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Ce que liker veut dire

Ce que liker veut dire
(…) dans leur article présentant leur algorithme de sélection et d’agencement de pages web, le PageRank, les fondateurs de Google signalent « qu’une mesure objective de l’importance des citations correspond à l’idée subjective que les gens se font de cette importance ». Le lien – et le like – sont donc des moyens d’objectiver une appréciation subjective (une émotion pour l’un, une opinion pour l’autre) pour au final affecter le décompte à un document ou une personne. Dès lors que l’émotion est un input, il est possible de l’injecter dans tout l’écosystème serviciel de la plateforme. Dans cette lignée, Google a publié des brevets pour des fonctionnalités ou programmes faisant explicitement appel à la notion d’émotion. Le brevet intitulé « Method and system for tagging of content »[+] NoteUS 8306977 B1. [12] propose un ensemble de tags basés sur cinq émotions « universelles » afin de permettre à des usagers d’évaluer un contenu. (p. 44-45) [15]). Related:  Food for thoughtA trier

Facebook veut le bonheur, et l’argent du bonheur Le 1er novembre, l’entreprise Facebook a publié les résultats trimestriels de son activité économique. Comme chaque trimestre, un nouveau record est battu : 10 milliards de chiffre d’affaires en un seul trimestre ; rien qu’en publicité ! Ce genre de publication s’adresse principalement aux investisseurs, il s’accompagne d’ailleurs d’un temps d’échange entre le directoire de l’entreprise et les représentants de grands établissements financiers. Le but est de rassurer les actionnaires, avec moult précautions d’usage. En fait la stratégie première de Facebook et sa réaction aux « fake news » vont dans le même sens : il s’agit de cadrer la manière dont les publications peuvent affecter les usagers, et par ricochet les résultats économiques. Dans « Le Web affectif : une économie numérique des émotions », l’ouvrage que nous venons de publier chez INA Editions, nous parlons à ce sujet de stratégie affective, décomposée en cinq strates de circulation des affects. La minute Spinoza

Ethique et numérique Avec l’Inria et la Cerna, la Chaire du Collège des Bernardins L’humain au défi du numérique organise un colloque sur les interactions et les enrichissements mutuels entre éthique et monde numérique. Surveillance, Big data, objets connectés, robots, algorithmes, cybersécurité…ces dernières années, les questions éthiques ont plus que jamais rythmé la vie médiatique, qui s’est légitimement interrogée sur les transformations de la vie sociale et politique par la culture numérique. Car le numérique n’est pas qu’un assemblage technique et matériel, neutre et sans effet : on le sait maintenant, il reconfigure l’ensemble de nos pratiques, de nos savoirs, de nos sociétés comme de nos institutions. Les travaux académiques sensibles à ces sujets n’ont pas manqué d’interroger cette part culturelle et morale, en pointant par exemple le rôle des algorithmes et des concepteurs d’interface dans notre vie quotidienne et nos usages. Programme

GDPR : 6 Questions que vous devriez vous poser - AntemetA Mentions Légales Informations éditeurs et contacts Ce site Internet est édité et hébergé par ANTEMETA, SAS au capital de 5 500 000€. 5 rue Jacqueline Auriol 78280 Guyancourt – FRANCE Tél : 01 85 40 02 80 Le directeur de la publication est Stéphane BLANC. Modalités du site L’utilisation des services offerts par le site de ANTEMETA www.gdpr.fr implique l’acceptation de ce qui est exposé ci-dessous. Responsabilité ANTEMETA apporte le plus grand soin et met en œuvre tout moyen pour diffuser sur le site Internet www.gdpr.fr des informations de qualité. ANTEMETA ne peut toutefois pas garantir de manière absolue l’exactitude et l’exhaustivité de l’ensemble de ces informations. ANTEMETA ne représente pas, ne garantit pas, ne cautionne pas, ni ne détient aucune responsabilité sur des sites extérieurs pour lesquels il pourrait exister des liens depuis ce site ou vice-versa. Cookies Un cookie est un petit fichier texte enregistré par un site Web sur votre disque dur. Statistiques Web Copyright

INA - Qu'est-ce que le Digital Labor ? Par Antonio A. Casilli. « Le digital labor est avant tout un domaine derecherche universitaire en plein essor. Aux États-Unis, en 2009, « The Internet as playground and factory » a été la première conférence sur ce sujet (les actes ont été publiés en 2012 sous le titreDigital Labor. The Internet as playground and factory, sous la direction de Trebor Scholz[+] NoteTrebor SCHOLZ (dir.): Digital Labor :The Internet as Playground andFactory, New York, Routledge, 2012. [1]. [2], chercheur autrichien en activité en Angleterre. [3] et, en novembre 2014, la New Schoolde New York a accueilli un autre colloque sur lesujet : Digital Labor : Sweatshops, Picket Lines, Barricades[+] Note Voir le site web de la conférence [4]. Mais qu’est-ce que, finalement, le digital labor ? En revanche, nous devons nous situer en dehorsdes lieux classiques de la production, pour voirapparaître ce travail. Ce n’est, là, qu’un premier noyau de notre définition.

Facebook révèle toutes les données qu’il collecte sur vous, et la liste est longue, très longue Atlantico : À quel point la firme pourrait tirer des bénéfices de ces informations? Cela ne risque-t-il pas d'effrayer les utilisateurs ? David Fayon : Il s’agit d’une opération de communication pour montrer que le géant des réseaux sociaux est transparent et s’inscrit dans une opération gagnante avec les utilisateurs. La communication initiale a été faite voici 11 mois et les libellés des critères sont les mêmes. En effet, l’objectif affiché est d’avoir des publicités ciblées selon les goûts et les envies les moins intrusives possibles, de donner une valeur ajoutée à l’utilisateur, de lui faire gagner du temps et aussi de l’argent avec les meilleurs offres possibles de partenaires de Facebook, bref d’aller plus loin que les AdWords/AdSense de Google puisqu’il s’agit d’une dimension sociale sans commune mesure et que le temps moyen passé sur Facebook progresse au fil des ans. Le cap des 2 milliards de comptes a même été franchi. atlantico sur facebook notre compte twitter Je m'abonne

The Origin of Silicon Valley’s Dysfunctional Attitude Toward Hate Speech On January 30, 1989, an article appeared in the student-run Stanford Daily under the headline “Racial slurs cause University to shut down bulletin board.” The bulletin board in question, rec.humor.funny, was one of hundreds of so-called newsgroups—glorified mass e-mails organized around specific interests—that streamed onto the school’s computer terminals via Usenet, an early precursor to today’s Internet forums. Rec.humor.funny was conceived as a place to share jokes, many of them crude and off-color, and one in particular, the Daily explained, had caught the eye of Stanford’s nascent I.T. department. Though decidedly stale and not nearly as offensive as some of the other material in the newsgroup, it relied on ethnic stereotypes: “A Jew and a Scotsman have dinner. At the end of the dinner the Scotsman is heard to say, ‘I’ll pay.’ I.T. administrators soon decided to block the group. McCarthy never responded, directly or indirectly, to Brown, but others in his department did.

Qu'est-ce que la neutralité du Net ? Aux États-Unis, les autorités veulent changer le cadre réglementaire qui oblige les fournisseurs d'accès à traiter de façon égale tous les services en ligne. La neutralité du Net est un principe fondateur du web. Cinq questions pour comprendre cet enjeu et ce que cette décision pourrait concrètement changer. Après une décennie de bataille, la fin de la neutralité du Net pourrait être proche. Aux États-Unis, ce principe est dans le viseur de l'administration Trump. Il est pourtant défendu par des poids lourds de l'économie comme Google, Facebook, Twitter, Amazon, Mozilla, Spotify ou encore Netflix. Qu'appelle-t-on neutralité du Net ? La neutralité du net ou «network neutrality» a été inventée en 2003 par le juriste américain Tim Wu, dans la revue Journal of Telecommunications and High Technology Law. Ce principe de non-discrimination, de «neutralité du net» donc, est l'un des principes fondateurs d'Internet, issu des opinions très libérales et libertaires des premiers fondateurs.

Le piratage d’Equifax dû à une faille informatique non corrigée L’agence américaine de crédit Equifax a revu à la hausse, à 145,5 millions, le nombre de clients touchés aux Etats-Unis par un piratage de grande envergure. L’agence américaine d’analyse de crédit Equifax n’a pas corrigé une faille informatique, connue dès le mois de mars, qui a ensuite été utilisée par des pirates pour accéder aux données personnelles de quelque 145,5 millions d’Américains, a reconnu lundi 2 octobre l’ex-patron de l’entreprise. Lire aussi : Après un piratage massif, l’entreprise Equifax concentre les critiques Equifax a effectivement revu à la hausse le nombre de clients touchés aux Etats-Unis par ce piratage de grande envergure. « L’enquête, qui est terminée, a déterminé qu’environ 2,5 millions de clients américains supplémentaires ont été potentiellement touchés, soit un total de 145,5 millions » de personnes, a annoncé l’entreprise dans un communiqué lundi. Une faille invisible pour les systèmes internes M. La vente d’actions du groupe dans le viseur des enquêteurs

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