la chaîne de production, le produit fini soit sans défaut et ne nécessite aucune vérification.

QQOQCCP Cinq W QQOQCCP (pour « Qui ? Quoi ? Où ? Quand ? Comment ? Ce concept est notamment utilisé en journalisme. Les cinq W sont particulièrement utilisés en agence de presse[3], qui exige que les réponses aux cinq questions soient données dès le début de la dépêche, ce qui permet un découpage de l'information par priorité. Cette méthode est également utilisée de façon courante dans l'éducation pour l'étude de documents, ainsi qu'en gestion de la qualité, comme première étape d'une analyse de cause racine de problèmes. Origine et histoire[modifier | modifier le code] Chez Aristote et les scolastiques[modifier | modifier le code] Le sigle a pour origine un moyen mnémotechnique latin (« Quis, Quid, Ubi, Quibus auxiliis, Cur, Quomodo, Quando ») utilisé par les savants scolastiques pour la mémorisation des particularités d'un acte telles que définies par Aristote[4],[5]. Plusieurs autres utilisations ont ensuite assuré la persistance de l'expression jusqu'à aujourd'hui :

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