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Économie et confiance

Économie et confiance

France et confiance : le problème qui fait mal | Tête de Quenell "Aïe, confiance..." Je viens d’achever la lecture d’un ouvrage très édifiant : La société de défiance, ou comment le modèle social français s’autodétruit. Dans cet essay d’à peine 100 pages, Yann Algan et Pierre Cahuc parviennent à démontrer avec pertinence, pédagogie et clairvoyance comment et pourquoi le système français est voué à l’échec en raison de la défiance ambiante. Je vous propose dans cet article une relecture synthétique de cet essay qui a mon sens constitue une des clés de voûte des problèmes de la France. Dans un premier temps, je vous invite à regarder cette conférence de Yann Algan (co-auteur de l’essay). La confiance en France Je passe les détails des différentes études statistiques ayant abouti à ce constat, mais il apparait que la France a un déficit notable de confiance. Comment expliquer cette défiance ? La défiance, un produit du corporatisme et étatisme Le caractère égalitaire de la redistribution sociale des revenusL’universalisme du système de protection sociale

InfoCatho Le dialogue de l'Église catholique avec les anciennes Églises de l'Orient est entré dans une phase plus intense depuis une vingtaine d'années d'autant que la tradition latine préférait que ces Églises s'unissent en s'intégrant dans l'Église de Rome. Ce qui fut le cas de plusieurs d'entre elles, du moins, en partie, au cours des siècles. Ces Églises unies à Rome, co-existaient en même temps que celles rattachées aux anciens patriarcats, en particulier ceux d'Antioche et d'Alexandrie. Avec le temps, grâce au Concile Vatican II et aux Églises orientales catholiques, les dialogues qui se sont instaurés ont permis, bien souvent, une meilleure compréhension de ce qu'on appelait improprement, le monophysisme ou le nestorianisme. Il s'agit, selon les cas, d'un accord théologique ou sacramentaire ou bien d'une déclaration en vue d'avancer sur le chemin de l'Unité. Patriarcat copte orthodoxe d’Égypte Le Pape Paul VI et S.S. ..." ..." Extraits de la déclaration signée au terme de leur rencontre.

Attali - Société démoralisée Selon leurs pères fondateurs, capitalisme et la démocratie ne pouvaient fonctionner sans respecter des règles morales fondées sur la loyauté et la transparence. Ils sont devenus l’un et l’autre des procédures vides de valeurs, vides de sens. L’obsession de la liberté individuelle a en effet conduit à la tyrannie du caprice, et au droit absolu de changer d’avis à chaque instant, sur tous les sujets, y compris sur le respect des contrats ; et donc, in fine, à l’apologie de la déloyauté. On le voit aujourd’hui dans chaque dimension de nos sociétés : plus aucun contrat ne tient. Ni le contrat de travail. Ni le contrat sentimental. Et comme la morale vise à faire respecter par chacun les droits des autres, la déloyauté produit des sociétés dé-moralisées, au sens propre. Or, la morale est la condition du moral : une société dé-moralisée est une société démoralisée. Les affaires actuelles sont des péripéties de cette lourde évolution. j@attali.com

de pays en pays Les Chrétiens en Egypte Les statistiques officielles tendent à minimiser le nombre des chrétiens ; le recensement de 1986 donnait le nombre de 3.300.000 chrétiens ; mais les Eglises locales , à partir des registres des baptêmes, parlent de 10 millions au moins de fidèles. Une partie de cette différence est due au grand nombre de chrétiens cachés, ou de fidèles qui, pour des raisons de pression sociale, déclarent être musulmans. Très probablement, le nombre des chrétiens est de 6 millions environ, ce qui veut dire qu’un chrétien oriental sur deux est de nationalité égyptienne. Les régions où ils se trouvent Les régions où l’on trouve la plus grande concentration de chrétiens sont la Haute-Egypte (la partie méridionale du Pays) et notamment les gouvernements de Minièh, Assiout, Sohag et Kéneh, où le pourcentage des chrétiens s’élève à 35% Leur répartition L’Eglise Copte Orthodoxe A elle seule, elle représente 93% du total des chrétiens. L’Eglise Copte Catholique L’Eglise Copte Evangélique

homélie Homéliaire patristique 220 14 septembre - La Croix glorieuse 220 Évangile Évangile de Jésus Christ selon saint Jean (Jn 3,13-17) Nul n'est monté au ciel sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme. Homélie au choix Le symbole du serpent de bronze Homélie de saint Bède le Vénérable (+ 735) Homélie, livre II, 18, CCL 122, 315-317 De même que le serpent fut élevé par Moïse dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l'homme soit élevé, afin que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais obtienne la vie éternelle (Jn 3,14). Le livre des Nombres raconte, en effet, que les Israélites, accablés par la longue et pénible marche au désert, murmurèrent contre le Seigneur et contre Moïse. Ainsi, les blessures provoquées par les serpents brûlants sont les poisons et les brûlures des vices qui, en frappant l'âme, causent sa mo rt spirituelle. Le Seigneur venu avec une chair semblable à celle du péché (Rm 8,3) est figuré avec raison par un serpent de bronze. ou bien La gloire de la croix

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