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La mémoire de Silence

Une définition du livre « amontour En écho à ce qu’écrit François Bon qui relaie la définition d’Alain Pierrot et de Jean Sarzana, livre_numerique, publié par Livres-Hebdo vendredi dernier, et qui y répond, ma pierre au moulin. Un extrait de ce que j’ai écrit dans le rapport après avoir lu cette définition et celle que donnait François le 6 août, mais qui peut être augmenté de vos réactions et commentaires. Qui, de mon côté, depuis, s’est développé vers une amorce de réflexion autour du texte, et du livre, l’un et l’autre n’ayant pas les mêmes valeurs. Extraits Mais d’abord, qu’est-ce que lire? En effet si, de manière générale, les grands lecteurs lisent moins de livres que leurs parents, et plus que leurs enfants, c’est sans doute que l’offre culturelle s’est diversifiée (bien que ceux qui vont au théâtre, au concert, au musée et au cinéma sont aussi ceux qui lisent le plus), mais surtout, peut-être, que l’ensemble de l’offre éditoriale ne s’est pas encore adaptée à son époque. 3.3.2. Like this: J'aime chargement…

La bibliothèque apprivoisée Bibliomancienne y a-t-il une frontière livre dans le numérique accès direct au texte inro du 24/11Les débats les plus riches ne sont pas forcément les plus apparents dans la vaste surface agitée d’Internet. Ainsi, cette réflexion Qu’est-ce que le livre numérique ? à l’initiative de deux personnalités de la réflexion numérique, Alain Pierrot et Jean Sarzana [1], qui vient d’être publiée dans la partie abonnés de Livres Hebdo. Ce texte est appelé à nourrir d’autres contributions web, et c’est à la demande expresse des auteurs (qui nous ont transmis le fichier dans ce but) que nous le mettons ici à disposition, pour large discussion. Et si c’était le prédicat, Alain, qu’il fallait changer ? 2 _ signaler la prolongation du débat sur le site de Constance Krebs, à mon tour, avec un déplacement de la question qui représenterait un troisième prédicat par rapport à celui d’Alain (le livre) et le mien (les usages web) : appui sur la lecture au sens de production de sens. François Bon | Avons-nous besoin d’une définition du livre ? Prendre écart. On en est là.

Le dictionnaire du diable des bibloithèques ceci est-il un livre ? note du 14 avril 2012 Bien sûr, en 3 ans, qu’est-ce qu’on a avancé... Et, encore hier, je regardais comment Gwen se débrouillait des nouvelles normes iTunes pour le balisage des vidéos dans nos epubs, on est passé à nouvelle époque. La revue D’Ici Là (lien vers le n° 8, le plus récent), en témoigne admirablement. En même temps, la notion même d’objet continue d’évoluer : l’objet-lecture en tant qu’il est proposition ou contrainte ou ouverture de temps, et de laisser le lecture maître de cette installation du temps. Ces jours-ci, je reviens à ces outils texte/images dont nous avons besoin pour la scène, l’accompagnement de la voix haute, et la possibilité de les enclore en boucle dans des dispositifs de diffusion. note du 6 août 2009Il y a un an jour pour jour, après un séjour en Sicile, je mettais en ligne cette vidéo et ces notes, un débat bien riche s’en est suivi pour notre petit noyau de webeux de la mutation-livre. Et ça influe aussi sur l’idée du site.

Information literacy, documentation, CDI, Desperate Librarian Housewife Réflexion autour du livre et de l'oeuvre numérique - Aldus - dep "Texte envoyé par Alain Pierrot et Jean Sarzana (merci à eux):" La réflexion sur l’œuvre numérique en général, et sur sa définition en particulier, occupe les esprits depuis plusieurs mois dans le monde du livre. Il est en effet légitime de bien s’entendre sur ce dont on parle, pour mettre les notions nouvelles en perspective avec les anciennes, en termes de droit comme en termes de marché. Mais depuis longtemps le livre couvre des champs multiples, il se révèle étonnamment flexible, et de surcroît sa matière est en mutation. C’est dire combien l’exercice s’avère délicat. Récemment, le SNE a apporté sa contribution à la réflexion collective sur ce thème dans le cadre de la commission dite post-Patino. La première s’attache à cerner le champ du livre en tant qu’œuvre incorporelle, indépendamment de son support, qu’il soit imprimé ou numérique. La seconde approche, plus factuelle, porte sur les attributs du livre imprimé et propose un essai de typologie primaire de l’œuvre numérique. A. B.

Planet Biblio Livre ou pas livre ? Pour moi, clairement, le document que François Bon présente ici n’est pas un livre. Si c’était le cas, deviendraient des livres quantité d’objets audio-visuels, dont jusqu’à présent personne n’a pensé un instant qu’ils étaient des livres. Pourquoi la question se pose-t-elle aujourd’hui ? Même les livres numérisés, objets dérivés des livres publiés initialement sous forme imprimés, seront probablement très vite de plus en plus différents de la version imprimée : on souhaitera leur adjoindre les commodités permises par leur nouveau statut d’objet numérique, interactivité, adjonction d’éléments multimédias, possibilités de recherche, possibilités d’annotation, voire lectures collaboratives. Il y a déjà des déplacements qui s’effectuent, entre par exemple le livre et le jeu vidéo. C’est aussi du côté des arts numériques que pourront se tourner ceux des auteurs qui apprivoisent les outils numériques.

Le nombril de Belle Beille

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