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Dépression et anxiété : les réseaux sociaux impactent le moral des jeunes

Les enfants et les ados sur les réseaux sociaux. Quels en sont les aspects positifs ? Les réseaux sociaux regorgent d’avantages dont les internautes, jeunes ou moins jeunes, peuvent tirer parti. Ils sont de véritables services de communication intégrés. Communication, divertissement, amis, groupes d’amis en fonction des centres d’intérêt, hobbies, échanges de photos et d’infos, planification d’évènements, activisme social sont l’apanage des réseaux sociaux. Et les risques dans tout ça ? Une utilisation intelligente des réseaux sociaux s’accompagne de vigilance, notamment sur les aspects suivant : Souvent, des jeunes indiquent inconsidérément dans leur profil des informations trop personnelles (nom, prénom, adresse, numéro de téléphone, etc.). Peut-on devenir accro à Facebook ? Bonne nouvelle : on ne devient pas physiquement accros aux réseaux sociaux. Les réseaux sociaux et le GSM… ça change quoi ? Ça va plus vite. Quelques chiffres comme points d’attention 1 profil sur 4 des utilisateurs mineurs belges de Facebook est accessible de tous.

Vidéo. Quel est l’impact des réseaux sociaux sur le moral des jeunes ? - Sud Ouest.fr Les yeux rivés sur leur smartphone, pianotant sans répit dans une lumière bleutée, ils tweetent, snapent, chattent. Nourrissent stories, feeds et chaînes, cumulent abonnés, followers ou amis, dans une frénésie de likes, retweets et notifications. Aujourd’hui, plus de neuf jeunes sur dix utilisent quotidiennement les réseaux sociaux. Parmi les plus fréquentés, Facebook, Instagram, mais aussi Twitter, Youtube, et le petit nouveau, Snapchat. Quel est l’impact réel de ces heures passées en ligne sur des adolescents en pleine construction identitaire ? Anxiété et dépression en hausse Deux faits inquiètent particulièrement les chercheurs : en 25 ans, les troubles de l’anxiété et la dépression auraient augmenté de 70%. "Les réseaux sociaux sont devenus un lieu dans lequel les relations naissent et se construisent, où l’identité se forge" L’enquête #StatusOfMind a été donc été menée par la Royal Society for Public Health et le Young Health Movement sur près de 1500 jeunes de 14 à 24 ans.

Instagram : un réseau social mauvais pour votre santé mentale Harcèlement, body shaming, manque de sommeil... Une étude publiée par la Royal Society for Public Health a permis d'établir un classement des 5 principaux réseaux sociaux en fonction de leur impact sur la santé mentale. Si pour certains, les réseaux sociaux ont révolutionné les habitudes et concouru à mieux échanger avec leurs amis, familles ou même des étrangers... les plus jeunes, eux, sont nés avec le social media. Ces nouveaux outils apparaissent comme des opportunités à saisir pour toujours plus d'innovation, de créativité ou d'apprentissage... mais qu'en est-il de leur impact sur la santé des millennials ? L'étude #StatusofMind de la Royal Society for Public Health répertorie les 5 réseaux sociaux impactant le plus la santé mentale des jeunes. YouTube, un effet positif sur la santé mentale des ados Peu de critères viennent égratigner l'image de la filiale de Google. Facebook et Twitter, un impact sur la santé relativement négatif Instagram est le mauvais élève de l'étude.

Solitude. Quand l'abus des réseaux sociaux aggrave le problème Passer plus de deux heures par jour sur les réseaux sociaux double chez les jeunes adultes le risque de souffrir d’un sentiment d’isolement, selon une étude publiée lundi par les chercheurs de la faculté de médecine de Pittsburgh en Pennsylvanie (États-Unis). Plus les jeunes adultes utilisent les réseaux sociaux, plus ils sont susceptibles de ressentir de la solitude. C’est la conclusion d’une étude menée par des chercheurs de la faculté de médecine de Pittsburgh, en Pennsylvanie (États-Unis). 11 médias sociaux passés au crible Pour parvenir à leurs conclusions, les chercheurs ont soumis en 2014 un questionnaire à 1 787 Américains âgés de 19 à 32 ans, concernant leur utilisation de 11 médias sociaux parmi les plus populaires. Bilan : « les personnes utilisant les réseaux sociaux plus de 2 heures par jour avaient deux fois plus de risques de se sentir isolées par rapport à ceux qui n’y consacraient pas plus d’une demi-heure au quotidien » rapportent les auteurs.

Réseaux sociaux : de nouveaux dangers pour nos enfants ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Olivier Dumons L'intégralité du débat avec Jacques Henno, auteur du livre Les 90 Questions que tous les parents se posent. Ganon : Pourquoi considérez-vous que ces réseaux puissent être un danger ? Bonjour. Ces réseaux peuvent être des dangers pour les enfants à deux titres : ils peuvent être abordés par des prédateurs sexuels, et ils peuvent être victimes de harcèlement (injures, photos obscènes...) de la part d'autres mineurs. Cela étant, ces réseaux constituent des outils intéressants pour se faire des amis, garder le contact avec des connaissances qui déménagent en France ou dans le monde. lebaro : Pourriez-vous lister les dangers que représentent les réseaux sociaux pour les enfants ? Premier danger : être victime d'un prédateur sexuel.Deuxième danger : le harcèlement de la part d'autres enfants. Le premier danger est réel, mais ne doit pas être exagéré. Le harcèlement : les réseaux sociaux permettent d'échanger des messages. Comment se protéger ?

Réseaux sociaux :: Jeunes et médias Férus de réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Snapchat, Google+, Netlog, Twitter, Tumblr, Pinterest, Flickr, etc., les jeunes y consacrent beaucoup de temps.80 % d’entre eux se rendent sur les réseaux sociaux tous les jours ou plusieurs fois par semaine (étude JAMES 2016). Les réseaux sociaux appartiennent à la génération du Web 2.0. Autrement dit, à la différence de l’Internet traditionnel, l’utilisateur n’est pas seulement consommateur, mais aussi acteur, puisqu’il crée du contenu (textes, vidéos ou photos). 94 % des jeunes ont un profil Les réseaux sociaux sont particulièrement appréciés parce qu’ils permettent de nouer des contacts aux quatre coins de la planète, de trouver des personnes partageant ses intérêts et de communiquer avec elles en temps réel.

Six ways social media negatively affects your mental health The rise of social media has meant that people are more connected than we have ever been in the history of time. But our reliance on social media can have a detrimental effect on our mental health, with the average Brit checking their phone as much as 28 times a day. While social media platforms can have their benefits, using them too frequently can make you feel increasingly unhappy and isolated in the long run. The constant barrage of perfectly filtered photos that appear on Instagram are bound to knock many people’s self-esteem, while obsessively checking your Twitter feed just before bed could be contributing towards poor quality of sleep. Here are six ways that social media could be negatively affecting your mental health without you even realising. Self-esteem We all have our fair share of insecurities, some that we speak about openly and others that we prefer to keep to ourselves. INDY/LIFE Newsletter Be inspired with the latest lifestyle trends every week Human connection Memory Sleep

Solitude : quand les réseaux sociaux aggravent le sentiment d’exclusion chez les jeunes Selon une étude publiée lundi par des chercheurs de la faculté de médecine de Pittsburgh en Pennsylvanie (Etats-Unis), passer plus de deux heures par jour sur les réseaux sociaux aggraverait le sentiment de solitude. Trop de temps sur les réseaux sociaux serait nocif pour les jeunes adultes : c’est en quelque sorte la conclusion d’une étude publiée par des chercheurs de la faculté de médecine de Pittsburgh en Pennsylvanie (Etats-Unis). « Il est important d’étudier ce phénomène car les problèmes de santé mentale et l’isolement arrivent à un niveau épidémique chez les jeunes adultes. », a déclaré dans la revue American Journal of Preventive Medicine Brian Primack, coauteur de l’étude. Et d’ajouter : « Nous sommes des êtres sociaux mais la vie moderne à tendance à nous compartimenter au lieu de nous réunir. Bien que les réseaux sociaux semblent, à première vue, offrir des opportunités pour combler un vide social (…) ils ne sont pas la solution que les gens espèrent. » Source : WordPress:

Les réseaux sociaux chez les 8 - 17 ans, quels risques ? La moitié des jeunes entre 8 et 17 ans sont connectés à un réseau social, le premier étant de loin Facebook, suivi par les Skyblog et Myspace. C'est ce que montre une enquête de juin 2011 réalisée par la Commission Nationale Informatique et Liberté (CNIL), l'Union Nationale des Associations Familiales (UNAF), Action innocence (Préserver la dignité et l'intégrité des enfants sur Internet) et la TNS Sofres. Même quand c'est interdit, ils y vont... Près de 20 % des moins de 13 ans sont connectés à Facebook... alors que c'est interdit. Les réseaux sociaux, est-ce pour les gosses de riches ? Pas du tout : 49 % des jeunes issus de milieu populaire sont sur les réseaux sociaux, alors qu'ils sont 44 % parmi les jeunes des populations aisées. Les réseaux sociaux, une agressivité présente ! On observe que 31 % des filles de plus de 13 ans affirment avoir déjà été victimes d'insultes, de mensonges ou de rumeurs. Trop de faux amis sur les réseaux sociaux ? Que faire pour les parents ?

Comment les adolescents utilisent les réseaux sociaux ? Les adolescents, qui intéressent beaucoup les marques pour leur qualité de consommateurs, ont une place très importante dans l’écosystème des réseaux sociaux. Quelles sont leurs habitudes ? Les ados et les réseaux : vaste sujet qui fait souvent polémique aussi bien sur les sujets négatifs tels que la vie privée, de l’âge auquel on les laisse y avoir accès, la cyberintimidation ect et d’un autre côté, l’enrichissement personnel, l’accessibilité à l’information, les échanges avec les autres. Tout le monde se pose beaucoup de questions, sans entrer dans la polémique, restons factuels avec quelques chiffres d’usage et une infographie très intéressante sur les habitudes des 13-19 ans sur les réseaux sociaux pour accompagner les analyses. 1/ Quel est le contenu qu’ils postent le plus souvent ? Il apparait que dans plus de 90% des cas, ils postent des photos d’eux-mêmes, j’ajouterai à ça bien sur les contenus vidéos. 2/ Les adolescents sont-ils soucieux de leur vie privée ?

Facebook Use Predicts Declines in Subjective Well-Being in Young Adults Abstract Over 500 million people interact daily with Facebook. Yet, whether Facebook use influences subjective well-being over time is unknown. We addressed this issue using experience-sampling, the most reliable method for measuring in-vivo behavior and psychological experience. We text-messaged people five times per day for two-weeks to examine how Facebook use influences the two components of subjective well-being: how people feel moment-to-moment and how satisfied they are with their lives. Our results indicate that Facebook use predicts negative shifts on both of these variables over time. Citation: Kross E, Verduyn P, Demiralp E, Park J, Lee DS, Lin N, et al. (2013) Facebook Use Predicts Declines in Subjective Well-Being in Young Adults. Editor: Cédric Sueur, Institut Pluridisciplinaire Hubert Curien, France Received: January 31, 2013; Accepted: June 12, 2013; Published: August 14, 2013 Copyright: © 2013 Kross et al. Funding: The authors have no support or funding to report.

Comment les réseaux sociaux peuvent isoler et affecter la santé mentale Encore une preuve qu’il vaudrait mieux que vous ne passiez pas toute votre vie en ligne. © Black Mirror, saison 3, épisode 1, Netflix. Les réseaux Facebook, Reddit, Twitter et Tumblr ont en commun d’avoir été conçus comme des plateformes permettant aux personnes d’entrer en contact (et ainsi d’éviter la solitude et l’isolement). Mais, plutôt que de nous transformer en êtres encore plus sociaux, ces réseaux semblent avoir fait de nous de nouveaux ermites, dont le niveau d’isolement social et les problèmes de santé mentale atteignent des "niveaux épidémiques". D’après une recherche récente, plus on passe de temps sur ces plateformes et plus on est susceptible de se sentir écarté de la société. Des réseaux anti(sociaux) Les personnes qui se rendent sur des sites comme Facebook ou Twitter 58 fois ou plus par semaine ont trois fois plus de risques de ressentir une forme de solitude que ceux qui les utilisent moins de neuf fois par semaine. Plusieurs théories tendent à expliquer ce phénomène.

Risques Online Social Networking and Addiction—A Review of the Psychological Literature 1. Introduction “I’m an addict. I just get lost in Facebook” replies a young mother when asked why she does not see herself able to help her daughter with her homework. The mass appeal of social networks on the Internet could potentially be a cause for concern, particularly when attending to the gradually increasing amounts of time people spend online [5]. Social Networking Sites are virtual communities where users can create individual public profiles, interact with real-life friends, and meet other people based on shared interests. In terms of SNS history, the first social networking site (SixDegrees) was launched in 1997, based on the idea that everybody is linked with everybody else via six degrees of separation [9], and initially referred to as the “small world problem” [11]. Egocentrism has been linked to Internet addiction [14]. A behavioral addiction such as SNS addiction may thus be seen from a biopsychosocial perspective [16]. 3. 3.1. 3.2. 3.3. 3.4. 3.5. 3.6. 4.

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