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Les poissons mutants de Sanofi

Les poissons mutants de Sanofi
Une étude scientifique révèle la pollution des rivières par l'industrie pharmaceutique. Démonstration dans le Puy-de-Dôme, où une usine Sanofi fabrique des hormones mais aussi des poissons mutants en rejetant ses déchets dans la rivière d'à côté. Une étude scientifique à paraître dans l’édition du mois de novembre de la revue Environment International [en] confirme la pollution des rivières françaises par l’industrie pharmaceutique. Les scientifiques ont réalisé plusieurs prélèvements au fil de l’eau, en amont et en aval de l’usine. Un chercheur qui a participé à l’étude de terrain confie même qu’il a rarement vu une rivière aussi dépeuplée. « Si le problème persiste, on pourrait assister à une diminution voire une disparition de certaines espèces », analyse Wilfried Sanchez, l’auteur de l’étude. Du goujon venu d’une autre dimension Hervé Maillard, responsable de l’usine Sanofi depuis mars 2011 insiste sur les difficultés rencontrées pour endiguer le phénomène : Mais le problème subsiste.

magazine Joyeux anniversaire Heureux natifs des années 1951, 1961, 1971 et 1981, les éditions Hors Collection rendent hommage à votre génération avec un livre réunissant les faits de société les plus marquants de vos premières années ! News, culture, mode, sport, design, société… tout est passé en revue pour vous replonger dans votre jeunesse ! Avoir une épée de Damoclès au-dessus de la tête Un danger imminent, menace qui pèse sur une personne. Hommes politiques Ils m’ont mal sous-estimé! Administration Nos relances ont pour objet de vous relancer. Stars Je n'ai commis aucun délit. Enfants L'exemple du Titanic sert à démontrer l'agressivité des icebergs. Taillable et corvéable à merci Une personne que l'on peut exploiter sans limite et sans lui montrer un vraie reconnaissance. Amuser ou Epater la galerie Faire rire ou provoquer l'admiration d'une assemblée.

Réchauffement climatique: spectaculaire éboulement de rochers au Mont Blanc "Les éboulements vont être de plus en plus nombreux et les volumes mis en jeu plus importants avec le temps", assure Ludovic Ravanel, le spécialiste français des effets du réchauffement climatique sur la roche. Ce week-end, environ 12 000 m3 de granit se sont détachés de la face ouest des Drus, à 3400 mètres d'altitude, lors de trois écroulements dont le plus important dimanche a provoqué un nuage de poussière visible jusque dans la vallée de Chamonix. Les habitants des Tines, hameau situé en contrebas des Drus, ont attendu 50 minutes avant que le panache de poussière ne s'estompe et laisse réapparaître la "mythique" face des Drus, déjà touchée en 2005 par un éboulement de 265 000 m3 qui avait provoqué la disparition du célèbre pilier Bonatti. Ainsi, depuis 2007, 182 éboulements ont été recensés dans la partie centrale du Mont Blanc qui, à l'instar des Drus, "subit les effets du réchauffement climatique", selon le scientifique. "On n'avait jamais vu ça lors des siècles derniers.

Arctique : la banquise vers une nouvelle fonte record En août 2011, l’étendue de la banquise arctique a été de 28% inférieure à la valeur moyenne de la période de référence. Durant les mois d’été, 2011 s’est située à quasi parité avec le minimum historique de 2007. Cette année là, les scientifiques avaient assisté stupéfait à une fonte massive de la banquise, à laquelle ils ne s’attendaient pas avant le milieu du siècle. Aujourd’hui 10 septembre, 2011 et 2007 ne sont plus séparées que par l’épaisseur du trait, et 2011 pourrait établir un nouveau record. Voici le point de la situation au 6 septembre, rédigé par les scientifiques américains du National Snow and Ice Data Center. --- Au-delà d’un éventuel nouveau minimum record de l’étendue, c’est en réalité la situation globale de la banquise qui doit retenir l’attention. Etendue de la banquise au 10 septembre - graphique NSIDC. National Snow and Ice Data Center (USA), 6 septembre 2011 Situation d’ensemble Conditions météorologiques Août 2011 par rapport aux années précédentes

Fonds Vert pour le Climat : la Banque mondiale et le secteur privé veulent leur part ! Au lendemain de la conférence sur le climat de Cancun (29 nov - 10 déc 2010), l'annonce de la mise en place d'un Fond Vert pour le Climat (FVC) a été présenté comme un véritable succès. Il a été la base d'un unanimisme trompeur s'est répandu dans la presse de nos pays : les principales ONG et éditorialistes en saluaient le résultat. Alors que la conférence de Cancun, dont personne n'attendait grand chose, a surtout entérisé le fiasco de Copenhague, et qu'aucune réduction des émissions à la hauteur des enjeux n'ait été prise.Publiquement, les pays dits « développés » avaient confirmé les 100 milliards de dollars par an à partir de 2020 pour répondre aux besoins des pays en voie de développement, plus des financements à court terme de 30 milliards de dollars pour la période 2010-2012. Concrètement depuis, pas grand chose. Quarante membres d'un comité de transition travaillent depuis pour établir plus précisément les contours de ce Fond Vert pour le climat. Pour aller plus loin :

CATASTROPHES: Un nouvel indice de risque aide à évaluer la vulnérabilité | Monde | Alerte précoce | Environnement | Sécurité alimentaire | Démocratie et gouvernance | Santé et nutrition | Droits de l'homme | Catastrophes naturelles | Sécur Les Philippines font partie des pays les plus à risque JOHANNESBURG, 6 septembre 2011 (IRIN) - Un nouvel indice de risque de catastrophe lancé par l’Institut pour l'environnement et la sécurité humaine de l’Université des Nations Unies pourrait aider les donateurs et les organisations humanitaires à mieux comprendre pourquoi certains pays sont plus menacés que d’autres par une catastrophe naturelle, ainsi qu’à mieux structurer leurs réponses lorsqu’une catastrophe survient. Jörn Birkmann, directeur scientifique du projet WRI de l’Institut des Nations Unies, a expliqué que l’indice mondial de risque (World Risk Index, WRI) est le seul à définir le risque comme l’interaction entre un risque naturel et la vulnérabilité d’une communauté donnée. Cela permet non seulement de planifier des réponses à court terme, mais également des interventions à long terme. 1. L’exposition à un risque naturel (aussi bien les risques naturels soudains que les risques progressifs comme la sécheresse). 2. 3. 4.

La fonte de la mer de glace en Arctique atteint des records en 2011 La mer de glace Arctique a tellement fondu cet été qu’elle atteindra sans doute une superficie record cette année, d’après ce que deux instituts de recherche différents ont déclaré mardi, confirmant une tendance qui pourrait entraîner une disparition totale de la glace d’ici dix ans. Les cinq plus grandes fontes enregistrées depuis le début des archives satellites il y a 32 ans, ont toutes eu lieu au cours des cinq dernières années, en conséquence probablement du changement climatique et des évolutions climatiques naturelles. La disparition de la mer de glace en été en Arctique entraînera probablement des bouleversements du climat mondial, dont certains signes sont déjà visibles tels que les hivers très froids en Europe et en Amérique du Nord, qui pourraient résulter du réchauffement des mers Arctique. « Je suis persuadé qu’elle restera seconde » du classement, a déclaré Mark Serreze, directeur du NSIDC. « L’été en Arctique dépourvu de glace sera bientôt une réalité.

Un volcan artificiel pour limiter les effets du réchauffement climatique Tous les moyens sont bons pour lutter contre l’augmentation des températures. Les chercheurs se triturent les neurones pour trouver LE remède miracle. Parmi eux, des scientifiques britanniques des universités d’Oxford, Cambridge, Bristol et Reading se sont mis en tête d’injecter de fines particules dans la stratosphère pour refroidir la planète ! Radicale et qui paraît de prime abord relever d’un film de science-fiction, cette méthode pourrait cependant devenir réalité dans les années à venir, sous réserve d’expérimentations concluantes et que Londres, qui a déjà subventionné la démarche à hauteur d’un million six cent mille livres (environ un million huit cent mille euros), continue d’y croire. Le déploiement à vingt kilomètres au-dessus de la surface de la Terre d’un ballon captif de cent à deux cents mètres de diamètre – soit celui du stade de Wembley (Grande-Bretagne) (!) Pour l’heure, c’est lui que les autorités ont choisi d’écouter…

Le changement climatique renforce-t-il les ouragans S’il n’a pas été l’apocalypse tant redoutée, l’ouragan Irene, qui balaye désormais le Canada rétrogradé en tempête tropicale, affiche un bilan provisoire déjà bien lourd : 32 personnes tuées dans neuf Etats de la Côte est des Etats-Unis, quatre millions de personnes privées d’électricité et des dommages qui pourraient s’élever de 5 à 7 milliards de dollars. Car Irene a été quelques jours classé au niveau 3 de l’échelle de Saffir-Simpson, avec un diamètre de 820 km et des vents culminant à 150 km/h. De quoi raviver une question récurrente : la fréquence et l’intensité des ouragans augmentent-elles en raison des changements climatiques induits par l’homme ? Comme toujours avec la science du climat, la réponse n’est pas réellement tranchée. Mais nombre de chercheurs estiment que les ouragans se renforceront à mesure que la planète se réchauffe, Irene leur apparaissant comme un signe avant-coureur de cette tendance. Alors, comment expliquer cette hausse de leur intensité ?

De l'effet du climat sur les conflits armés Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Angela Bolis En 2007, un rapport du PNUE (Programme des Nations unies pour l'environnement) soulignait les liens entre changement climatique et insécurité mondiale, désignant les principaux "points chauds" : nord et sud de l'Afrique, Sahel, Méditerranée... Fin juillet, c'est le conseil de sécurité de l'ONU qui a fait entendre sa voix sur le sujet. Mercredi 24 août, une étude publiée dans la revue Nature apporte un élément supplémentaire en faveur de ce lien controversé entre guerre et climat. Résultats de l'étude : dans les pays tropicaux, il y aurait deux fois plus de risques de conflits armés pendant les années chaudes et sèches d'El Niño que pendant la fraîche saison de La Niña. Difficile néanmoins d'affirmer un lien de causalité entre variations climatiques et belligérances humaines. L'année 2011 est placé sous le signe d'une arrivée de la Niña.

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