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Découvrez vos centres d'intérêt, selon Facebook

Découvrez vos centres d'intérêt, selon Facebook
Pour maximiser les chances que vous soyez intéressé par une publicité, Facebook récupère de nombreuses données sur chacun d’entre nous. Ces informations lui permettent de nous placer dans des cases, que les annonceurs peuvent cibler lorsqu’ils diffusent des publicités. Vous pouvez accéder à ces données, comprendre comment elles ont été obtenues et surtout modifier ces informations comme bon vous semble. Vos centres d’intérêt, selon Facebook Facebook utilise plusieurs mécanismes pour connaître vos centres d’intérêt : il analyse les applications installées sur votre mobile (car vous lui avez donné cette autorisation), les clics que vous avez effectué sur des publicités, les pages que vous aimez… Facebook est ainsi capable de déduire que je suis intéressé par le football, en particulier la Ligue 1 et la Premier League, que j’aime les burgers accompagnés d’une Guinness et que j’ai sans doute une voiture, puisque j’ai installé Waze.

Projet open-data et cartographie interactive La datavisualisation, c'est quoi ? Le projet 2017-2018 Cette année le projet va mobiliser trente enseignants qui vont être formés dans le cadre du plan académique de formation (deux jours dissociés en présentiel et six heures à distance). La première journée de formation aura lieu le 15 novembre 2017 et sera animée par Armelle Gilliard, médiatrice de la donnée et par Vincent Bergeot de Num et Lib Espace ressources La chaîne You Tube dédiée au sujet Historique du travail académique engagé sur le thème En 2014, le projet académique Dataviz et cybercitoyenneté a permis de constituer un petit groupe de travail (inspecteurs de SES et EVS, enseignants, services académiques : Dane, Clemi, partenaires : IUT Bordeaux Montaigne) autour du traitement des données et de leur diffusion sous format infographique. Projet TraAM EMI 2016-2017 : “ LA DONNÉE AU COEUR DE LA PRODUCTION D’INFORMATION” Éléments ayant favorisé la réussite du projet 2. 3.

L’homo numericus ? Un homme de « lettrure » : de lecture et d’écriture Accueil > Recherche > Séminaires et ateliers réguliers > Séminaire de l’ISCC > 2014/2015 Résumé L’homme du quotidien est un homme appareillé. Or, ces transformations présentent une caractéristique inattendue, elles relèvent de l’écriture et de la textualité. Pourquoi parler de « lettrure » médiévale à propos des médias informatisés ? Intervenants Emmanuël Souchier, professeur des universités, Groupe de recherches interdisciplinaires sur les processus d’information et de communication (Gripic, EA 1498, Université Paris-Sorbonne). Discutant : Étienne Candel, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication au Celsa Paris-Sorbonne et chercheur au Gripic, en délégation à l’ISCC depuis septembre 2014.

Des mouchards cachés dans vos applications pour smartphones Des dizaines de sociétés s’insèrent dans des applications banales pour collecter des données, amassant des informations sur des millions de Français. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Martin Untersinger Par dizaines, ils se nichent dans des applications mobiles utilisées quotidiennement par des millions de Français. Ils capturent discrètement des données, souvent personnelles, sans que les utilisateurs n’en soient nécessairement conscients, alimentant au passage une industrie opaque et méconnue. Certains de ses acteurs disposent de données sur des millions de Français. Il s’agit de trackers, de petits logiciels incorporés dans des applications mobiles du quotidien (réseaux sociaux, médias, banques, sites de rencontre). Lire aussi : Les mouchards des applications mobiles « nous rapprochent d’un monde à la “Minority Report” » D’ici à quelques semaines, Exodus permettra à n’importe quel internaute de soumettre une application pour analyse. Les « trackers » de mesure d’audience

Comment réaliser un livre au format EPUB ? La lecture numérique Cours de Hervé Le Crosnier Les cours de Culture Numérique dispensés par Hervé Le Crosnier à l'Université de Caen. Sommaire des cours Le livre numérique BnF : L'aventure du livre. Des parcours pédagogiques pour les classes, des ressources, bibliogaphie, la typographie. Lien Baromètre des usages du livre numérique. Baromètre semestriel, réalisé pour les auteurs et éditeurs, associés au sein de la SOFIA, sur les évolutions des usages du livre numérique. Lien Les acteurs de la chaîne du livre à l'ère du numérique. Le Centre d'analyse stratégique en partenariat avec le Centre national du livre propose une série de 3 notes d'analyse accompagnées de propositions. Lien La lecture est avant tout une question de supports: matières et formes. Si le support papier s'est imposé depuis 6 siècles grâce à l'imprimerie, il n'en a pas moins évolué pour autant. L'altération tout d'abord. Le deuxième aspect est la notion de page que l'on a le plus souvent voulu rendre fluctuante. [1] François Bon.

Nothing To Hide un documentaire sur la surveillance numérique Dire que la vie privée ne vous intéresse pas parce que vous n’avez « rien à cacher » c’est comme dire que la liberté d’expression est inutile parce que vous n’avez rien à dire.Edward Snowden Dans ce documentaire, le réalisateur Marc Meillassoux reprend à son compte l’argument de « je n’ai rien à cacher » pour démontrer que les citoyens ont tendance à accepter passivement que leurs données alimentent les appareils de surveillance de masse que sont les GAFAM. Pour appuyer cette idée, le réalisateur et la journaliste Mihaela Gladovic ont conduit une expérience : le projet MisterX. Pendant un mois, ils placent l’iPhone et le MacBook d’un jeune homme « sous surveillance ». Nothing To Hide - Marc Meillassoux La projection se tenait au Maif Social Club et était proposée par Tristan Nitot, auteur de l’ouvrage surveillance ://. L'idéal d’indépendance et de neutralité que vous défendez a-t-il fait long feu ? T. Pourtant, un autre Internet est possible. T. T.

Faciliter la lecture d’informations sur le web Introduction Ecrire pour le web c'est d'abord écrire pour être lu à l'écran. Cet article exposera donc brièvement les enjeux de la prise en compte des caractéristiques perceptives de l'être humain. Au-delà de ces considérations concernant le confort perceptif, le contenu doit être adapté au média. 1. Deux dimensions composent le critère de lisibilité. En anglais, deux adjectifs différents sont employés pour désigner ces dimensions : - on parle de "legibility" pour désigner la lisibilité matérielle, visuelle d'un texte. On doit optimiser ces deux aspects pour faciliter la lecture d'informations sur le web. 2. L'interface par laquelle l'utilisateur perçoit les informations est l'écran. Tout d'abord, nous sommes habitués à lire sur papier. Déchiffrer les caractères et les assembler est en général plus lent et plus fatiguant sur écran. La sensation de confort visuel et les conditions de vision optimale dépendent étroitement de la répartition des contrastes des luminances. 2.1. 2.2. 3. C.

Étude 2017 : Comment communiquent les jeunes de la génération Z ? Comment communiquent les jeunes de la génération Z sur leur smartphone ? Quelles applications préfèrent-ils ? Pour parler avec qui ? Crédit Diplomeo Le moins que l’on puisse dire est que cette génération fait beaucoup parler d’elle. Snapchat, le bourreau des cœurs ! Le mignon fantôme jaune a visiblement un petit quelque chose que les autres n’ont pas. 51 % des interrogés préfèrent Snapchat pour partager des photos.56 % favorisent cette même appli pour les vidéos.76 % y publient leurs stories en priorité. L’image délaissée au profit de l’écriture Les lycéens et jeunes étudiants d’aujourd’hui accordent peut-être à l’image une plus grande importance que leurs prédécesseurs, mais le texte semble tout de même largement préféré au visuel : Du côté des canaux de communication par écrit, les SMS l’emportent aisément sur les applications : 58 % des jeunes de la génération Z privilégient les SMS pour communiquer par écrit. Les parents, copains 2.0 des Z Les jeunes, tous futurs influenceurs ? Alice Meyer

La Silicon Valley est-elle en passe de devenir la capitale de la culture ? En quelques années, l'économie numérique a établi son hégémonie sur les industries culturelles. Netflix représente désormais plus de 90 % de la consommation de video on demand aux Etats-Unis, 63 % du temps passé par les 2,3 millions de Français abonnés aux offres légales, et tâte désormais avec succès à la production. Amazon écrase la vente de livres. L'audience de la presse vient massivement de Google et Facebook (et un peu Apple désormais) et est déterminé par des algorithmes bien précis. Huit des dix personnalités préférées des jeunes Américains sont des youtubeurs. Ce qui est inquiétant, bien sûr, c'est que cette hégémonie industrielle, en matière de culture, finit fatalement par établir une hégémonie culturelle. On a beaucoup essayé les réponses techniques, fiscales ou protectionnistes à ces questions. Cela fait plus de 20 ans que je travaille autour de l'innovation numérique, le plus souvent dans ce que l'on appelle les "industries culturelles".

...::: SecNum académie :::... L’information chez la jeunesse en difficulté: Facebook et petites vidéos L’éveil du jeune citoyen par l’information est un débat récurrent. Mais quand on aborde ce thème, on réfléchit en général aux jeunes qui, par leur environnement social, familial et scolaire aspirent à suivre l’actualité et sont préparés à cette pratique culturelle. On songe rarement à ceux qui sont le plus éloignés de la sphère de l’information généraliste, soit en raison de leurs difficultés scolaires, soit parce que le milieu dans lequel ils sont élevés n’est pas porteur ; on songe rarement aux jeunes qui risquent d’avoir un parcours semé d’embûches, qui seront presque tous orientés vers un métier manuel. Or ces adolescents et post-adolescents – entre 15% et 25% des jeunes selon les méthodes de calcul – forment le terreau de l’abstention électorale ou du vote d’extrême-droite (voir mon article du 16 décembre 2015, Le choc ou le breaking point), et les médias auraient un intérêt civique à toucher cette fraction délaissée des 16-25 ans.

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