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Louis XVI de France

Louis XVI de France
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les exigences du tiers état et la révolte du peuple provoquent la Révolution française qui transforme le rôle politique du roi et le système de gouvernement de la France en mettant fin à la monarchie absolue de droit divin. Dans un premier temps, le roi Louis XVI accepte de devenir un monarque constitutionnel, mais en butte à une opposition de plus en plus hostile et après avoir tenté de quitter Paris où il avait été conduit sous la contrainte populaire, il contribue au déclenchement d'une guerre entre les monarchies absolues et les révolutionnaires. La progression des armées étrangères et monarchistes vers Paris provoque son renversement, le 10 août 1792, par les sections républicaines: la monarchie est abolie le 21 septembre. Naissance Louis-Auguste[1] de France naît au château de Versailles le à 6 h 24 du matin[2]. Jeunesse (1754-1774) Dans l'ombre du duc de Bourgogne

États généraux (France) Dans le système politique du royaume de France, les états généraux du royaume (ou états généraux) étaient une assemblée réunissant les trois ordres (les états) de la société : la noblesse, le clergé et le tiers état. Ils étaient convoqués, sur ordre du roi, dans des circonstances exceptionnelles (crise politique ou financière, guerre ou question diplomatique majeure). Cette assemblée était, entre autres, seule habilitée à réformer la fiscalité générale ou, dans une moindre mesure, à statuer sur des problèmes dynastiques, en vue de traiter la crise rencontrée. Cette sorte d'assemblée « nationale » avant l'heure est fondée sur les lois fondamentales du royaume de France selon lesquelles : les peuples de France ne sont pas tributaires mais libres ; aucune contribution ne peut être exigée d'eux sans leur consentement ;le gouvernement du roi se fait toujours par conseils (les états généraux étant le conseil le plus large qu'un souverain puisse réunir autour de lui).

Le Directoire ou la république à bout de souffle L'HISTOIRE : Les 18 et 19 brumaire an VIII, ou 9-10 novembre 1799, le Directoire s'effondre, quasiment sans violence. Comment en est-on arrivé à cette « autodestruction » du régime ? ROGER DUPUY : Le Directoire est le produit d'un refus, le refus de la dictature robespierriste, à laquelle on a mis fin en Thermidor. L'HISTOIRE : Ce régime conçu pour éviter le retour à la dictature va se révéler très instable ? ROGER DUPUY : Totalement ingérable. L'HISTOIRE : Qui vote ? ROGER DUPUY : Suffrage universel, masculin, à deux étages. L'HISTOIRE : On élit donc des notables ? ROGER DUPUY : Des notables plutôt aisés qui, grâce à leur clientèle, cherchent à se faire élire au sein de ces petites assemblées électorales divisées par des clans. C'est cela qu'il faut comprendre : dès 1795, le Directoire impose sa politique par un coup d'État* contre l'ensemble des citoyens électeurs ; il est d'emblée illégitime. L'HISTOIRE : Ce qui fait contraste avec la vertu révolutionnaire... ROGER DUPUY : Bien sûr.

Sabine Blanc – Lobby mâle-machine Les Trophées de la sécurité privée font partie de ces événements où un microcosme se donne à voir sans complexe, à tu et à toi. Je me suis glissée lundi soir à leur huitième édition, qui avait lieu au Casino de Paris. Le milieu de la sécurité privée est très hétérogène, du petit vigile de supermarché payé au lance-pierre au directeur de sécurité d’un grand groupe. Ce soir, l’ambiance était plutôt haut-de-gamme. Une exception : la musique qui rappelait les pires heures d’un mariage de cousin lointain : Le Freak, c’est chic, Barry White, BO de Pulp fiction, Rita Mitsouko, en musique d’annonce, soulignée par des jeux de spots. La soirée comptait dans ses sponsors et partenaires les poids lourds habituels du secteur : syndicats patronaux siégeant au collège du Cnaps, un tout nouvel organisme mixte chargé de réguler la profession : USP, SNES, GPMSE... ; directeurs de sûreté/sécurité : CDSE, ARSIS... ; des boîtes : Veolia, Siemens... Présence du délégué interministériel à la sécurité privée

Les Marchands de peur (Mathieu Rigouste) // Les éditions Libertalia La bande à Bauer et l’idéologie sécuritaire La peur est un outil politique fondamental pour les classes dominantes. Transformée en marchandise, elle constitue le secteur d’activité d’idéologues organisés pour vendre ces produits aux gouvernements et aux complexes industriels. En France, la bande à Alain Bauer constitue la manifestation la plus exemplaire de cette collaboration intensive entre éléments de la classe politique, de la police, de l’armée, de l’industrie, de l’Université et des grands médias. En étudiant cette bande et ses réseaux, leur positionnement dans le champ de la production du contrôle, ce qu’ils disent et font, leur histoire, leurs profits et leurs stratégies, l’auteur met à disposition des cartes et des outils pour attaquer la dimension idéologique des sociétés de contrôle. L’auteur Mathieu Rigouste est chercheur en sciences sociales, rattaché à l’université Paris-VIII. Deuxième édition, mai 2013 Ajout d’une postface inédite de l’auteur (téléchargeable ci-contre).

Chronologie de la Révolution française et du premier Empire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La chronologie de la Révolution française et du premier Empire retrace la succession des évènements, des batailles et guerres de la Révolution française et des napoléoniennes (1790-1815). La Révolution française et le Premier Empire ont entraîné la formation de plusieurs coalitions lors des guerres contre la France entre 1789 et 1815 : Constituante (1789-1791)[modifier | modifier le code] 1789[modifier | modifier le code] 5 mai : ouverture des États généraux à Versailles dans la salle des Menus Plaisirs.1er juillet : par ordre du Roi, des troupes se rassemblent à Paris.4 août : abolition des privilèges et du système féodal.2 novembre : nationalisation des biens du clergé. 1790[modifier | modifier le code] 1791[modifier | modifier le code] 1791[modifier | modifier le code] 12 décembre-2 janvier : discours de Robespierre contre la guerre 1792[modifier | modifier le code] 1792[modifier | modifier le code] 1793[modifier | modifier le code]

Révolution française 1789-1799 Ensemble des mouvements révolutionnaires qui mirent fin en France à l'Ancien Régime. Introduction 1789 a ébranlé l'Europe et le monde. La Révolution de 1789 n'apparaît pas par hasard. C'est en fonction de ces opinions préétablies que les observateurs ont jugé les événements de 1789. Le rejet de la Révolution n'a pas été moins fort de la part de nombreux Français « émigrés » de l'intérieur ou de l'étranger : nobles et membres du clergé, mais aussi toute une partie de la population qui a pris peur ou s'est sentie persécutée. La réalité de la Révolution n'est ni toute blanche, ni toute noire : la fin de l'année 1794, par exemple, voit des révolutionnaires disqualifiés depuis quelques mois reprendre le pouvoir, envoyer les plus radicaux à la guillotine et nouer des contacts avec certains extrémistes comme avec des modérés, voire des royalistes. À propos de ces temps d'extrême tension, tous les arguments, toutes les condamnations ne sauraient être adoptés sans précaution par l'historien. 1.

La chute de la royauté Contexte historique A l’été 1792, les conflits intérieurs s’aggravent avec les défaites militaires : l’Assemblée crée un camp des Fédérés près de Paris. Le roi y oppose son véto et ne cède pas à la pression populaire. Analyse de l'image Cette composition présentée au Salon de 1793 représente la cour du Carrousel où se tient le combat opposant les Sections aux gardes suisses. Interprétation Lors du concours de peinture de l’an II de la République, cinq artistes présentèrent des esquisses représentant l’assaut des Tuileries.

La condamnation de Louis XVI Contexte historique Le procès de Louis XVI A la suite de l’insurrection du 10 août 1792, le roi, dont le pouvoir est suspendu, est incarcéré avec sa famille à la prison du Temple. Analyse de l'image Les votes des députés de Paris sur la sentence Sur une page d’un cahier de 17 feuillets manuscrits, de 35 sur 24 cm, figure une partie de la liste des députés appelés à se prononcer les 16 et 17 janvier 1793 sur la sentence de condamnation de Louis XVI. Sur la dernière page est portée l’inscription suivante : « L’Assemblée a reçu la déclaration que lui ont faite tous ceux de ses membres qui n’ont pas voté pour la peine de mort ou qui y ont attaché une condition, qu’ils s’étaient déterminés à voter comme législateurs et non comme juges et qu’ils n’avaient entendu prendre qu’une mesure de sûreté générale. » Interprétation Qui vote la mort du roi ? A côté des sentences de mort, on note d’autres choix, plus modérés : la détention jusqu'à la paix, suivie du bannissement.

La Liberté guidant le peuple d'Eugène Delacroix Contexte historique Charles X, et son impopulaire ministre, le prince de Polignac, remettent en cause les acquis de la Révolution. L’opposition libérale, par le biais du journal Le National, prépare son remplacement par le duc Louis-Philippe d’Orléans. A la session de la Chambre le 2 mars 1830, Charles X menace de sévir. Analyse de l'image Achevé en décembre, le tableau est exposé au Salon de mai 1831. C’est l’assaut final. L’action s’élève en pyramide, selon deux plans : figures horizontales à la base et verticales, gros plan faisant saillie sur le fond flou. La liberté Elle remplace d’Arcole. Les gamins de Paris Ils se sont engagés spontanément dans le combat. L’homme au béret Il porte la cocarde blanche des monarchistes et le nœud de ruban rouge des libéraux. L’homme au chapeau haut de forme, à genoux Est-ce un bourgeois ou un citadin à la mode ? L’homme au foulard noué sur la tête Avec sa blouse bleue et sa ceinture de flanelle rouge de paysan, il est temporairement employé à Paris.

L'exécution de Marie-Antoinette Contexte historique Depuis sa fuite et son arrestation à Varennes en juin 1791, le sort de la famille royale était en suspens. La journée insurrectionnelle du 10 août 1792 allait sceller tragiquement son avenir. Louis XVI, reconnu coupable d’intelligence avec les puissances étrangères, est exécuté le 21 janvier 1793. Enfermée à la prison du Temple avec ses enfants et sa belle-sœur, Marie-Antoinette redoute ce qui l’attend, même si pendant le procès du roi le sort des autres membres de la famille royale n’a pas été envisagé. Alors que les difficultés intérieures et extérieures menacent de renverser la jeune République, Marie-Antoinette, symbole de l’Ancien Régime et incarnation du mal pour une Révolution tentant d’édifier une ère nouvelle, est transférée à la Conciergerie. Analyse de l'image Marie-Antoinette apparaît au centre du tableau dans un déshabillé de piqué blanc et coiffée d’un petit bonnet de linon. Interprétation

Le serment du jeu de paume – Jacques Louis David - Au Sarrussophone La Révolution Française connaît le 20 juin 1789 une épreuve de force, véritable acte de courage politique : le serment du jeu de paume. Pour commémorer cet évènement, une souscription est peu après organisée par le club des Jacobins pour un tableau dont la réalisation est confiée à David. Seule une esquisse sera achevée en 1793, à une période où d’autres bouleversements ont déjà eu lieu et, pour cette raison et d’autres, le peintre ne terminera jamais cette œuvre. Etude de personnages Le peuple - observant la scène depuis les deux galeries surplombant la salle du jeu de paume - souffle un vent de liberté vers ses représentants, les rideaux se soulèvent. (1 et 2) Il règne une ferveur quasi religieuse. Jean François Marie Goupillau de Fontenay, bien que malade, est présent assis sur une chaise. (4) Le juriste et journaliste Bertrand de Barère prend des notes pour un article à paraître dans ‘Le point du jour’. (5) Michel René Maupetit semble égaré, cet évènement le dépasse t-il ?

Les signataires du serment du Jeu de paume Contexte historique Un acte de courage politique accompli dans des conditions de fortune 17 juin 1789, face à l’inertie générale, les députés du Tiers Etat aux Etats généraux se constituent, en Assemblée nationale. La majorité du clergé vote, le 19, sa réunion au Tiers. Le roi qui ne veut pas reconnaître ces mesures prescrit la fermeture de la salle où le Tiers se rassemble. La situation n’est pas alors sans danger pour les députés qui bravent la volonté royale à quelques pas du fastueux palais de Versailles. La réunion suivante de l’Assemblée nationale qui se tient deux jours plus tard dans l’église Saint-Louis de Versailles voit l’amorce du rassemblement des trois ordres : une députation de la majorité du Clergé et deux nobles viennent se joindre au Tiers. Analyse des images Des députés unis et solidaires au-delà de leurs différences Les gestes des participants convergent vers Bailly, en une composition symétrique. Au centre, trois personnages s’étreignent.

Sur YouTube, l’étonnant carton post-mortem d’un historien oublié C’est une des magies d’Internet. Un historien décédé en 1992, lointain souvenir des baby-boomers et inconnu des jeunes générations, fait un carton sur YouTube. Mises en ligne il y a juste trois ans, les conférences d’Henri Guillemin atteignent des dizaines voire des centaines de milliers de vues, soit plus de quatre millions de vues pour ses quatre principales chaînes. L’étendue des sujets traités impressionne : de la Révolution française à la Seconde Guerre mondiale en passant par une étude exhaustive du XIXe siècle avec des incursions jusqu’à Jeanne d’Arc, Léon Tolstoï et ou les révolutionnaires russes (Lénine, Staline). Comment expliquer ce succès post-mortem sur Internet ? L’homme seul, assis à son bureau A l’heure des formats courts et des temps de paroles réduits, ses conférences télévisées, diffusées principalement dans les années 60, mettent en scène un homme seul, assis à son bureau, dans un cadre minimaliste et s’adressant directement à la caméra. xXxEdithPiafxXx, juillet 2012

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