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Qu'est-ce qu'un ransomware ? Se protéger des ransomwares

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Attention aux faux ransomware / rançongiciel par email - Ne payez pas ! Recrudescence d’emails ransomware depuis plusieurs semaines. Soyez vigilants et apprenez à démêler le vrai du faux. Example de mail ransomware Sujet : Change your password immediately. Travelex : 2,3 millions de dollars rançon pour relancer les systèmes Le début d’année avait été compliqué pour la société britannique Travelex : le 2 janvier, la société annonçait avoir été victime d’une attaque au ransomware ayant paralysé l’ensemble de ses systèmes. Le 14 janvier, l’entreprise commençait une reprise partielle de ses services. Si le rétablissement a été aussi rapide, c’est que l’entreprise aurait payé la rançon exigée par les attaquants, comme le révèle le Wall Street Journal, qui cite ici « des sources proches du dossier ». Travelex refuse de son coté de commenter une affaire encore en cours d’investigation. Selon le quotidien, la société britannique aurait versé la somme de 2,3 millions de dollars aux attaquants afin d’obtenir les clefs de déchiffrement nécessaire à la récupération des données.

WannaCry : un an plus tard, le ransomware continue de faire des siennes Pour beaucoup, WannaCry est de l’histoire ancienne. Ce ransomware avait fait irruption sur la scène internationale en mai 2017. Il avait recours à une faille 0day au sein de Windows pour se propager, ce qui, en l’absence de patch correctif, en faisait un malware particulièrement destructeur. Mais un chercheur en sécurité (connu sous le nom de MalwareTech) travaillant pour la société Kryptos Logic était parvenu à identifier un mécanisme stoppant la propagation de WannaCry. Le malware était en effet conçu de manière à interroger périodiquement une URL spécifique codée « en dur » dans le code source : en l’absence de réponse de celle-ci, le malware continuait de chiffrer les fichiers des machines infectées. Il faut se méfier du ransomware qui dort

Les fans de PewDiePie continuent à créer des ransomwares Pour une raison peu compréhensible, les fans de PewDiePie semblent penser que la création et la diffusion de ransomwares sont des méthodes appropriées et acceptables pour soutenir leur idole. Au cours des trois derniers mois, les fans de PewDiePie ont publié au moins deux variétés de ransomware sur le thème PewDiePie. À chaque fois, le prétexte est de soutenir PewDiePie dans sa tentative de rester la chaîne YouTube comptant le plus d’abonnés, un titre disputé par la chaîne YouTube indienne T-Series. Alors que ce qu'on appelle "ransomware pour rire" a déjà été vu dans le passé, ces deux variétés de ransomware à thème PewDiePie détruisent les données de l'utilisateur ou chiffrent des fichiers sans laisser la possibilité à l’utilisateur de récupérer les fichiers.

Coronavirus : sur les données personnelles des malades et de leurs contacts, la CNIL promet d’être vigilante La présidente de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), Marie-Laure Denis, a été auditionnée par les députés de l’Assemblée nationale, mardi 5 mai, dans le cadre du débat parlementaire lié au projet de loi visant à prolonger jusqu’au 24 juillet l’état d’urgence sanitaire en France, afin de lutter contre l’épidémie de Covid-19. Lire sur le sujet : Coronavirus : le Sénat adopte une version largement modifiée du texte prolongeant l’état d’urgence sanitaire La présidente de la CNIL était invitée à s’exprimer sur les dispositifs de conservation des données personnelles des Français mentionnés dans ce projet de loi, prévus pour aider à identifier les malades et empêcher qu’ils contaminent d’autres personnes. Ces dispositifs, inscrits dans l’article 6, ont été présentés par le ministre de la santé, Olivier Veran, samedi 2 mai. Deux fichiers, trois niveaux de « tracing »

La France, 4eme pays le plus touché au monde par WannaCry Malwarebytes livre ses statistiques sur le ransomware WannaCry . Un malware qui a pu se propager à une vitesse inédite, vie une faille de Windows. Et les personnels informatiques de (re)découvrir toute la différence existante entre un simple malware et un virus capable de s’autorépliquer sur un parc de machines. Environ 300 000 PC ont été touchés par le phénomène WannaCry. Avec une répartition inégale selon les régions.

Crise sanitaire et cybersécurité des entreprises L’un des grands «gagnants» de cette crise sera sans aucun doute la digitalisation. Peut-on revenir sur ce bouleversement aussi soudain que salvateur pour les entreprises, ce qui a fonctionné, ce qui pose encore problème? Benoît Wtterwulghe: Nous assistons en effet à un changement de paradigme qui s’est opéré de façon contrainte, même si beaucoup de sociétés allaient en ce sens, notamment en ce qui concerne le télétravail et les solutions de partage électroniques. Évidemment aujourd’hui, les mesures de confinement ont forcé beaucoup de sociétés à mettre en place le télétravail qui est devenu «la norme» alors qu’il était l’exception il y a encore quelques semaines. Cela a donné lieu à beaucoup de créativité et d’inventivité, ce qui montre la forte capacité d’adaptation de l’Homme en temps de crise.

Boeing touché par un ransomware Les attaques par ransomware repartent de plus belles ces derniers jours avec des intrusions chez Boeing, la ville d'Atlanta et l'hôpital de Baltimore. La France est loin d'être épargnée comme le souligne une récente étude Vanson Bourne. Si les ransomwares n’ont jamais vraiment cessé de faire des dégâts dans les entreprises avec des demandes de rançons toujours exorbitantes, ils ont redoublé d’intensité ces derniers temps avec des attaques réussies contre la mairie d’Atlanta la semaine dernière, le service des urgences de la ville de Baltimore hier et la firme Boeing aujourd’hui. La production d’avions semble avoir été impactée sur le site de Seattle de l'industriel.

Ransomware WannaCry : son impressionnant bilan en huit chiffres Accueil Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter Actualités Depuis vendredi, de nombreux PC sont les victimes d’un ransomware. 3 jours après, quel est le premier bilan du virus WannaCry ? WannaCry WannaCry, aussi connu sous le nom WannaCrypt[1],[2], WanaCrypt0r 2.0[2] ou similaires, est un logiciel malveillant de type ransomware auto-répliquant[3]. En mai 2017, il est utilisé lors d'une cyberattaque mondiale massive, touchant plus de 300 000 ordinateurs[4], dans plus de 150 pays[5],[6],[7],[8], principalement en Inde, aux États-Unis et en Russie[2],[9],[10],[11] et utilisant le système obsolète Windows XP[12] et plus généralement toutes les versions antérieures à Windows 10 n'ayant pas effectué les mises à jour de sécurité, en particulier celle du 14 mars 2017 (bulletin de sécurité MS17-010)[8]. Cette cyberattaque est considérée comme le plus grand piratage à rançon de l'histoire d'Internet[6],[13], l'office européen des polices Europol la qualifiant « d'un niveau sans précédent »[14] et ajoutant « qu'il ne faut en aucun cas payer la rançon »[15]. L'attaque[modifier | modifier le code] Contexte[modifier | modifier le code]

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