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Fédération Française pour le Don de Sang Bénévole

Fédération Française pour le Don de Sang Bénévole

Don d’organes - Agence de la biomédecine Le don de moelle osseuse : tout savoir sur le don Qu'est-ce que la moelle osseuse ? a moelle osseuse, riche en cellules souches hématopoïétiques, est répartie dans les os du corps ; elle fabrique les cellules du sang (globules rouges, globules blancs, plaquettes sanguines) qui se renouvellent régulièrement. Cela n'a rien à voir avec la moelle épinière. Qui a besoin d'une greffe de moelle osseuse ? Ce sont essentiellement les malades dont la moelle ne fonctionne plus (aplasie) ou est envahie par des cellules cancéreuses (leucémie). Une maladie affectant la moelle osseuse a de graves conséquences : en effet, l'absence de globules rouges entraîne une anémie ; l'absence de globules blancs, des infections ; et celle des plaquettes, des hémorragies. Pour qu'une greffe réussisse, il faut que la moelle osseuse du donneur et le corps du malade s'acceptent mutuellement. C'est parmi les frères et soeurs qu'on trouve le plus facilement des sujets ayant le même groupe tissulaire appelé groupe HLA. Mais tous les malades n'ont pas cette chance.

Don d'organe : tout savoir sur le don d'organes Qu'est-ce qu'une greffe ? Une greffe est la mise en place dans le corps humain d'un organe étranger qui lui est devenu nécessaire. On parle aussi de transplantation On greffe : Pour remplacer ou suppléer un organe en défaillance sévère et irréductible,et dont la fonction est vitale Pour permettre à un malade de retrouver une existence normale. Une autogreffe est une greffe dans laquelle le greffon provient du sujet lui-même. Quels sont les tissus et les organes que l'on greffe ? Prélevés de son vivant (plus de détails) : Essentiellement les Cellules Souches Hématopoïétiques (ou moelle osseuse, donneurs familiaux ou non) Rein, entre proches du cercle familialPeau Fragments osseuxLobe hépatique et lobe pulmonaire (exceptionnellement) Prélevés après la mort : CœurFoieReinCœur-poumonPoumonPancréasOs - cartilageCornée (partie transparente du globe oculaire, située devant l'iris - on ne prélève pas l'oeil)PeauIntestin (rarement) Depuis quand greffe-t-on ? Premières transplantations en France : Il faut :

Le centre d'assistance médicale à la procréation (AMP) Hôpital Paule de Viguier 330 avenue de Grande Bretagne TSA 70034 31059 Toulouse Cedex 9 Renseignements : Téléphone : 05 67 77 10 05 - Fax : 05 67 77 10 06 Ecrivez-nousSecrétariat ouvert : du lundi au vendredi de 9h à 17h, Samedi, Dimanche et jours fériés de 13h30 à16h Le Centre d’AMP fait partie du Pôle Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction des Hôpitaux de Toulouse. Il est formé de 2 unités fonctionnelles : Stérilité Féminine et Laboratoire de Biologie de la Reproduction, regroupées dans une même entité tant au point de vue du fonctionnement qu’à celui des locaux. Personnel commun aux deux structures Accueil Mme Françoise QUADRI, Secrétaire Entretien Mme Nicole MAS, Aide Soignante Mr Frédéric POUPEL, Aide Soignant Mme Anne-Marie DE SOUSA, Aide Soignante Unité de stérélité féminine Publié le 09/03/2007 à 10h34 Unité de Stérilité Féminine Locaux 11 lits d’hospitalisation de jour 1 salle d’échographie 2 salles d’intervention Personnel Retour en haut de page

Le consentement présumé Les principes juridiques qui encadrent le don, le prélèvement et la greffe d’organes sont énoncés par la loi relative à la bioéthique du 6 août 2004, modifiée le 7 juillet 2011 (loi n° 2011-814). Trois principes majeurs ont été posés : le consentement présumé, la gratuité du don et l’anonymat entre le donneur et le receveur. Le cadre juridique et réglementaire La France a mis en place un dispositif plus solidaire envers les malades qui permet d’optimiser la disponibilité en greffons (puisque nous sommes tous donneurs potentiels), tout en laissant à chacun la possibilité d’exprimer un choix et d’en changer de façon souple. En France, la loi dispose que toute personne est considérée comme consentante au don d’éléments de son corps en vue de greffe si elle n’a pas manifesté d’opposition de son vivant. Au moment où un prélèvement peut être envisagé, la loi exige que les équipes médicales vérifient systématiquement et obligatoirement si le défunt est inscrit au registre des refus.

Obésité Dossier réalisé en collaboration avec Arnaud Basdevant, nutritionniste et chercheur, unité Inserm U872, Institut hospitalo-universitaire ICAN (Institute of cardiology metabolism and nutrition), Paris, président du Plan National Obésité 2010-2013 - Janvier 2014. © Fotolia Maladie de l’adaptation aux récentes évolutions des modes de vie, l’obésité résulte d’un déséquilibre entre les apports et les dépenses énergétiques. Ce déséquilibre aboutit à une inflation des réserves stockées dans le tissu graisseux qui entraîne elle-même de nombreuses complications. L’obésité concerne aujourd’hui la quasi-totalité de la planète, y compris de nombreux pays émergents : selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 35 % des adultes dans le monde sont atteints d’obésité ou de surpoids. Les complications associées, en particulier le diabète et les maladies cardiovasculaires, entraînent le décès d’au moins 2,8 millions personnes chaque année. Mesurer l’excès de masse grasse © Inserm, D. © Inserm, F. Sites

Greffe de rein : pourquoi les malades ont besoin de donneurs vivants La France affiche un retard dans les greffes de rein à partir de donneurs vivants. L'Agence de la biomédecine met en avant les bénéfices de cette option thérapeutique méconnue. Les Français n'ont pas peur du don d'organes du vivant, ils ne connaissent pas cette forme de greffe. « De nombreux Français restent encore persuadés que seul le prélèvement d'un rein sur une personne décédé est possible », confie Yvanie Caillé, directrice générale de Renaloo, une association de patients et de proches concernés par les maladies des reins. Alors, à l'occasion de la « Journée mondiale du don d’organes et de la greffe » qui se déroule ce jeudi, l'Agence de biomédecine et les associations de patients se mobilisent pour rappeler notamment que le don de rein à partir d'un donneur vivant doit devenir une solution envisagée au même titre que la greffe à partir de donneur décédé.

Cancer et nutrition Dossier réalisé en collaboration avec l’Institut thématique multiorganismes Cancer (ITMO Cancer) et l’Institut national du cancer (INCa) - Mars 2012. Nutrition, un impact prouvé sur la survenue de cancers © Fotolia Des travaux ont mis en évidence, avec des degrés de certitude variables, le rôle de certains aliments ou comportements individuels (diversité de l’alimentation, activité physique) dans l’initiation ou le développement de certains cancers. Pour réduire le risque de cancer, les organisations de santé française et internationale recommandent une alimentation équilibrée et diversifiée, un apport calorique adapté aux dépenses énergétiques et une activité physique régulière. (*)WCRF/AICR. Des relations convaincantes de cause à effet pour plusieurs facteurs nutritionnels Aliments ou comportements alimentaires à risque(*) Au moins cinq facteurs sont incriminés de façon convaincante dans la survenue de cancers. Aliments ou comportements alimentaires bénéfiques(*) © Inserm, Jerôme Galon

Les aliments qui augmentent ou réduisent le risque de cancers - Prévention Date de dernière mise à jour : 06/06/2014 De nombreuses études ont mis en évidence l’influence des facteurs nutritionnels sur le risque de développer un cancer, même s’il reste des incertitudes et des débats sur le rôle exact de certains d’entre eux. Ainsi, une alimentation équilibrée et diversifiée, privilégiant les fibres, les fruits et légumes, réduit votre risque de développer un cancer. L'alimentation fait partie des comportements sur lesquels on peut agir pour accroître la prévention des cancers. Elle agit à la fois comme un facteur de risque (aliments qui, consommés en excès, favorisent le développement d'un cancer) et de protection (nutriments ou aliments reconnus pour leur rôle protecteur contre certains cancers). N'hésitez pas à parler de vos habitudes alimentaires avec votre médecin. Des interrogations sur l'alimentation « bio », les pesticides, l'aspartame, les modes de cuisson... ? Limiter les aliments « à risque » Favoriser les aliments « protecteurs » Enfants et alimentation

Nutrition et santé Avec la collaboration du Pr Serge Hercberg, professeur de nutrition à la Faculté de médecine de Paris 13, directeur de l’unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle (UREN - UMR 557 Inserm/Inra/Cnam), directeur de l’unité de surveillance et d’épidémiologie nutritionnelle (USEN -InVS/ISTNA-CNAM), directeur du Centre de recherche en nutrition humaine (CRNH) Ile-de-France (GIS) et du Pr Jean-Michel Oppert, chef de service au Centre de recherche et de médecine de l’obésité(Hôpital de la Pitié-Salpetrière, Paris), chercheur à l’unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle (UREN - UMR 557 Inserm/Inra/Cnam) - Octobre 2013. La santé passe par l’assiette et l’activité physique © Inpes L’alimentation et l’activité physique sont impliquées dans l’apparition et le développement de la plupart des maladies chroniques les plus fréquentes aujourd’hui. Bien manger, tout un programme Les recommandations clés sont les suivantes : Les fruits et légumes : au moins 5 portions par jour. Actualités

Nutrition Le programme National Nutrition Santé (PNNS) La mise en place d’une politique nutritionnelle est apparue, au cours des dernières années, comme une priorité de santé publique. Le rôle joué par la nutrition comme facteur de protection ou de risque des pathologies les plus répandues en France est de mieux en mieux compris, qu’il s’agisse du cancer, des maladies cardiovasculaires de l’obésité, de l’ostéoporose ou du diabète de type 2. L’amélioration de l’état nutritionnel de la population constitue, en ce début de 21è siècle, un enjeu majeur pour les politiques de santé publique menées en France, en Europe et dans le monde. Une nutrition satisfaisante est un facteur de protection de la santé. En savoir plus... Pour plus d'information :

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