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Parcoursup : le calendrier 2017-2018 en un clin d’œil - Parcoursup 2018 (Ex APB)

Parcoursup : le calendrier 2017-2018 en un clin d’œil - Parcoursup 2018 (Ex APB)
INFOGRAPHIE. Élèves de terminale, vous allez tester la nouvelle version de l'orientation postbac. Parcoursup, la plate-forme qui remplacera APB, ouvrira le 15 janvier 2018. Information, inscriptions, vœux... voici le calendrier des étapes qui vous attendent. Le remplacement d'Admission-postbac fait partie de la réforme "Plan étudiants", dévoilée par le gouvernement le 30 octobre 2017. Les quatre grandes étapes sont déjà connues, même si certaines dates seront précisées début décembre 2017 par le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation. Voici le calendrier 2017–2018 qui vous permettra d'être à jour dans vos démarches, de l'information sur les formations (étape 1) à l'inscription administrative dans l'établissement auquel vous aurez dit "oui" (étape 4), en passant par la phase des vœux (étape 2) et la phase d'admission (étape 3). Attention, certaines formations recrutent en dehors du portail national (écoles de commerce, Sciences po, écoles d'art…). Related:  phanou18

Pilotage et négociation L’entretien individuel de progrès, un moyen de faire progresser l’EPLE en faisant progresser les individus. L’entretien de progrès se situe au carrefour de plusieurs déterminations : les sciences sociales et la psychologie, de l’analyse systémique et de la connaissances des organisations, de l’analyse stratégique. Il suppose une véritable formation. L'entretien de progrès est un micro système : dans un environnement donné, il s'agit d'une relation en face à face, à partir d'un cadre de références déterminé (quelquefois à clarifier), en vue d'un objectif précis, avec une méthode appropriée. la mise en place des enseignements de spécialité en cycle terminal au lycée général et technologique et les modalités de choix des élèves. La présente note de service organise la mise en place des enseignements de spécialité en cycle terminal au lycée général et technologique et les modalités de choix des élèves. En fin de seconde, les opérations liées à l'orientation des élèves en voie générale ou en série technologique, ou à une réorientation en voie professionnelle, sont inchangées. Dans les voies générale et technologique, les enseignements de spécialité sont des enseignements obligatoires. Ils ont pour objectifs : - de permettre aux élèves d'approfondir et d'élargir leurs connaissances et compétences dans des domaines particuliers ; - de les préparer à la poursuite d'études dans l'enseignement supérieur. 1. La régulation opérée par les recteurs d'académie doit permettre de garantir dans le périmètre retenu l'offre d'enseignements de spécialité la plus riche et de soutenir les établissements les moins attractifs ou les plus isolés, avec une offre originale et diversifiée. - humanités, littérature et philosophie ; 2.

l'orientation, puis l'inscription des élèves scolarisés en classe de seconde générale et technologique dans la perspective du choix des enseignements de spécialité en cycle terminal La présente note précise les dispositions prévues pour l'orientation, puis l'inscription des élèves scolarisés en classe de seconde générale et technologique dans la perspective du choix des enseignements de spécialité en cycle terminal au lycée général et technologique à la rentrée 2019. La décision d'orientation est une étape décisive du processus continu d'élaboration du projet de formation et professionnel que l'élève mène depuis le collège. Ce processus se développe, notamment grâce au temps dédié à l'orientation (54 heures annuelles), à l'accompagnement personnalisé, en prenant appui sur le suivi pédagogique, l'information et le dialogue entre l'élève, sa famille et les membres de l'équipe éducative. 1. Modalités de la décision d'orientation La procédure d'orientation, telle qu'elle est établie dans le Code de l'éducation à l'article D. 331-36, reste en vigueur. - la classe de première générale, puis de terminale générale ; 2. 3.

Réforme du lycée : combinez vos spécialités comme vous le voulez Les lycées ne proposeront pas de "menus" de spécialités tout faits. En première, vous aurez, en théorie, la possibilité de choisir librement les trois vôtres. Petit à petit, la réforme du lycée se précise. 4 ou 5 spécialités à choisir pour 3 au final Une note de service que l'Etudiant s'est procurée l'explique : au cours du deuxième trimestre de seconde, vous devrez indiquer un premier choix de spécialités pour la classe de première. Vous aurez à suivre trois spécialités, en plus des enseignements de tronc commun. Le lycée ne devrait pas vous proposer des "menus" de spécialités tout faits – par exemple SVT, physique-chimie et mathématiques. Reste à voir comment cela se mettra en place dans les établissements, puisque des questions d'emploi du temps, de composition des classes et de présence des enseignants entreront en jeu. Au préalable, votre lycée aura dû, au cours du premier trimestre, vous "accompagner dans la construction de [votre] projet de formation.

Réforme du lycée : le système des spécialités se précise Si 2017-2018 était placée sous le signe de Parcoursup, cette année scolaire sera sous celui de la réforme du lycée, directement liée à celle du bac. Le ton a été donné lors de la conférence de presse de rentrée de Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education nationale. L’objectif affiché de ce chantier : «Personnaliser les parcours.» Douze spécialités seront proposées. A lire aussiRéforme du bac : les contours se précisent Ce que l’on sait Une offre de formations plus limitée La palette de spécialités proposée dans les lycées sera moins large que prévu. Une offre minimale de spécialités par lycée n’est pas imposée. Le latin et le grec avantagés La place du latin et du grec dans cette nouvelle organisation inquiète particulièrement. La spécialité LCA fait toutefois partie des cinq enseignements les plus rares, qui seront répartis au niveau de chaque académie et au niveau national. Un choix de combinaisons libres A lire aussiNouveau bac : ça passe… mais gaffe à la casse Marlène Thomas

Dix conseils pour… Devenir un chef d’établissement normal Qui s'intéresse au Principal de collège Pierre-Jean Briard ? Il n'est pourtant ni incorporel ni intemporel, mais il ne correspond à aucune des définitions qui s'étalent dans les circulaires dithyrambiques du ministère le décrivant comme représentant de l'État. Représentant de l’État ; certes ! Le chef d'établissement n'est jamais assis que sur son cul... Sous l’État RPR, le chef d’établissement n’avait pas de statut spécifique, il restait un enseignant coopté par l’administration. À l’aube des années deux mille, dans le cadre de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF) un chef d’établissement se doit de comprimer les options, réduire les filières, calculer des diminutions horaires… S’il veut un avenir professionnel, il doit se fait technocrate de la rigueur budgétaire appliquée à l’école. Premier conseil : Renoncer à une gouvernance clanique Un chef d’établissement gouverne parfois en constituant une coterie autour de lui. Deuxième conseil : Évaluer en conscience

Outils pour agir La formation des cadres et des personnels ATSS Podcast LinkedIn Twitter Recherche avancée Actualités Ressources par type Ressources par thème Formations Enseignement scolaire Supérieur et recherche International et partenariats Les outils Vous êtes ici : Accueil > Ressources par type > Outils pour agir Outils pour agir Le film annuel des personnels de direction Voir "Le film annuel des personnels de directi..." Formation à l'analyse des situations professionnelles Voir "Formation à l'analyse des situations pro..." Communication d'un cadre, courrier et écrits professionnels, relation public-administration Voir "Communication d'un cadre, courrier et éc..." L'ESENESR est membre du École supérieure de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la rechercheTéléport 2 - BP 72000 - Bd des Frères Lumière - 86963 Futuroscope Chasseneuil Cedex - France - Tel +33 (0)5 49 49 25 00

Conférences Archives - AFAE Le dernier colloque interacadémique de l’AFAE qui s’est déroulé le 17 janvier à Rennes portait sur le thème : « La réussite des élèves, à qui en revient le mérite ?» Nous ont fait l’honneur d’être présents :Pierre Merle, sociologue, professeur d’université à l’École supérieure du Professorat et de l’Éducation (ESPE) de Bretagne et à l’université Bretagne Loire-Atlantique qui a accepté de remplacer Marie Duru-Bellat. De nombreux ateliers riches du témoignage de différentes personnes ressources et des apports des participants ont permis d’échanger librement sur le thème. Ci-dessous, les supports de présentation des trois conférenciers ainsi que les compte-rendus d’ateliers ; les problèmes techniques rencontrés pour les enregistrements vidéo initialement prévus n’ont malheureusement pas pu être surmontés. Les supports des conférences

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