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Ressources sur le télétravail et le travail collaboratif à distance

Ressources sur le télétravail et le travail collaboratif à distance

Télétravail Qu’est ce que le télétravail ? Par la loi du 22 mars 2012, il est introduit dans le Code du travail une définition du télétravail. Il est précisé que « le télétravail désigne toute forme d’organisation du travail dans laquelle un travail qui aurait également pu être exécuté dans les locaux de l’employeur est effectué par un salarié hors de ces locaux de façon régulière et volontaire en utilisant les technologies de l’information et de la communication dans le cadre d’un contrat de travail ou d’un avenant à celui-ci » (2). Plusieurs critères doivent être réunis : le télétravailleur doit avoir le statut de salarié,le télétravailleur doit utiliser les technologies de l’information et de la communication,le travail doit s’effectuer en dehors des locaux de l’entreprise alors qu’il aurait pu s’effectuer à l’intérieur,et le travail doit être exercé de façon régulière et volontaire. De plus, il convient de noter que le télétravail s’effectue de façon volontaire. Références :

MyfairJob - Offres et recherches d'emplois par les compétences La génération Y n’est pas seule responsable du téléchargement des applications sur le réseau de l’entreprise jeudi 25 octobre 2012 Contrairement à l’idée reçue, les employés de la Génération Y ne sont pas toujours les seuls responsables du téléchargement d’applications dans l’environement de travail et de ces risques associés. Paris, le 25 octobre – Aujourd’hui Easynet Global Services, acteur majeur en réseaux internationaux, intégration de Cloud et hébergement, solution de télépresence, publie aujourd’hui les résultats de son enquête paneuropéenne « Applications in the Cloud », qui révèle que plutôt que les salariés de la génération Y, ce sont les cadres supérieurs et les dirigeants qui sont responsables du téléchargement de la plupart des applications au travail. L’introduction d’applications non-gérées par l’entreprise sur le lieu de travail, et les risques de sécurité liés à cette pratique, représentent un véritable casse-tête pour le DSI, qui se voit dans l’obligation de trouver un moyen de contrôler tous les points d’entrée et les fuites possibles sur l’ensemble du réseau d’entreprise.

Télétravail : home à tout faire Le télétravail serait la solution à tous les maux de l’entreprise. Travailler de chez soi permettrait d’augmenter le sentiment de liberté et l’autonomie des salariés, réduirait la fatigue liée aux déplacements en région parisienne et le bilan carbone, offrirait aux jeunes parents plus de temps avec leurs enfants, etc. Mais la France est à la traîne avec un nombre de télétravailleurs coincé entre 7% et 9% de la population active selon les études. Soit bien moins que les pays nordiques : 32% des Finlandais et 27% des Suédois pratiquent le télétravail. Pourtant, les défenseurs du télétravail arguent que cette organisation de l’entreprise améliorerait la productivité des salariés de 5% à 30% en les rendant plus responsables, que les dissipés gagneraient en concentration à éviter les pauses à la machine à café, les déjeuners à rallonge et les bavardages. A LIRE: EcoFutur, le magazine de l'économie innovante Chaque année, on annonce que le modèle est en passe de se généraliser. Canapé.

Bring Your Own Device : attention au télétravail informel ! 01net. le 12/06/12 à 10h37 L’informatique d’entreprise est en retard par rapport à l’électronique grand public, mais les employeurs cherchent à bénéficier de l’état de l’art en termes de mobilité pour optimiser la productivité et la satisfaction de leurs employés. Ainsi, comme le révèle une étude menée par IDC et Bouygues Telecom, publiée en mai 2012, l’équipement en outils nomades progresse avec, notamment, un triplement de la fourniture en tablettes attendue d’ici à douze mois ou l’extension de la virtualisation des postes de travail. De la mobilité au télétravail caché Cependant, une autre conclusion de l’étude est que ces appareils mobiles favorisent l’empiètement de la sphère professionnelle sur la vie privée des salariés, avec une utilisation le week-end, en soirée, en vacances ou au petit-déjeuner. Le BYOD, accélérateur du phénomène Promouvoir des pratiques professionnelles saines Jean Pujol Jean Pujol est manager au sein de l’entité CIO Advisory du cabinet Kurt Salmon.

Le Bring Your Own Device décolle dans les TPE 64% des TPE perçoivent les smartphones et tablettes comme une aide essentielle à la gestion de l'entreprise. Les tablettes ont tout particulièrement la cote en Ile-de-France. Les tablettes tactiles sont bien parties pour occuper une place de choix dans l'éventail des équipements informatiques des TPE. Alors qu'elles s'appuyaient principalement jusqu'alors sur des terminaux traditionnels (PC et ordinateur portable en tête), les entreprises françaises de moins de 20 salariés sont en effet de plus en plus nombreuses à miser sur les terminaux mobiles, et en particulier les tablettes tactiles. Dans l'édition 2012 du baromètre des usages numériques professionnels réalisé par Opinion Way pour le compte d'EBP Informatique, on apprend ainsi que 64% des TPE françaises sont d'accord avec le fait que les outils mobiles constituent une aide essentielle à la gestion de l'entreprise. Le phénomène du BYOD plus marqué dans le monde des tablettes que des smartphones

BYOD : utilisation d’outils personnels au travail BYOD ou quand l’exception devient la règle ! Source Global Security Mag Plus qu’une tendance, le BYOD (Bring Your Own Device) met aujourd’hui à mal les règles établies au sein des entreprises. L’utilisation d’outils personnels (ordinateur, smartphone, tablette…) à des fins professionnelles se généralise, poussée à la fois par la volonté des salariés et l’impérieuse optimisation des budgets. A l’occasion de la 6ème Université AFCDP des CIL, Emmanuel Cauvin, CIL d’Arcelor Mittal, revient sur ce phénomène et ses conséquences pour les CIL. Le phénomène du BYOD, ou de ce qu’il appelle AVOP (Apportez vos Outils Personnels), pose un tas de nouvelles interrogations : Qui est, dans ce cas de figure, responsable de la sécurité, de la maintenance et des mises à jour ? Ce dispositif pose également un problème de discrimination par l’argent.

BYOD ou quand l’exception devient la règle ! Plus qu’une tendance, le BYOD (Bring Your Own Device) met aujourd’hui à mal les règles établies au sein des entreprises. L’utilisation d’outils personnels (ordinateur, smartphone, tablette…) à des fins professionnelles se généralise, poussée à la fois par la volonté des salariés et l’impérieuse optimisation des budgets. A l’occasion de la 6ème Université AFCDP des CIL, Emmanuel Cauvin, CIL d’Arcelor Mittal, revient sur ce phénomène et ses conséquences pour les CIL. Le phénomène du BYOD, ou de ce qu’il appelle AVOP (Apportez vos Outils Personnels), pose un tas de nouvelles interrogations : Qui est, dans ce cas de figure, responsable de la sécurité, de la maintenance et des mises à jour ? Le problème de l’accès de l’entreprise à ses données ; Le problème de protection des données de l’entreprise ; Quid de la protection de la vie privée du salarié : protection des contenus privés et des logs de ses connexions personnelles. Les paramètres de l’Arrêt Nikon inversés…

Bring your own device : dix questions pour respecter la réglementation 1. Existe-t-il un cadre juridique et réglementaire pour le BYOD ? Il n'existe ni cadre précis ni jurisprudence, et les réglementations éventuellement applicables se contredisent parfois. 2. Que ce soit à l'embauche ou en poste, le BYOD génère des risques de discrimination. 3. Un autre type de discrimination concerne l'accès au système d'information. 4. Lorsqu'un smartphone est volé à l'extérieur de l'entreprise alors que l'employé l'utilise pour travailler, quelle assurance doit payer ? 5. Les infractions commises par les utilisateurs via le réseau de l'entreprise rendent celle-ci responsable à 100 %. 6. Une certaine maîtrise de la configuration des terminaux BYOD est nécessaire afin de protéger l'entreprise contre le risque de fuite de données. 7. Les pertes de données personnelles doivent être notifiées auprès de la CNIL. 8. Le partage des coûts commence par une négociation entre le salarié et l'entreprise. 9. 10.

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