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ADELE : stocker de l'électricité en comprimant l'air ! > Technologie

ADELE : stocker de l'électricité en comprimant l'air ! > Technologie
Stocker de l'électricité de manière efficace, en toute sécurité et en grande quantité - voila certainement l'un des défis clés à résoudre dans les prochaines années. Les membres du projet ADELE** dont fait partie RWE, mais aussi General Electric, Züblin, et le Centre National allemand pour la Recherche aéronautique et spatial (DLR) ont signé à Berlin un accord de coopération et de développement allant dans ce sens. "L'expansion massive et voulue de l'énergie éolienne nécessite des solutions intelligentes pour garantir un approvisionnement continu en électricité. A travers le projet ADELE, nous prenons les devants afin de développer rapidement un modèle de stockage efficace ", a déclaré le Dr Jürgen Großmann, directeur exécutif chez RWE. Lors de périodes où l'offre excède la demande électrique sur le réseau éolien, de l'air sera comprimé et stocké dans de grandes poches souterraines. Related:  Energie

Fondation Sciences Citoyennes | Pour faire entrer les sciences en démocratie... Les barrages - Webécoles du Haut-Grésivaudan Les barrages sont une source d’énergie hydroélectrique, une énergie renouvelable puisque l’eau effectue un cycle perpétuel sur Terre. On ne sait pas stocker de l’électricité ; mais stocker de l’eau dans des lacs de retenue, c’est un moyen pour « stocker » de l’électricité qui sera disponible lors des pics de consommation ( c’est-à-dire les pointes de consommation quand tout le monde se sert de l’électricité). Le cycle de l’eau cycle de l’eau Les types de barrages Le fonctionnement d’un barrage L’eau arrive sur la turbine qui tourne alors très vite. Exemple avec un barrage de moyenne chute _ barrage moyenne chute Exemple avec un barrage de haute chute barrage haute chute _ La sécurité : « calme apparent, risque permanent »En effet, sur les berges des rivières en aval des barrages, le risque de noyade par crue subite est toujours là, même par beau temps. panneau danger

Higgs Boson Found? Without "God Particle," No Galaxies—And No Life Just hours from now, physicists could announce they're 99.9936 percent sure the Higgs boson exists, according to experts on the hunt for the so-called God particle. The combined findings of two teams at the proton-smashing Large Hadron Collider (LHC) should help explain why objects in our universe have mass — and in so doing, why galaxies, planets, and even humans have any right to exist. ( Explore a Higgs boson interactive. ) Just what the scientists—from the ATLAS (A Toroidal LHC Apparatus) and CMS (Compact Muon Solenoid) experiments—will reveal, though, is a closely guarded secret. "There are very few people even in ATLAS and CMS who know what's going to be presented on Wednesday. The rumor mill, though, got a late-breaking boost Tuesday, when, according to Science News , an official CERN video clip surfaced briefly, publicly, and—presumably—prematurely. On Higgs Hunt, It's "Easy to Fool Yourself" Results in particle physics are ranked on a scale from zero to five "sigma."

Utiliser la géothermie: énergie propre et renouvelable. La géothermie, c´est l´exploitation de la chaleur stockée par le sous-sol.L´idée est de convertir l´énergie géothermique issue de la terre afin de la transfomer en chaleur. Bien sûr, cette idée n´est pas nouvelle, mais en France, l´énergie nucléaire a été notre priorité durant les trente dernières années.La géothermie, quant à elle, elle est peu exploitée . Grâce à l´évolution des recherches, nous savons que la chaleur interne de la terre provient à 87% de la radioactivité naturelle des roches.Cette énergie est à la fois propre et renouvelable. Pour l´instant, l´utilisation la plus répandue reste celle du chauffage, mais la production d´électricité reste encore peu exploitée en europe. L´essentiel reste le fait que cette énergie représente 28% de l´électricité générée aux Philippines et reste la source principale d´énergie en Islande. En France métropolitaine, des forrages sont en cours (Soult-sous-Forêts). Encore un long chemin à parcourir sur la route des énergies propres!

Neutrinos : plus rapides que la lumière ? › Physique <p>Reconstitution de l'impact d'un neutrino enregistré dans une brique et analysé par un laboratoire de la collaboration OPERA <em>(Crédits : CNRS/CERN/OPERA)</em></p> Des chercheurs du CNRS auraient découvert l'existence de neutrinos... qui vont plus vite que la lumière. Si ces mesures sont confirmées, alors les répercussions théoriques seront immenses. Le Journal de la Science a exploré certaines de ces répercussions grâce au concours du physicien Thibault Damour. C'est un séisme qui est en train de se produire dans le monde de la physique. Et pour cause, puisque le physicien Dario Autiero, chercheur à l'Institut de physique nucléaire de Lyon, et son équipe s'apprêtent à publier un résultat ahurissant : l'existence de neutrinos, ces particules élémentaires de masse quasiment nulle, qui se déplaceraient plus vite que la lumière ! Comment les chercheurs ont-ils obtenu ce résultat ? 60 nanosecondes de moins que la lumière Un résultat à confirmer par d'autres mesures Mais il y a plus.

Le puits canadien ou puits provençal Le puits canadien (ou puits provençal) permet de renouveler l’air dans les bâtiments tout en profitant des températures naturellement tempérées du sous-sol . En effet, à une profondeur de deux mètres, la terre a une température pratiquement constante, aux environs de 15°C en moyenne. Technologie simple et peu onéreuse, le puits canadien est aussi très économe en énergie : si il est équipé d’une ventilation, il consommera 10 fois moins d’énergie qu’une climatisation en été. Principe de fonctionnement du puits canadien Le puits Canadien consiste à faire passer l’air de renouvellement (avant qu’il ne pénètre dans le bâtiment) par des tuyaux enterrés dans le sol à une profondeur d’au moins un mètre cinquante. En hiver : le sol à cette profondeur est plus chaud que la température extérieure. En été : le sol est naturellement plus frais que l’air extérieur. Avantages : Coût de fonctionnement 6 à 10 fois moins cher qu’une climatisation électrique Faible consommation électrique Inconvénients :

L'énergie fulgurale Quelle que soit l'époque, l'activité humaine n'a pu se passer de sources énergétiques. A certains égards, l'histoire de l'énergie est un raccourci de l'histoire des hommes : une saga passionnante et totalement méconnue. Stupeur à tous les étages. Au fil des âges, on a recouru à différentes sources d'énergie : avant les énergies renouvelables, avant le nucléaire, avant le pétrole, nos ancêtres ont utilisé l'hydro-électricité, le charbon, l'énergie animale ou humaine. Regarder un peu en arrière nous donne une impression de progrès. Les Atlantes ont utilisé l'inépuisable énergie de la foudre : ils produisaient de l'énergie dans des centrales fulgurales comme Areva en produit aujourd'hui dans ses centrales nucléaires. On peut admettre que leur civilisation fut plus avancée sur le plan spirituel, par exemple. Les Atlantes avaient une parfaite maîtrise de la gravitologie et de l'électro-magnétisme. 2- un éclateur qui transforme l'éclair en foudre en boule.

5 conseils pour bien choisir son poêle à bois Le poêle à bois revient à la mode. Plusieurs raisons expliquent ce phénomène : la hausse du prix des combustibles, les aides aux énergies renouvelables mais aussi l’amélioration des performances du système notamment pour les modèles à bûches. Sur notre site, vous pouvez évaluer gratuitement les économies d’énergie que vous pourriez réaliser en installant un poêle à bois. Profitez-en. Le rendement Le rendement d’un poêle est le rapport entre l’énergie qui est produite par le poêle et l’énergie qui est consommée. La puissance Par exemple, inutile de chercher un poêle à bois parmi les gammes de poêles de 11kW si vous devez chauffer une petite surface. Il faut compter environ 0,1kW/m² pour un logement bien isolé avec une hauteur sous plafond de 2,5 mètres qui est la moyenne en France. Il est important que l’air circule bien afin que l’ensemble de l’espace puisse bénéficier de la chaleur. Vous souhaitez réaliser des économies d’énergie ? Les matériaux Les types de diffusion de chaleur

ADN, le disque dur de demain ? - Maxisciences Deux chercheurs de l'université de Harvard sont parvenus à stocker 700 To de données informatiques dans un gramme de matière. Pour cela, ils ont directement utilisé de l'ADN. L'idée de stocker des données informatiques dans de l'ADN n'est pas nouvelle. Pourtant, cette fois, les choses s'accélèrent avec la parution, dans la revue Science, des travaux de deux chercheurs de l'université de Harvard. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Selon ces scientifiques, la densité de stockage atteinte est telle que l'on pourrait stocker dans environ 4 grammes d'ADN l'ensemble des informations produites dans le monde en 2011, ce qui correspond à 1,8 zettaoctet (soit 1,8 x 1021 octets) ! Pour que l'ADN se comporte comme une molécule de stockage, il suffit de faire correspondre les nucléotides (A, C, G, T) qui le composent avec les informations binaires 0 et 1 qui constituent les données informatiques. Mais quel support utiliser ?

Une nouvelle molécule pour guérir les AVC et doubler la neurogenèse ? L’une des pistes pour pallier à diverses pathologies cérébrales, telles que les maladies d’Alzheimer et de Parkinson ou, entre autres, les accidents vasculaires cérébraux, est d’agir au niveau d’une neurotrophine peptidique (naturellement synthétisée dans le cerveau) appelée BDNF et de ses récepteurs cellulaires, dont les rôles métaboliques multiples sont très largement bénéfiques et nécessaires pour le fonctionnement du cerveau, puisque le « Brain Derived Neurotrophic Factor » induit la neurogenèse ou naissance de nouveaux neurones ainsi qu’une meilleure connectivité en agissant sur leur plasticité. Augmenter les niveaux de BDNF revient à améliorer la mémoire, la pensée abstraite, les fonctions exécutives, et l’ensemble des caractéristiques cognitives, et cela sans aucun danger connu. Depuis 2007, un prototypage moléculaire a ainsi été breveté. Ces résultats sont obtenus chez la souris, et sont probablement reproductibles chez l’humain.

Percer les secrets des plantes pour sauvegarder la biodiversité ! Pour une réelle sauvegarde de notre biodiversité, encore faut-il saisir tous ses secrets et ses enjeux ! Quoi de mieux que de les enseigner à nos enfants. Tel est le programme de “Plantastic”, une exposition ludique et attractive présente cette année, jusqu’en septembre 2013, au Vaisseau à Strasbourg. A l’intérieur d’un espace entièrement modelé de 450 m2, le visiteur a la possibilité de pénétrer dans un univers coloré, au milieu de plantes surdimensionnées qui viennent dévoiler leurs secrets. A travers des manipulations, des jeux, des images animées, les jeunes, âgés en moyenne de 3 à 15 ans, “apprennent tout en s’amusant”, selon le slogan du Vaisseau. Bien qu’aucune réelle fleurs, graines, feuilles ne soient exposées, les décors vous font traverser et découvrir le monde végétal dans son ensemble : de la naissance de la plante, à sa reproduction, en passant par le phénomène de la photosynthèse, pour finir sur l’utilisation des plantes par l’homme.

Génétique : la découverte qui vous concerne Jeudi dernier, le 6 septembre 2012, une série d’articles scientifiques de portée historique a été publiée dans les plus grandes revues scientifiques : Nature, Science, Genome Research, Genome Biology, Journal of Biological Chemistry. Ce sont les conclusions d’un immense projet de recherche, financé par le gouvernement américain, impliquant 440 scientifiques de 32 laboratoires, qui a duré neuf ans : le projet ENCODE, Encyclopedia elements of the human genome, qui visait à décrire de façon complète les fonctions de chaque élément du génome humain. Vous êtes concerné par les découvertes publiées. Mais comme il est difficile d’y comprendre quoi que ce soit en lisant la presse (et ne parlons pas de la télévision), voici de quoi y voir clair sur cette découverte « révolutionnaire » et ce que vous pouvez en attendre pour votre santé. Bref rappel sur l’ADN Lorsque vous avez été conçu, vous n’étiez qu’une seule cellule, issue de la rencontre d’un spermatozoïde et d’un ovule. Le virus qui guérit

How Jellyfish Relaxation Can Lead to Energy-Efficient Vehicles In the popular imagination, jellyfish are just blobs—listless drifting things, without eyes, ears, or even a brain for figuring out how to get from one place to another. Scientists have long argued against this misguided notion. They say the familiar medusa-style (or bell-shaped) jellyfish are highly effective at getting where they need to go, employing both jet propulsion and a rowing motion. They travel efficiently enough, in fact, that jellyfish often outcompete the fish that appear to be their bigger, faster, smarter rivals. So how do they do it? Until now, scientists understood jellyfish movement this way: When a jellyfish contracts, it shoots out water from within the bell. Even to scientists, though, this explanation of how a jellyfish gets around has never been entirely satisfying. “It’s always been sort of counterintuitive,” says Brad Gemmell of the Marine Biological Laboratory at Woods Hole, Massachusetts. That’s far more efficient than any fish.

Secrets of the Brain Van Wedeen strokes his half-gray beard and leans toward his computer screen, scrolling through a cascade of files. We’re sitting in a windowless library, surrounded by speckled boxes of old letters, curling issues of scientific journals, and an old slide projector that no one has gotten around to throwing out. “It’ll take me a moment to locate your brain,” he says. On a hard drive Wedeen has stored hundreds of brains—exquisitely detailed 3-D images from monkeys, rats, and humans, including me. “We’ll hit all the tourist spots,” he promises, smiling. This is my second trip to the Martinos Center for Biomedical Imaging, located in a former ship-rope factory on Boston Harbor. The magnets that now surrounded me began to rumble and beep. I was submitting to this procedure as part of my cross-country reporting to chronicle one of the great scientific revolutions of our times: the stunning advances in understanding the workings of the human brain. “It’s all grids,” says Wedeen.

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