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BUZZEUM

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La modernité, c’est le bruit ? « Bertrand Calenge : carnet de no Dans ma quête des manichéismes opportuns (i.e. qui facilitent les postures), j’en ai encore trouvé un joli. Bon, il ne date pas d’hier, mais j’ai beaucoup de choses à faire et à penser, alors j’attends que mon cerveau ait fini ses triturations inconscientes avant de ressortir quelques réflexions que je vous livre. Le "coupable", c’est ce billet de Bibliobsession, qui évoquait il y a deux mois (oui, je sais, mon cerveau est lent…) une dimension des bibliothèques comme lieu possible de ‘déconnection’ et de retour sur ses pensées, bref d’utile redécouverte de l’intérêt de l’attention… L’hypothèse de Silvère est – je résume en espérant ne pas trahir – qu’un des intérêts de la bibliothèque peut justement être d’y savourer le confort d’un living-room studieux et que la déconnection (des réseaux) de certains espaces peut favoriser l’appétence de ceux qui, justement, recherchent ce type d’ambiance. Like this: J'aime chargement…

Le numérique transforme la visite des musées Parmi les nouveaux dispositifs, le musée a annoncé le remplacement de ses audioguides par des consoles de jeu Nintendo 3DS Lors d’une visite dans les jardins du château de Versailles, il ne faut plus s’agacer de voir les visiteurs l’œil rivé sur leur portable. Ils sont devenus les nouveaux outils de la médiation culturelle. Lorsqu’un badaud s’approche des fontaines du bosquet de la Colonnade, son smartphone, équipé de l’application idoine vibre, lui décrit virtuellement le réseau hydraulique souterrain, guidé en vidéo par le fontainier de Versailles.

Des podcasts du Louvre-Lens autour de l'exposition "Soleils noirs" L’exposition Soleils noirs est prolongée jusqu’au 25 janvier 2021 ! Poétique et sensorielle, l’exposition offre une rencontre inédite avec des chefs-d’œuvre de l’Histoire de l’art. Près de 75 ans après l’exposition mythique Le Noir est une couleur, le visiteur du Louvre-Lens est plongé dans l’observation fascinante de cette tonalité au symbolisme pluriel dans les arts occidentaux, de l’antiquité à nos jours. Couleur du paradoxe, le noir est-il une absence de lumière, un vide, une somme réjouissante de toutes les couleurs, un éblouissement ? D’emblée, l’exposition immerge le visiteur dans une expérience du noir familière grâce à une salle consacrée à l’un des phénomènes naturels du noir ayant le plus largement retenu l’attention des artistes : la nuit. Quand la nuit tombe, sublime, se lève une terrible beauté (Vernet, Deperthes), un monde sans limite paraît (Fontana).

Vive les bibliothèques sur Netvibes ! Netvibes June 19th 2009 at 06:52 PM Peut être l’ignorez vous mais les bibliothèques et médiathèques sont de grands utilisateurs de Netvibes ! Il nous semblait donc important de les mettre à l’honneur cette semaine. Le « musée-Légo » Le Musée-Légo est un musée ouvert et accessible de façon la plus disponible possible, adapté aux modes de vie des visiteurs. Un musée en réseau et multi-plateformes, présent là où les visiteurs et les communautés le sont (en ligne et hors ligne). Un musée ludique où la relation aux oeuvres est décomplexée et créative. Il n’est pas réservé à ceux qui “savent se tenir” sur le mode exclusif de la contemplation. Les modes d’accès à la connaissance et aux oeuvres par le mental, les émotions, les relations, le geste… sont multiples et adaptés aux envies des visiteurs.

Les oeuvres des musées français en accès libre et gratuit — Enseigner avec le numérique Images d'Art présente les œuvres des musées français numérisées et documentées par l’Agence photographique de la Réunion des musées nationaux - Grand-Palais (Rmn-GP, structure née en 2010). Plusieurs milliers de reproductions sont actuellement disponibles comme l'Olympia d'Édouard Manet ou Le radeau de la Méduse de Théodore Géricault. Cette base affiche dès sa page d'accueil un défilement vertical d'images sélectionnées au hasard. Cependant, au lieu du parcours aléatoire, l'internaute peut tout à fait lancer une recherche plus précise, soit en utilisant le moteur de recherche général, soit en accédant aux cinq champs proposés (auteur, période, musée, technique, couleur dominante) par simple furetage ou recherche interne au sein de ladite catégorie. Chaque reproduction numérisée fait l'objet d'une présentation enrichie : notice descriptive, outils de partage et de téléchargement, vignettes de détail, suggestions d'œuvres, mots-clefs, liens hypertextes externes. Réseaux et médias sociaux

Kit de démarrage du #muséogeek Je reçois souvent des demandes d’étudiants en histoire de l’art, en muséologie, en communication, parfois même en marketing pour relire leur note d’intention ou leur mémoire – encore plus depuis que j’ai commencé à travailler pour le musée du quai Branly. Et tout comme des professionnels, des étudiants, des mentors m’ont aidé il n’y a pas si longtemps, je fais de mon mieux pour les aider. Aussi, j’ai pensé que le plus simple serait encore de rassembler quelques ressources qui me semblent fondamentales pour aborder le numérique au musée. C’est donc une approche très généraliste, non spécialisée que je propose ici. N’hésitez pas à en proposer d’autres en complément dans les commentaires.

Quand la muséologie prend tout son sens : les dispositifs olfactifs au musée. PrésentationFidèle à ses origines occidentales, l’institution muséale s’est historiquement construite autour de l’oeil. Jusqu’à présent, curieux, flâneur, amateur et expert venaient au musée pour « voir » les oeuvres. Toutefois, si les années 1960 datent l’entrée du marketing au sein des musées, Lipovetsky reconnait dans l’hypermodernité de laconsommation contemporaine, la source d’une demande toujours plus grande de pratiques engageant des plaisirs sensitifs, émotionnels et en conséquence, des dispositifs capables de les susciter. Demande à laquelle les musées s’adaptent. La 4ème journée d’étude des doctorants en muséologie de la Sorbonne Nouvelle propose de questionner la place des dispositifs olfactifs au sein de l’institution muséale. Peut-on parler d’un phénomène tendanciel ?

Faut-il "flipper" ? Flipping Classroom On parle de tectonique des plaques, de tremblement de territoires, de changement de paradigme, de grand switch dans l'organisation de nos sociétés et voici que l'univers bien clos de la classe (n'évoquait-on pas en France il n'y a pas si longtemps une école sanctuaire construite sur des fondamentaux ?) se renverse avec ce « nouveau » concept de « Flipping class ». Vraiment si renversant ? Pour de nombreux enseignants la notion n'a rien de bien nouveau : afin d'échapper à la « leçon » magistrale, ou ce qu'on appelle la lecture en université, il y a mille façons de mettre en activité un groupe d'élèves ou d'étudiants : recherches en bibliothèque ou sur internet, projets, discussions, travail en ateliers à partir de documents de tous types qui peuvent avoir été consultés préalablement à la séance. Le travail en amont, avant d'arriver en cours, s'il n'est pas très familier en France est plus courant dans les pays anglo-saxons.

Les plus belles expos virtuelles pour se cultiver depuis chez soi 1. Une perle de plateforme signée Google Outre ses colossales collections virtuelles d’œuvres (parfois en gigapixels !), la plateforme Google Arts & Culture propose d’excellents dossiers aux contenus scientifiques de qualité. Qu'est-ce que la classe inversée ? Depuis 2012, les expériences de classe inversée se multiplient et sont de plus en plus médiatisées. Née outre-Atlantique en 2004, la pédagogie inversée a été popularisée deux ans plus tard par Salman Khan et son académie virtuelle dont le principe est de « fournir un enseignement de grande qualité à tous, partout » en publiant sur le web des mini-leçons gratuites et stockées sur YouTube. L’objectif de Salman Khan est d’utiliser les vidéos pour réinventer l’éducation.

Le rôle de l’enseignant évolue (page précédente) Il y a plusieurs années, un enseignant qui utilisait le projecteur à acétate réussissait à capter l’attention de sa classe. Ensuite, quelques enseignants ont osé utiliser un ordinateur en classe et projeter du matériel sur un écran blanc. C’était la belle époque des PowerPoint.

Dont le sous-titre est « une nouvelle manière de vivre les musées ». Buzzeum est une entreprise proposant des services en lien avec les musées et les nouveaux usages attachés à ce thème, qui aide ses clients à mener à bien des projets de communication et stratégie culturelle numérique. Il s’agit d’un site professionnel qui met en avant les projets réalisés par l’entreprise mais aussi d’un site groupant des liens vers un blog proposant une veille détaillée sur le sujet. Un site excellent pour se tenir aux courants de ce qui se fait mais aussi de l’impact professionnel qu’ont ses nouveaux usages. by clarmign Dec 18

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