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Mémoire du monde

Qui paie pour des services gratuits ? La plupart des services que nous utilisons aujourd’hui sur le web sont gratuits : YouTube, Google, Facebook, LinkedIn et tant d’autres. Or, s’il ne s’agit pas de services publics, il faut bien que ces différents sites gagnent de l’argent. Mais comment s’y prennent-ils ? Voici rassemblés sur le site une infographie qui rappelle les principaux modèles de financement actuellement utilisés sur le web : On y distingue : La publicité (advertising) : sur le site hôte (par exemple dans les pages de résultats de Google) ou sur des sites tiers.

Qu’est-ce que l’identité numérique ? Qu’est-ce que l’identité numérique et l’e-réputation ? Cette question se pose aujourd’hui dans le cadre de l'écosystème internet pour les usages individuels et collectifs.Cet ouvrage présente de manière accessible l'état de la recherche sur ces questions et propose un tour d'horizon des enjeux fondamentaux à maîtriser pour pouvoir garder le contrôle sur sa présence en ligne ou sur celle de son organisation.Ce livre s'adresse à ceux qui, soucieux de découvrir la richesse de cette problématique, aux entreprises, organisations et collectivités à la recherche d'une méthodologie et de bonnes pratiques sur ces questions, ainsi qu'à toute personne qui s'est déjà, ne serait-ce qu'une fois, posé la question de savoir si la publication d'une information, d'une vidéo, d'une photographie, d'un statut Facebook, ne risquait pas de lui porter un jour préjudice, à lui, à l'un de ses proches ou à son employeur. Cet ouvrage a été réalisé avec le soutien du Labex Hastec.

Web de données, Google, Wikipédia, les liaisons dangereuses Voici un nouveau billet pour montrer combien les avancées techniques et commerciales du web peuvent se lire au travers de la grille de la théorie du document et que celle-ci permet de souligner des impensés ou des non-dits. Cette fois je prendrai deux illustrations reliées : le web de données et la dernière annonce de Googlle, le Knowledge Graph. Le web de données Tim Berners-Lee dans une prestation, bien connue de la petite histoire du web, a prôné la mise à disposition libre des données, pour réaliser ce qu'il appelle le web de données, après avoir renoncé à l'appellation "web sémantique". L'image devrait éveiller quelques souvenirs aux bibliothécaires. L'homologie est encore plus surprenante si l'on se souvient que P. Pourtant, il existe une différence radicale entre le projet de P. L'enjeu est alors différent, conforme à l'évolution de la société - nous ne sommes plus à l'époque du triomphe de la science positive. Le Knowledge Graph 29 juillet 2012 Extraits (trad JMS) : 9 août 2012

2012-plan-numerique-dossier-presse - 2012-plan-numerique-dossier-presse_236969 La translittératie en débats: Je n’ai pas trop le temps de bloguer ces dernières semaines du fait de phase rédactionnelle intensive pour des articles et des ouvrages à paraître prochainement. Du coup, à l’occasion de la sortie d’un article sur la translittératie que j’ai écrit pour Intercdi (« Qu’est-ce que la translittératie ? » Intercdi n°237, p. 62), je publie sur le blog cet article qui était paru outre-atlantique chez nos amis d’Argus. (« La translittératie en débat. » Argus. Vol.9, n°3, p.30-31) La translittératie n’est pas un nouveau gadget à la mode ne faisant qu’ajouter de la complexité à la somme des autres littératies, en particulier à l’information literacy. Nous réagissons ici à plusieurs interrogations émises notamment sur plusieurs blogs de langue anglaise sur l’utilité d’un nouveau mot et sur la complexité qui en résulte parfois. Nous allons donc tenter de clarifier quelque peu cette translittératie si complexe. La première est évidemment celle de la différence avec l’information literacy.

« Le lichen soigne le cancer », l’article bidon qui a fait le tour des revues L’article présente bien. Schémas, données, jargon scientifique... Il tendrait à prouver qu’une molécule extraite du lichen ralentit la croissance des cellules cancéreuses. Le papier est signé par Ocorrafoo Cobange, un biologiste au Wassee Institute of Medicine basé dans la ville d’Asmara, en Erythrée. Sauf que tout est bidon. Dénoncer les dérives de l’Open Access C’est un journaliste de la revue Science qui est à l’origine de cet écran de fumée. Accepté par plus de 150 publications Pour mesurer l’ampleur de l’escroquerie, John Bohannon a envoyé son papier à plus de 300 revues. « L’équipe éditoriale du Journal of Natural Pharmaceuticals [...] ne m’a demandé que des changements superficiels – une bibliographie sous un format différent et un résumé plus long – avant de l’accepter 51 jours plus tard. Même chose pour d’autres publications, dont certaines dépendent d’institutions prestigieuses comme l’université de Kobe au Japon. « Un danger pour les pays en voie de développement »

Accueil - Formadoct at Université européenne de Bretagne Les métamorphoses du livre... numérique — Enseigner avec le numérique Cette prochaine édition aura lieu les 17, 18 et 19 novembre 2014, à la BnF, pour les deux premières journées et au Lycée Jean Zay, Paris 16e, pour le troisième jour. Après avoir centré les précédentes éditions du Rendez-vous des Lettres sur les transformations du livre, de la lecture, de l’écriture et de l’image à l’heure du numérique, il a semblé intéressant d’aborder cette année ces transformations du point de vue de la parole et des pratiques de l’oral en classe. C’est en effet à la parole comme expression orale, verbale, de la pensée qu’est consacré ce séminaire, et aux voies nouvelles que lui ouvre le numérique par les transformations de la relation entre l’écrit et l’oral qu’il favorise. La révolution numérique a notamment pour conséquence d’effacer peut-être, ou de redistribuer du moins, les grandes oppositions entre l’écrit et l’oral, la parole et la musique, l’intime et le public.

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