NASA Indoor Plants TrichloroethyleneRemovedfromaSealedExperimentalChamberbyHouseplantsDuringa24-hExposurePeriod.............................. BenzeneRemovedfromaSealedExperimental Chamber byHouseplantsDuringa24-hExposurePeriod..............................10 FormaldehydeRemovedfromaSealedExperimentalChamberbyHouseplantsandSoilDuringa24-hExposurePeriod......................11 o ChemicalsRemovedbyHouseplantsfromaSealedExperimental Duringa24-hExposurePeriod..........................................12 BenzeneRemovedfromaSealedExperimentalChamberbyHouseplantsDuringa24-hExposurePeriod..........................................12 TrichloroethyleneRemovalfromaSealedExperimentalChamberbyHouseplantsDuringa24-hExposurePeriod..............................13 BenzeneRemovalfromaSealedExperimentalChamberbyHouseplantsinPottingSoilandtheSamePottingSoilafterRemovingAllPlantFoliageDuring24-hExposurePeriods.................14 iv
Les CPIE mettent en place des Observatoires locaux de la biodiversité® en partenariat avec le Muséum national d'Histoire naturelle - Plateforme du réseau des CPIE Les CPIE allient leurs compétences naturalistes et pédagogiques en faveur de la connaissance et de la préservation de la biodiversité. Ils participent ainsi à la mise en œuvre de la Stratégie nationale de la biodiversité. Dénommée Observatoire Local de la Biodiversité®, cette démarche CPIE vise à renforcer la connaissance du territoire grâce à la collecte de données scientifiques (inventaires naturalistes, suivis d’espèces ou groupes d’espèces), tout en sensibilisant la population locale à la préservation de la biodiversité et en l’impliquant dans les observations. Par sa dimension scientifique, la démarche contribue aux recueils de données, notamment menés sous l’égide du Muséum national d’Histoire naturelle, avec qui l’Union nationale des CPIE a conventionné. Par sa dimension participative, la démarche suscite l’envie d’agir et permet à tout citoyen de devenir acteur du maintien de la biodiversité. Les premiers marquages ont été attribués aux opérations : « Un Dragon !
ADEME - Observatoire des flux de fluides frigorigènes Qualité de l’air intérieur: des mesures en bureaux montrent l’inefficacité des plantes - Santé © inddigo 54 plantes ont été installées dans 8 des 16 bureaux toulousains de la société Inddigo Afin de mesurer in situ l’efficacité de plantes en pot, une expérimentation d’un an a été menée entre juin 2010 et juin 2011, dans les bureaux d’Inddigo, entreprise de conseil en développement durable. Cette étude semble confirmer celles déjà réalisées sur le sujet : « les plantes chez soi, c’est juste pour faire beau ». En juin 2010, 54 plantes ont été installées dans 8 des 16 bureaux toulousains de la société Inddigo. La Lune Verte, entreprise de paysagistes d'intérieur, a accompagné la conception, la mise en place et l'entretien des plantes. Inddigo, accompagné de Damien Cuny, pilote du programme national PHYTAIR, a mesuré l'évolution de la concentration de 28 polluants, dans les bureaux végétalisés et ceux sans plantes, lors des 4 campagnes, repartis sur un an. © DR Les concentrations moyennes de 4 composants appartenant au COV.
Les mesures pour améliorer la qualité de l’air intérieur sont entrées en vigueur - Hygiène / propreté La mauvaise qualité de l’air, en plus des dangers qu’elle fait courir à la population, couterait, selon des sources gouvernementales, entre 10 et 40 Md€ par an. La qualité de l’air intérieur est donc au cœur des préoccupations. Preuve en est la parution de deux décrets : le premier concernant une nouvelle étiquette sur le niveau de COV obligatoire sur les produits de construction et de décoration ; le second relatif à l'évaluation des moyens d'aération et à la mesure des polluants effectuées au titre de la surveillance de la qualité de l'air intérieur de certains établissements recevant du public. Nouvelle étiquette environnementale sur les niveaux d'émissions de COV (composés organiques volatils) Très attendue par les professionnels de la santé et défenseurs de l’environnement, mais aussi par les consommateurs et les fabricants, elle est obligatoire sur tous les produits de construction et de décoration depuis le 1er janvier 2012. Objectifs de ce nouvel étiquetage : Comment ça fonctionne :
Plantes dépolluantes : un point final sur leur efficacité Le 14/11/12 par Vincent.F Les résultats d’une expérience menée par une société de conseil en développement durable viennent ébrécher l’aura commerciale des plantes dites « dépolluantes ». En 2004, l’ADEME mène une expérience avec le programme PHYTAIR, afin d’étudier la phytoépuration de l’air par les plantes en pot. L’étude révèle que les végétaux sélectionnés possèdent des capacités d’épuration, mais reste à vérifier leur efficacité à purifier l’air intérieur pollué par les COV (composés organiques volatils), tels que le toluène (présent dans les produits détergents, le plastique, les encres) le benzène (présent dans les solvants), le trichloéthylène (présent dans les peintures et solvants), et bien d’autres. Entre temps, les plantes dépolluantes sont devenues un phénomène de mode, peut être un peu retombé aujourd’hui mais elles ont gagné leur place dans le paradigme de la vie saine et écologique. Inddigo met ses bureaux à l’épreuve et constate les résultats : 2010. En savoir plus :
Observatoire Participatif des Vers de Terre EcobioSoil - Université Rennes 1 ; Natacha Delaveau, Muriel Guernion, Daniel Cluzeau Cet observatoire propose une méthode simplifiée d’observation et de comptage des vers de terre. En s’adressant à toutes les personnes volontaires pour l’observation de ces magroorganismes du sol, il va permettre de rassembler et d’analyser les observations collectées au niveau national. Cette démarche est réalisée par l’Observatoire de Rennes (OSUR CNRS) et se fait en collaboration avec le Muséum National d’Histoire Naturelle (CERSP, UMR 7204) dans le cadre d’un projet d’observatoire de la biodiversité ordinaire en milieu agricole. L’Observatoire Participatif des Vers de Terre a pour objectifs de : proposer un outil d’évaluation simplifiée de la biodiversité animale à l’aide des vers de terre dans les sols agricoles ou naturels établir progressivement des référentiels de ces macroorganismes du sol grâce à la participation du plus grand nombre de personnes.
Qualité d’air : les bases, le CO2 et les odeurs Par Roger CADIERGUES – Consultant et Ancien directeur général du COSTIC La qualité d'air intérieur ou QAI deviendra certainement un critère de performance environnemental. Aussi, pour bien comprendre les bases et les liens avec la ventilation, distinguer les différents types de polluants, cette chronique s'attache à dresser un cadre technique et réglementaire de référence. Le dossier QUALITE D'AIR INTERIEUR est traité en deux parties. Ici les 3 chapitres : La qualité de l'air : les bases – Le dioxyde de carbone (CO2) – Les odeurs. L'autre partie intitulée « Qualité d'air : les polluants gazeux, les particules, la radioactivité et le radon » étant traitée à la suite. Téléchargez le PDF de 32 pages La qualité de l'air N'hésitez pas à « blogger » et à donner commentaires et appréciation en fin de page et bonne lecture ! Une confusion fréquente Il est très fréquent que l'on confonde les deux termes «ventilation» et «qualité de l'air». 1. 2. 3. 2. I. II. III. Art. II. 1. 2.