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Google crée un comité d'éthique pour son intelligence artificielle

Google crée un comité d'éthique pour son intelligence artificielle
Google Deepmind, la filiale d'Alphabet dédiée à l'intelligence artificielle, crée une équipe de recherche pour travailler aux côtés des ingénieurs et s'assurer que les progrès technologiques n'entraînent pas des dérives. Des risques pour l‘emploi en passant par la menace des armes autonomes ou des biais discriminants, les sujets polémiques liés à l'intelligence artificielle (IA) ne manquent pas. Deepmind, la filiale d'Alphabet dédiée à ce domaine, crée une unité consacrée aux questions éthiques et sociétales soulevées par l'intelligence artificielle, baptisée Deepmind Ethics and Society (DMES). Sa mission: «aider les ingénieurs à mettre en pratique l'éthique et à aider la société à anticiper et à diriger l'impact de l'IA afin qu'elle fonctionne au bénéfice de tous», explique la société sur son blog. Huit employés y seront dédiés à plein-temps, et 6 conseillers externes du milieu universitaire et du secteur caritatif apporteront leurs expertises bénévolement. Un questionnement mondial

http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2017/10/05/32001-20171005ARTFIG00278-google-dote-son-activite-intelligence-artificielle-d-une-unite-d-ethique.php

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Be Evil: Google accusé d'abuser de son pouvoir pour faire taire ses critiques « Don’t be evil. » Cette promesse faite par Google en l’an 2000, de gagner de l’argent sans vendre son âme au diable, a été depuis mise à rude épreuve. Valorisée à 650 milliards de dollars, l’entreprise californienne est aujourd’hui l’une des plus puissantes du monde. Et ces dernières semaines, plusieurs personnes l’accusent d’avoir utilisé son pouvoir pour faire taire des voix critiques. >> A lire aussi : L'inquiétante guerre des géants du Web contre les sites néonazis Prospectibles Intelligence artificielle : quels impacts sur l’économie et la société ? Les progrès de la recherche en intelligence artificielle en ont fait un sujet incontournable des tendances de la décennie actuelle. Annoncées depuis les années 1960, les avancées dans cette discipline complexe se sont confirmées depuis les années 2000, grâce, notamment, au ‘machine learning’ (apprentissage automatique : les machines ‘apprennent’ à partir des jeux de données qui leur sont proposés) et à son dernier développement le ‘deep learning’ qui s’appuie sur les ‘réseaux de neurones’ : des algorithmes de machine learning sont utilisés pour entraîner les couches profondes de réseaux de neurones. Plutôt que de modéliser de vastes quantités d’information (ex : calculer tous les coups possibles dans une partie d’échec), les réseaux de neurones apprennent tout seuls en digérant des millions de données (Maddyness). En Chine, la reconnaissance faciale est généralisée dans la vie quotidienne et le piéton qui traverse au feu rouge est vite repéré et sa photo affichée au carrefour !

Les neuf questions d’éthique majeures soulevées par l’IA Optimiser la logistique, détecter la fraude, produire des œuvres d'art, mener des recherches, traduire : les systèmes informatiques intelligents transforment nos vies pour le mieux. À mesure qu’ils deviennent plus performants, notre monde gagne en efficacité, et, par conséquent, s’enrichit. Des géants de la technologie comme Alphabet, Amazon, Facebook, IBM et Microsoft, ainsi que des personnalités comme Stephen Hawking et Elon Musk, croient de leur devoir d’alerter au sujet d’une intelligence artificielle qui serait sans limites. À bien des égards, il s’agit d’une nouvelle frontière, qui concerne tout autant l'éthique et l'évaluation des risques que les nouvelles technologies. Alors, quels sont les sujets qui troublent le sommeil des experts en intelligence artificielle ? 1.

Quelle liberté à l'ère Google ? L'histoire du jour En économie, le libéralisme est une doctrine qui défend la libre entreprise et la liberté du marché. Au sens politique, le libéralisme défend la démocratie politique et les libertés individuelles. La CNIL se prononce sur l'éthique des algorithmes et de l'intelligence artificielle Les algorithmes, des boîtes noires dont les enjeux nous dépassent ? La question se pose aujourd'hui au niveau national. Pas plus tard qu'en mai 2017, ils ont joué un rôle crucial dans l'élection présidentielle française, sous l'angle du big data et des réseaux sociaux. Ils interviennent aussi dans l'orientation de milliers de bacheliers, ainsi que l'a montré l'emblématique exemple d'Admission Post Bac (APB) en octobre 2016. La Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL), travaille depuis près d'un an à l'animation d'u débat public sur les enjeux éthiques des algorithmes et de l'intelligence artificielle (IA). Elle vient de rendre son rapport de synthèse, librement accessible en ligne, présenté le 15 décembre 2017 à Paris en présence de Mounir Mahjoubi, secrétaire d'État chargé du numérique, et Cédric Villani, député chargé d'une mission sur l'intelligence artificielle par le gouvernement.

Ethique et morale en Intelligence Artificielle : Un chantier d'avenir Faut-il interdir les robots tueurs, ces armes autonomes capables de fonctionner sans intervention humaine ? Les programmes militaires (en tout premier lieu la DARPA aux USA) se sont évidemment intéressés très tôt aux armes capables de fonctionner seules et dans un but originellement assez louable d’ailleurs : protéger du feux ses propres soldats. Ce sont ces organisations qui ont, les premières, développé ces nouveaux outils pour leur propre compte (on peut également penser, en vrac, au GPS, à internet, etc…). Aussi, dans les années 60, de vastes programmes gouvernementaux ont été des investisseurs phares (avant certaines désillusions) et ce, dès les premières heures de l’IA.

La Commission veut conjuguer intelligence artificielle et principes éthiques Un groupe d’experts européens se penche sur les défis éthiques posés par le développement de l’intelligence artificielle et ses conséquences sur les droits fondamentaux des citoyens de l’Union. Un article de notre partenaire, EuroEfe. La Commission a déclaré dans un communiqué qu’elle allait constituer un groupe d’experts, car « il y a lieu de lancer un large débat ouvert à tous sur les moyens de concilier réussite et éthique dans l’utilisation et le développement de l’intelligence artificielle ». L’exécutif a lancé l’appel à candidatures pour la participation à un groupe d’experts, qui sera clôturé le 9 avril prochain. Le groupe aura la mission d’élaborer une proposition de lignes directrices sur « des questions telles que l’équité, la sécurité, la transparence, l’avenir du travail, la démocratie et plus généralement l’impact de l’application de la Charte des droits fondamentaux ». La génération Y vénère robots et intelligence artificielle

Contenus haineux et fake news : Google fait le ménage dans son algo - ZDNet En décembre dernier, la presse britannique avait épinglé Google pour des résultats douteux. Ainsi, lors d'une requête en anglais "l'holocauste a-t-il eu lieu ?", c'est un site violemment négationniste, donc puni par la loi, qui remonte au premier rang sur pas moins 14 millions de réponses. Malaise voire scandale. Google met régulièrement en avant la pertinence de ses résultats et de fait, avec ce type de question, les seules réponses qui ont vocation à bien remonter sont celles des négationnistes ...

Je suis d'accord avec Alix (Degalbert_groupec), ces comités d'éthique sont assez paradoxale, comment être objectif quand on est le créateur de l'algorithme ou de l'intelligence artificielle et avoir un aspect éthique, c'est trop facile, on met le niveau de l'éthique à son bon vouloir. by julien_groupec Mar 19

Bonjour, Ce qui serait intéressant, c'est que cela aboutissent à des rapports publiés et libre d’accès. Houria Meddas by meddas_groupec Mar 19

Je me demande toujours ce que valent ces comités d'éthique qui sont juges et parties... Démarche intéressante en tout cas! by degalbert_groupec Mar 15

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