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Vidéo sur les réseaux sociaux et leur effet sur la santé mentale

Vidéo sur les réseaux sociaux et leur effet sur la santé mentale
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Construction identitaire Le présent article traite du concept de construction identitaire tel que communément entériné par le milieu de l’éducation de langue française du Canada, particulièrement depuis 2006. Ce consensus autour du concept de la construction identitaire en milieu éducatif de langue française découle en grande partie d’un travail réalisé par l’Association canadienne d’éducation de langue française (ACELF) qui, en février 2006, a publié une définition et un modèle inédits de la construction identitaire[1]. Derrière ce travail s’inscrivait notamment l’objectif de faciliter les discussions dans le milieu, au sein duquel le défi de la construction identitaire occupait une place de plus en plus grande : « Le concept de la construction identitaire occupe, depuis quelques années, un espace grandissant au sein des discussions des intervenantes et des intervenants en éducation. Définition et modèle[modifier | modifier le code] Modèle de la construction identitaire [8] Voir aussi[modifier | modifier le code]

Le jeune : consommateur influençable ? La mauvaise influence des réseaux sociaux sur les jeunes SENENEWS.COM- L’accès facile aux portables, smart phone, Android, iPhone mais aussi à la connexion avec les wifi et les forfaits internet a vraiment révolutionné le monde et changé le comportement des individus surtout les jeunes. Sélectionné pour vous : Traitée de « dévergondée » après ses photos sexy, Queen Biz sort du silence (photos) Les jeunes d’aujourd’hui sont ceux qu’on appelle les enfants de la net-génération. Ils ont grandi avec l’internet au bout des doigts. Ils maîtrisent quasiment tout sur internet et sont toujours ´´online´´ sur les réseaux sociaux qui se multiplient d’année en année. Twitter, Tumblr, Facebook, instagram, viber, whatsapp sont dans leurs langages. Les influences négatives sont au rendez-vous Néanmoins, il y’a des influences considérables qui sont méconnues ou bien très souvent négligées par les jeunes. Réseaux sociaux ou baisse de niveau intellectuel? Les jeunes d’aujourd’hui préfèrent passer leur temps sur les réseaux sociaux plutôt qu’à étudier.

L’adolescent et les réseaux sociaux : quels impacts psychiques ? The Conversation France travaille en partenariat avec l'émission de vulgarisation scientifique quotidienne « La Tête au carré », présentée et produite par Mathieu Vidard sur France Inter. L'auteure de cet article, Angélique Gozlan, a parlé de ses recherches dans l'émission du 20 mai 2016 avec Aline Richard, journaliste science et technologie pour The Conversation France. Réécoutez leur intervention, à 15'30". Il y a quelques jours, une jeune femme de 19 ans se suicidait en direct sur Périscope. Le fait divers de Périscope tend à diaboliser les réseaux sociaux en pointant les effets néfastes de ceux-ci, tant du point de vue de l’acteur que du spectateur. Pour se construire, tout adolescent a besoin de se mettre en image au-devant de soi, de paraître et de se montrer. Expressionnisme adolescent Très souvent, la surface interactive de ces réseaux sera le support à « l’expressionnisme adolescent », pour reprendre Philippe Gutton. Quelle différence avec l’expression adolescente classique ?

L'Influence des Médias sur les jeunes Réseaux sociaux :: Jeunes et médias Férus de réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Snapchat, Google+, Netlog, Twitter, Tumblr, Pinterest, Flickr, etc., les jeunes y consacrent beaucoup de temps.80 % d’entre eux se rendent sur les réseaux sociaux tous les jours ou plusieurs fois par semaine (étude JAMES 2016). Les réseaux sociaux appartiennent à la génération du Web 2.0. Autrement dit, à la différence de l’Internet traditionnel, l’utilisateur n’est pas seulement consommateur, mais aussi acteur, puisqu’il crée du contenu (textes, vidéos ou photos). 94 % des jeunes ont un profil Les réseaux sociaux sont particulièrement appréciés parce qu’ils permettent de nouer des contacts aux quatre coins de la planète, de trouver des personnes partageant ses intérêts et de communiquer avec elles en temps réel.

Identité numérique : ce miroir déformant Ronan Boussicaud est webmarketeur et Community Manager pour l’agence Useweb. Profondément attaché aux relations humaines, il blogue sur « La Psyché du web social », un site faisant le pont entre la psychologie sociale et le web 2.0. Collaborateur pour le site My Community Manager, il y développe des analyses liées au Community Management et aux médias sociaux. Il partage sa veille qualitative et ses coups de cœur sur son compte Twitter @Rboussicaud. Nous sommes à présent 7 milliards d’êtres humains sur notre chère planète Terre. Nos attentes et besoins restent les mêmes depuis la nuit des temps (comme le démontre la pyramide de Maslow), cependant c’est bien la technologie qui construit des outils faisant évoluer nos usages. « L’homo internetus » que nous sommes devenus a donc une nouvelle identité, un reflet numérique de sa personne qu’il faut entretenir. Comment en est-on arrivé à cette quête de l’image ? L’identité comme miroir Mais l’e-réputation veille au grain… L’homme VS la machine

Les répercussions de l’usage des médias sur les enfants et les adolescents Pratiques des adolescents sur Internet et les médias sociaux L’article de la Revue Française des Sciences de l’Information et de la Communication (RFSIC ) prend appui sur certains des résultats de l’étude JAMES (Jeunes/Activité/Médias/Enquête suisse) menée en 2012, en partenariat avec les Universités de Zürich, de Lugano et de Genève. Les auteurs du présent article s’appuient notamment sur un questionnaire fermé et standardisé, soumis à un échantillon de 1169 élèves âgés de 12 à 19 ans, et fréquentant des écoles (écoles de commerce, collèges) ou établissements professionnels (places d’apprentissage). L’étude relève que les « 15-19 ans » ne sont que 16 % en France à lire la presse (gratuite et payante) tous les jours en 2009. Par comparaison, ils sont en Suisse, en 2012, plus de 50 % (58 % entre 16 et 19 ans) à le faire tous les jours ou plusieurs fois par semaine. Pratiques informationnelles des adolescents Facebook et Instagram sont les deux sites attirant le plus de souscripteurs. Sources et références complémentaires

Séries TV : comment elles nous influencent au quotidien Les séries sont une source permanente d'inspiration. Déjà, à l'époque d’Hélène et les garçons, on n'avait que 11 ans et on voulait nous aussi... un garçon. Aujourd'hui, les séries, de plus en plus décomplexées, nous aident à nous assumer telles que nous sommes avec nos petits ratages quotidiens (merci Lena Dunham). Avec Girls par exemple, fini de s'identifier à des héroïnes peu réalistes. Devenues un véritable phénomène de société, on les regarde aujourd’hui plus qu'avant (ça a existé la vie sans Internet, la TNT, la VOD ?). Les séries, du temps pour soi... Le résultat, on aurait presque pu le deviner : 36 % racontent passer entre 2 et 4 heures par semaine à les regarder. 22% y consacrent carrément l'équivalent d'une demie-journée : entre 4 et 6h par semaine. ...SANS son mec 70% des filles indiquent regarder leurs séries préférées en solo. Les héroïnes qui influencent le plus notre look 38% des jeunes filles indiquent que les séries ont une influence sur leur manière de s’habiller.

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